Bonjour à tous

Flash Gordon.



Je ne dirai pas grand-chose sur ce texte si ce n'est qu’il a été écrit, il y a 5 ans, et faisait partie des nombreuses nouvelles que j’ai postées sur Oniris pendant des années avant de les enlever. À son époque, le texte a bénéficié d’un nombre important de commentaires, mais son accueil, je m’en souviens très bien, a été mitigé (0 plume à titre indicatif pour donner une petite idée) et ce pour des raisons - que je respecte - notamment le manque d’empathie du personnage principal, la lenteur - pleinement assumée - du récit, mais aussi par rapport au style que certains ont trouvé ampoulé.

Après avoir pris en compte certains avis - notamment celui de Larivière -, je l’ai (un peu) retouché.

Néanmoins, je n’avais pas prévu de le reposter.

 Mais, il s’est passé il y a plusieurs semaines quelque chose qui m’a fait changer d’avis. En effet, un texte de Salamandre, presque unanimement salué, il y a de ça plusieurs années, a été accueilli tièdement lors de sa seconde parution. Cela m’a fait réfléchir sur quelque chose d’assez commun, me direz-vous, mais qui m’a quand même interpellé. Il s’agit de l’évolution du lectorat, les autres vies d’une oeuvre à travers le temps, etc…

De manière plus précise, je me suis dit (peut-être que j’ouvrirais un forum sur le sujet) : une des qualités majeures d’une oeuvre, n’est-elle pas sa capacité à continuer de plaire à un lectorat important et varié (tous les âges, les sexes, milieux sociaux professionnels, les cultures…), mais aussi par delà les genres, les tendances, les modes, les années ?

Bref, une oeuvre réussie ne se mesure-t-elle pas par son intemporalité ?

Merci de votre attention et très bonne journée

Widjet
(qui, promis, reviendra avec du "neuf" vers la fin mars)

Et alors Widjet, quelles sont les premières conclusions que vous tirez de votre expérience ?

Citation :

Ben... Oui.

Après tu parles d'évolution du lectorat sur Oniris, oui, je dirais même changement du lectorat. Car depuis le temps que tu traînes tes guêtres par ici, l'eau a coulé sous les ponts. Même si quelques irréductibles sont toujours présents, la majorité n'est plus ou peu là.
Repropose ton texte dans cinq ans, on verra bien...

Bonjour Widjet,
Personnellement j’ai « flashé » sur ce texte pour une raison évidente, Gordon ressemble étrangement à l’un de mes oncles. Une force de la nature, une véritable « putain de machine » physique et morale, il se croyait invincible et pourtant, en quelques mois, rongé par le « crabe », non sans avoir lutté, il a été anéanti.
Vincendix

Merci à tous pour vos commentaires.

W