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Re : Grande opération de dépotage chez brabant à partir du 24.11
Visiteur 
J'ignorais que ce (et non "le") renard gascon avait la persistence transitoire. Je note donc que nous avons affaire ici à un spécimen de renard, gascon certes, mais téméraire.
Cette goupilonnade vaut bien un maroilles, et je m'incline en demeurant bec béant devant un érudit.

Je suis rassuré de constater que tu as bien pris au second degré la petite familiarité que je me suis permise, comme elle se devait de l'être. Mais non, Brabant n'est pas un con, il m'a simplement un peu surpris en plaçant quelques jeux de mots isolés (alors que "En voiture, Simone ! Il ferait beau voir" faisait moins tâche dans un ensemble qui se voulait être, lui, un feu d'artifice). Je n'ai pas trouvé ça vraiment de mauvais goût, mais simplement un peu potache.
N'est pas gars con, le Gascon qui a le goût pile poil (et non le goupil à poil, bien entendu; le goupil étant à poils, mais pas à poil; et puis, ça ne serait pas drôle, un renard sans fou rire; Mazel tof !... maar niet tof).
(j'espère que tu ne me réclameras pas de droits d'auteur pour cette brabançonnade)

Ah, et j'avais compris de quoi ça causait, question de la coucou, parce que j'ai rapproché ça de la coucou de Malines (mais en revanche, j'avoue que je croyais le coucou masculin; j'ai dû confondre avec le coucou suisse; à ne pas confondre avec les couques suisses, dont j'ai appris ce week-end que les belges les appelaient ainsi pour rendre plus convenable le terme originel : couilles suisses... mais nous nous égarons).
Et puis, j'y pense : j'ai mangé du singe aussi, dans mon enfance, lorsque ma môman comptait ses sous, et puis du pilchard aussi. As-tu déjà goûté la formidable saveur du pilchard, langoureusement lové au fond de sa boîte, sur lit de sauce tomate ? Mais nous nous égarons encore.

Revenons à nos petites affaires !
Je ne l'ai pas inclus à mon com, mais j'avais buté sur quelques phrases qui étaient à la limite du compréhensible (ou du moins de ma compréhension).
Ca présenterait un intérêt pour toi que j'en fasse une petite compil ?

Je ne pourrais pas terminer sans te faire cette confidence : j'avais d'abord noté ton texte E-, mais j'hésitais. J'ai constaté que mon E- t'avais donné une plume en plus. Puis, je l'ai déclassé à TB+... et j'ai constaté que je t'avais repris cette plume. Mais j'hésite toujours. Je vais encore y réfléchir un peu.

Contribution du : 02/12/2011 00:19
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Re : Grande opération de dépotage chez brabant à partir du 24.11
Maître Onirien
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Salut Inco, les pilchards j'en mange encore et j'adore ; le singe, non, ça m'a passé, c'est pas très bon, et pourtant j'ai aimé ça !

D'accord pour la compil, mais bon je veux quand même pas te donner trop de boulot...

Bon début de journée ! A +...

Contribution du : 02/12/2011 00:31
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Blaise Pascal
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Re : Grande opération de dépotage chez brabant à partir du 24.11
Visiteur 
La compil du goupil :


"L’œil courroucé du tenancier lui intimant que l’on ne refuse pas le commerce, il avala d’un trait le chômeur qui le toisait sur le comptoir [...]"
Il n'y a pas un problème de syntaxe, là ? Je déplore ma méconnaissance des termes qui permettraient de l'exprimer clairement, mais le lien entre l'oeil courroucé et l'ingestion du chômeur ne me parait pas établie, dans la phrase telle qu'écrite.
Pour l'établir, je verrais par exemple : "Obéissant à l'oeil courroucé [...]"
Je m'interroge aussi sur la pertinence du verbe "intimer". On intime un ordre, mais pas un principe. Un principe, on le recommande, par exemple, ou on le rappelle. "l'on ne refuse pas le commerce" est un principe, pas un ordre.
En modifiant légèrement : "[...] lui intimant de ne point refuser commerce" ou "lui intimant de ne point se soustraire au commerce", on fait appraître l'ordre et non le principe.
Bon, finalement, après avoir lu une bonne dizaine de fois la phrase, l'erreur de syntaxe ne m'apparait plus aussi nettement, voire même plus du tout, alors qu'elle m'avait sauté aux yeux à la première lecture. Curieux !
Par contre, pour intimer, je n'en démords pas.


"Hélène morfondue pour complaire à sa mère car ça n’était pas une méchante fille, Victoria chafouine calculatrice, dispensatrice de leçons."
Je ne comprends pas cette phrase. Il me semble qu'il y a erreur de syntaxe, voisine d'ailleurs de la précédente (même si je comprenais parfaitement le sens).
"car ça n’était pas une méchante fille" n'est pas en cause, ni la fin de la phrase. Simplifions donc ! :
"Hélène morfondue pour complaire à sa mère, Victoria chafouine"
Je vois ceci comme deux phrases distinctes, séparées par une virgule au lieu d'un point". Du coup, la première m'apparait orpheline d'un verbe conjugué autrement qu'en participe passé.


"Le dimanche suivant le commandement fut signifié avec l’hostie, repentir et pénitence, codex et absolution."
Je suis comme toi : j'allège volontiers la ponctuation lorsqu'elle contrarie la musique, A CONDITION que ce ne soit pas au détrient du sens.
Ici, on va quand même loin dans la liberté ! En fait, je ne pige pas la phrase.
Il manque une virgule (avant "le" ou après "commandement") pour fixer le sujet.
Si l'on met une virgule après "commandement", le sujet est "repentir et pénitence, codex et absolution", mais alors le verbe "signifier" aurait du être accordé au pluriel -> "Le dimanche suivant le commandement, furent signifiés, avec l’hostie, repentir et pénitence, codex et absolution." Mais je suppose que ce n'est pas ça que tu voulais écrire.
Si l'on met une virgule avant "le", le sujet est "le commandement" -> "Le dimanche suivant, le commandement fut signifié avec l’hostie [...]" Je suppose que c'est ça qu'il fallait comprendre. Mais alors, je ne comprends pas bien la fonction de "repentir et pénitence, codex et absolution". Ou alors ils forment une énumération débutant avec "l'hostie" et se terminant par "absolution" (mais ceci est peu compatible avec l'article défini précédent "hostie").
Bref, je comprends que dalle à ton charabia. Ou bien c'est toi qui était fatigué en écrivant, ou bien c'est moi qui le suis en lisant".
Eclaire-moi, par pitié !

Contribution du : 07/12/2011 00:32
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Re : Grande opération de dépotage chez brabant à partir du 24.11
Visiteur 
(quelques horribles fautes vers la fin de mon post tendent à démontrer que c'est moi qui suis fatigué, mais bon...)

Contribution du : 07/12/2011 00:48
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Re : Grande opération de dépotage chez brabant à partir du 24.11
Visiteur 
Je me permets de déterrer dépoter un texte déjà ancien pour poser une petite question.

Brabant, pourrais-tu estimer le temps que tu as passé à écrire ce texte ? C'est peut-être une question à la con, enfin je sais pas, mais moi, ça m'intéresse. Ecriture du "premier jet" en passant parfois une heure sur une seule phrase ou alors processus itératif ?

La genèse, la macération, la durée, le travail,... je veux tout savoir !

Contribution du : 13/02/2012 00:09
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Re : Grande opération de dépotage chez brabant à partir du 24.11
Maître Onirien
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Salut Inco,


Bon je te dois encore la compil’ du goupil (j’y reviendrais, beaucoup à faire… trop de… trop de… Suis obligé de venir sur Oniris à onze du soir pour commenter un peu en espace lecture… Vais bientôt intégrer le top dix des évaluateurs tout de même, et ma nouvelle qui est en suspens ; vais bien devoir la finir) mais je vais d’abord essayer de répondre à ta question : temps passé à écrire le texte, genèse, macération, durée, travail…

Un texte me demande en moyenne trois (minimum) ou quatre jets (Nouvelles ; un poème c’est largement plus de douze) ; le premier jet est un canevas écrit dans l’élan (la fièvre de la pensée créatrice, sans barrières ni interdit, aux dérapages incontrôlés, c’est jouissif ! Sueurs froides et tremblements).

Pour la « Potée » : le premier jet m’a pris trois ou quatre séances de 40 à 90 minutes.
Ecrire et réécrire (pour décrire la dentition d’Hélène j’avais un paragraphe de six lignes que j’ai supprimé, j’ai supprimé beaucoup de choses pour réduire la longueur du texte, notamment certains passages moralisateurs sur la guerre) ; le texte pour arriver grosso modo à ce que j’ai présenté m’a pris quatre à six semaines à raison de plus ou moins quatre jours par semaines en autant de séances de 40 à 90 minutes.

Quand j’écris un texte j’ai le point d’arrivée (ici le fait pour les deux femmes de ne réaliser qu’au cimetière que la potée en trop était pour Fernand) et je pose la situation de départ (implicite) qui consiste à mettre en place et à camper les personnages principaux. J’ai donc la fin et le début. J’ai Indéniablement la fin, je sais où je dois aller mais je ne sais pas véritablement comment (mais je sais qu’il faut que je m’amuse en chemin sinon c’est pas drôle d’écrire, autant ne pas le faire ; que le texte soit noir ou rose, c’est pas le problème).

Une nouvelle étant courte par essence, je n’ai pas (ni ne veux faire) de plan préétabli (ce qui serait nécessaire pour un roman) ; il se construit au fur et à mesure du récit et peut se corriger ou se modifier au besoin (rajouts, flash back…). Ce demi imprévu est plus jubilatoire en ce qui me concerne. Dans la nouvelle les masses de texte restent assez aisément maniables.


Le premier jet correspond en quelque sorte à un canevas sur lequel je place et brode les personnages principaux et le thème.
Par exemple si je prends la tapisserie : ‘’La dame à la licorne. Le goût’’, je mets en place : la dame, sa servante qui lui présente un drageoir, le singe qui porte une dragée à sa bouche, la licorne, le lion. J’ai la scène, j’ai les tons que je peux me permettre d’enrichir par la suite (dans une certaine mesure, pour enjoliver par exemple, ou enlaidir), mais l’essentiel est posé.

Les deuxième et troisième jets vont permettre de rectifier en ajoutant, retranchant, modifiant des paragraphes, des péripéties, de préciser le décor, les acteurs secondaires…
Dans le cas de la dame à la licorne : placer le décor végétal : arbres, fleurs, touffes d’herbe : placer aussi les acteurs secondaires : chien, lapins, etc…


Sur les quatre à six semaines d’écriture je relis le texte au moins 5 soirs par semaine en traquant les répétitions, remplaçant les verbes banals (bon, y a Bartoli qui va jouer… ji reviens, Inco…), … vérifiant la chronologie (… me revoilà !Marion a battu Pironkova, crevette qui a un e volonté de homard mais ça n’a pas suffi… … Les larmes de Bartoli dimanche, son soulagement aujourd’hui… Revenons à nos moutonsses… Ce qui ne m’a pas empêché de confondre la première et la seconde guerres mondiales et de faire mourir Fernand une douzaine d’années trop tôt obnubilé par l’année 68), et en cherchant à construire des formulations originales pour soutenir l’intérêt du lecteur (un peu comme si je rebrodais chaque fleur, chaque feuille, chaque brin d’herbe, chaque petit animal de la tapisserie ; je peux même en ra-jouter quelques-uns) et si possible engendrer sa complicité.

- Un exemple de broderie : 4ème partie, 1er pg : Fernand fait sa cour et prête la main aux travaux d’entretien pour se faire bien voir… j’avais d’abord écrit : « un grillage à rafistoler, une gouttière à redresser, une tuile à remplacer, un barreau de chaise à recoller assurèrent sa cour. »
Je me suis dit qu’il fallait faire ressortir quelque chose dans cette énumération : Fernand est un bon vieux nigaud de vieux garçon qui est en train de se faire posséder sans s’en rendre compte d’où : ‘’… un bâton de chaise à mettre au pas…’’, voilà pour la broderie qui ne dépareillera pas la tapisserie.

Célibataire, Fernand ‘’menait une vie de bâton de chaise’’, il se met lui-même au pas !

A un troisième niveau de lecture on a sous les yeux les chaises à porteurs des XVII-XVIIIè S avec les deux brancards (bâtons) amovibles, dont les acteurs avaient une vie mouvementée, cahotique/cahoteuse (lol), qui les conduisaient dans des lieux parfois inavouables.

- Un deuxième exemple de broderie : 5ème partie, avt avt dernier pg : « Une paëlla en boîte était un jour de fête. » puis j’énumère les conserves plus ou moins festives de l’époque, ce qui peut devenir fastidieux. Alors je mets par exemple : ‘’Singe » plutôt que Corneed Beef, je construis ‘’Olidénaf’’ à partir de Olida et de Hénaf (j’aurais dû intégrer aussi Caby, regret !), je mets : « C’est bon comme là-bas, dis !’’ plutôt que Garbit. Mais ce ne sont là que broderies de brins d’herbe.
En ce temps-là on ne mangeait du crabe que deux ou trois fois par an, c’était la boîte de hors-d’œuvre festif par excellence, mais le plus souvent on se contentait de ‘’miettes de crabe’’, les morceaux (chair des pattes) dont on ne prenait qu’une boîte ou pas du tout étant trop chers ; pour optimiser ces malheureuses miettes de crabes insipides noyées dans je ne sais quel liquide saumâtre je n’écris pas : ‘’des boîtes de miettes de crabe’’ mais : ‘’crabe Chatka en miettes de Noêl’’ :
Il y a la ‘’marque’’, fameuse.
Il y a le ‘’crabe’’, plat de gourmet.
Et il y a la fête enchantée, ‘’ Noël’’ !
Voilà une autre broderie qui ne dépareille pas la tapisserie.

Je pourrais multiplier les exemples. Tout cela est travaillé dans un second puis un troisième jet. Souvent ponctuellement.

La relecture du soir permet de vérifier tout cela ainsi que le balancement des phrases, etc…

De plus, cette lecture est bien commode car elle permet si un problème se pose d’en programmer les données dans ‘’son pitit cerveau’’ et la réponse survient souvent au milieu de la nuit (réveil en sursaut de Madame*, avoir un dictaphone ou de quoi noter), ou bien c’est la bonne surprise du matin, ça peut encore prendre quelques jours… mais la réponse arrive toujours. Et là, pas de problème d’esprit de l’escalier, on a le temps !...

*… m’en fous, ma femme boude ! Conférer ‘’Pauvre Brabant Pauvre Misère’’ sur ce site. Lol.


D’une manière générale, écrire une nouvelle c’est vivre avec celle-ci pendant quatre à six semaines, de manière plus ou moins diffuse mais prégnante/imprégnante/imprégnée. ‘’pregnant ‘’ ? L’est enceinte l’auteur !


Bon, voili voilou, je pourrais continuer comme ça pendant un petit moment encore…

Ave ! Mon pote Inco !

Je vais essayer de repérer ta nouvelle, t’es-ti tombé amoureux en cours de route ?

Contribution du : 17/02/2012 00:45
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"L'homme n'est ni ange ni bête, et le malheur veut que qui veut faire l'ange fait la bête."

Blaise Pascal
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Re : Grande opération de dépotage chez brabant à partir du 24.11
Visiteur 
Ah ! Merci beaucoup, beaucoup pour ces explications, de plus au beau milieu de l'actualité sportive. Personnellement, je me passionne plus pour Clijsters ou autrefois Hennin, mais je peux comprendre que davantage d'attention soit portée à Bartoli, de l'autre côté de Quiévrain. Bref, je m'égare.

Merci, car c'est passionnant. L'histoire d'une écriture, d'une création, c'est aussi une histoire, pas moins passionnante. L'histoire des créations scientifiques aussi est passionnante, car je ne peux pas me résoudre à considérer la science autrement que comme une création. Le processus est un peu le même, je trouve : un cerveau droit à qui on donne sa liberté et en même temps le gauche qui le surveille, essaye de le suivre et de l'arrêter au bon endroit, de mettre ensuite un peu d'ordre et de rigueur dans tout ce fouillis. J'ai jamais compris pourquoi on essayait de dissocier voire opposer les "scientifiques" et les "littéraires". Je crois qu'il faut être un peu de l'un pour être de l'autre. Passionnant que je dis ! Mais bref, je m'égare encore. Quoi que...


Intéressante, la distinction nouvelle/roman. Car en effet, s'il est jouissif, dans une nouvelle, de se laisser porter par les événements, dans un roman, ça devient vite ingérable. C'est mon problème, la structuration. Du moins, je le crois. Et c'est aussi pour ça qu'il m'intéresse beaucoup de connaître la manière de travailler des autres.


Citation :

Je vais essayer de repérer ta nouvelle, t’es-ti tombé amoureux en cours de route ?


On a frôlé l'engueulade, et le 14 février encore bien ! J'ai pu constater que ça constituait souvent un excellent début. Mais bon, dans notre cas, ça s'apparenterait quand même davantage à ça.
Cela dit, s'il se trouvait ici quelque dame d'expérience désireuse de prendre un café crème à Saint Germain, ça pourrait se négocier. Photo disponible sur Facebook et sur demande. Je la publie pas ici, j'ai pas envie de faire exploser ma boîte de MP.

L'écriture à deux est un exercice très intéressant. Avant même l'écriture proprement dite, il oblige à communiquer, donc à verbaliser, donc à structurer.
C'est un peu comme chez le psy. Il pionce et te prend cinquante euros au moment des au-revoir-à-la-prochaine, mais ça t'a quand même obligé à verbaliser, donc à structurer, c'est-à-dire au minimum à identifier les pièces du puzzle et, si possible, les assembler.
Écrire, ça prend pas moins de temps, mais c'est moins onéreux.



Et dire que tu trouves encore du temps dans tout ça pour commenter abondamment. Je sais pas comment tu fais. Les amphétamines, sans aucun doute.
Bien entendu, j'ai une pensée émue pour ta dame et sa patience.

Contribution du : 17/02/2012 12:30
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Re : Grande opération de dépotage chez brabant à partir du 24.11
Maître W
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Citation :

Incognito a écrit :
Merci, car c'est passionnant. L'histoire d'une écriture, d'une création, c'est aussi une histoire, pas moins passionnante. L'histoire des créations scientifiques aussi est passionnante


Pour celui ou celle qui n'aurait pas encore bien saisi : Incognito trouve ça, passionnant.

Bon, plus sérieusement, je suis toujours intéressé de découvrir le processus créatif, la méthodologie et le mode de pensée de chaque auteur, bref la cuisine interne. De plus, ici, Brabant le rend très accesible. Merci pour cet échange.

Widjet

Contribution du : 17/02/2012 16:14
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