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Re : Idée d'un exercice d'écriture
Expert Onirien
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bon (regard médusé sur les phrases).... On va laisser un brin décanter pour voir ce qui en sort....

Merci...

Contribution du : 15/08/2011 20:10
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La meilleure nouvelle publiée sur ONIRIS : Palimpseste est raide dingue amoureux de Lobia, inoubliable auteure de "Numéro 20"... Nous sommes ensemble depuis deux ans grâce à Oniris, la meilleure agence matrimonialo-littéraire du Monde !
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Re : Idée d'un exercice d'écriture
Maître Onirien
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c'est mignon comme tout… la même que palimpseste ^^

(merci au passage pour ton appréciation, je vais voir ta nouvelle publiée :)

Et merci à nico pour ces phrases hebdomadaires :) bon anniversaire en retard !

Contribution du : 15/08/2011 20:28

Edité par placebo le 15/8/2011 22:13:37
Edité par placebo le 15/8/2011 22:14:02
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Re : Idée d'un exercice d'écriture
Maître Cheval fou
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Palimpeste, au vu de la qualité de toutes les prestations, je propose des phrases tordues sans savoir comment chacun peut se débrouiller pour parvenir à pondre un texte. Mais je sais que chacun y arrivera ;)

Merci placebo :)

Contribution du : 15/08/2011 22:10
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Profitons au mieux de ce que l'on a et ne regrettons pas trop ce que l'on a pas.
Pour toute question, voici ma boîte personnelle
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Re : Idée d'un exercice d'écriture
Expert Onirien
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(HELP! Un Modo pourrait-il supprimer le post ci-dessus, plein de fautes, et laisser celui-ci où j'en ai enlevé quelques unes ? Ma ré-édition du post précédent n'a pas marché ... MERCI !)

Fin du combat entre restaurateurs et industriels !
-------------------------------------------------------

Les germes de soja avaient finit par tuer une quarantaine de personnes avant d'être démasqués.

Le mal fut vaincu. C'est alors que le héros apparut. En retard. En fait de héros, l'employé des services sanitaires n'avait pas de grande cape bleue et rouge, ni des bottes jaunes lui permettant de s'envoler au-dessus des toits. Juste une blouse blanche, quelques boites en plastique pour récolter des échantillons et une patience infinie pour analyser les faits et traquer l'origine des maladies.

Durant de longues semaines, il avait recherché dans des concombres, des tomates et des asperges les souches de la bactérie redoutable qui venait de causer l'une des plus graves intoxications alimentaires de ces dernières années. Parmi les victimes collatérales, les agriculteurs avaient vu les cours s'effondrer, la clientèle se détournant de toute la nourriture issue des récoltes. Il fut beaucoup reproché aux services sanitaires leur temps de réaction pour débusquer les sources du mal.. Mais la rigueur scientifique ne peut pas s'autoriser tous les raccourcis que la presse à sensation se permet par auto-complaisance.

Les grands gagnants étaient les industriels spécialisés dans le lavage des plantes, qui n'hésitaient pas à faire de la publicité pour les légumes préparés à l'eau de Javel et frottés unitairement avec des solutions contenant assez de produits chimiques pour faire pâlir un coureur du Tour de France. C'est dire !

Quelques semaines après qu'eurent débutés les décès en nombre, les restaurateurs entrèrent en conflit ouvert avec ces entreprises de lessivage. Leurs propagande marketing laissaient en effet planer une suspicion sur la qualité des mets proposés dans les salles de restaurants, sauf ceux arborant le logo SVP, du Syndicat des Végétaux Purifiés. Les restaurateurs furieux en vinrent aux mains avec des industriels bouffis de leur arrogance. Le comité professionnel des métiers de bouche finança même une campagne de dénigrement en octroyant des torchons aux usines de blanchiment des légumes, sur le modèles des toques des bottins culinaires, décernés par des visiteurs que le cocktail chimique saoulait complètement.

Le laborantin des Services Sanitaires, qui écrivait ses rapports dans un style peu administratif, s'était amusé à amener une conclusion fort drôle: "(...) les fourchettes sont agressives avec les gants de toilette ivres.". La formule fit florès et permis aux clients de bien rire, alors que rien n'incitait à la rigolade dans la situation.

Au fur et à mesure que le temps passait, les incidents se sont multipliés. Au milieu du conflit, on n'a pas compté moins d'une centaine de règlements de comptes violents, allant de la motte de beurre lancée sur une vitrine de brasserie par des inconnus en scooter, au plastiquage de containers d'acide sulfurique dans les ports chimiquiers, destinés à un laveur de haricots verts.

Les industriels, puissants et riches, firent réaliser, le V.A.U.T.O.U.R. (Very Accurate Unmanned Tracker Of Uneatable Recipies), un énorme satellite artificiel doté de dizaines de spectromètres de masse ultra-sensibles, capables de détecter en orbite basse une assiette de végétaux exempts de traitements chimiques. Une fois le plat repéré, une équipe était dépêchée pour jeter l'infâme récipient et son dégoûtant contenu, et le remplacer illico par l'équivalent industriel, sain à manger et certifié par les autorités sanitaires.

Lors du lancement du vaisseau spatial, on cru que les restaurateurs avaient perdus. Le V.A.U.T.O.U.R. géant survolait la Terre, l'oeil vif. Le repas était prêt pour remplacer celui de la première tablée suspecte.

Mais les industriels devraient se méfier de leurs ennemis. Quelques patrons retors réussirent à trouver une parade infaillible, qui ruina les efforts des gloires phytosanitaires du CAC40. Tout s'est joué entre un bistro pour touristes de Montmartre, une boite branchouille dans le quartier du Marais et un établissement hyper-select de province.

Par une indiscrétion, les propriétaires de ces restaurants avaient appris qu'une erreur de programmation existait dans la procédure d'envoi de l'équipe de remplacement des repas: les coordonnées GPS des assiettes repérés étaient transformés en adresse du restaurant. Puis, alors qu'un signalement était fait auprès de la Police Sanitaire au nom du patron de l'endroit, c'est ce nom qui était transmis aux équipes au sol plutôt que l'adresse de la salle. Il suffisait donc aux proprios de se rendre dans le restaurant d'un de leurs confrères pour complètement embrouiller les pistes et faire bugger les algorithmes du V.A.U.T.O.U.R.

Très content de jouer un tel tour à ses adversaires, le chef du Chien Moqueur entra dans le Lavabo, fit une pirouette en arrière, sous le regard médusé du patron du Lampadaire, qui trouvait que cette acrobatie était un peu "too much" dans un moment aussi grave.

Quelques minutes plus tard, le satellite explosa par surchauffe et ses débris s'abîmèrent dans le Pacifique, heureusement sans faire de victime. Le lendemain de ce fiasco, les assureurs refusèrent de rembourser ce pharaonique projet aux industriels qui furent tous ruinés. Les patrons de restaurants ont longuement dansés sur les cadavres de leurs ennemis, en débouchant force bouteilles de champagne.

Allez donc leur demander de revenir à une TVA à 19,6%, maintenant... Ils risquent de ne jamais accepter, tellement ils ont le moral à bloc à cause de cette victoire !
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Bon anniversaire, Mister Nico...

La conchitamodératrrrriche est vénou pacher la cherrrrpillière... elllle vous rrrecommande dé tourrrrner 7 fois lé clavierrrr avant dé pochterrrr la prrrrochaine foich !

Contribution du : 16/08/2011 01:11

Edité par Pat le 16/8/2011 10:04:02
Edité par Pat le 16/8/2011 10:08:53
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Re : Idée d'un exercice d'écriture
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merci modo !

Contribution du : 16/08/2011 10:36
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Re : Idée d'un exercice d'écriture
Onirien Confirmé
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Et voilà ma contribution de la semaine. Bonne lecture.

Delirium Tremens*.

Lorsque Bernard se leva ce matin là, la première chose qu’il fit fut de biffer une nouvelle croix sur le calendrier. Une semaine complète. Cette observation le fit sourire, une semaine complète qu’il était totalement et absolument sobre. Il se leva d’un bond et, nu comme au premier jour, se dirigea d’un pas altier vers la salle de bains.

Le carrelage froid sous ses pieds, le néon grésillant, le rideau de douche glacé et collant à la peau, rien de tout cela ne pouvait sortir Bernard de la bienheureuse torpeur de fierté dans laquelle les derniers jours l’avaient baigné.

Douché, frotté, récuré, astiqué, Bernard s’appliquait maintenant au rasage, rituel quotidien qu’il considérait comme le signe de sa bonne santé tant il avait abandonné rasoir et blaireau durant ses longues années d’alcoolique.

Il était là, à s’occuper consciencieusement de son menton, lorsqu’il le vit bouger. Se retournant d’un coup sec, son rasoir à la main, la moitié du visage enfouie sous une épaisse couche de mousse et nu sous la serviette qui lui ceignait la taille, il s’approcha à pas de loups de la baignoire sur le bord de laquelle son gant de toilette, le bleu à carreaux, dansait une gigue effrénée. Ouvrant grand ses yeux, telles des soucoupes, il titilla le morceau de linge humide du bout du rasoir. Le gant se tourna vivement et l’invectiva avec une haleine de whisky à en décoller les papiers peints.

- Eh ! Be.. Ber.. Bernaââârd ! hoqueta-t-il. Tu viens t’en jeter un p’ti derrière la cravate avant d’aller au turf ? Une tite vo.. vo… vodka au réveil, y’a qu’ça d’vrai !

Abasourdi, Bernard recula doucement, franchit la porte de la salle de bains, qu’il ferma à clé de l’extérieur, et rejoignit la cuisine où une chaise salvatrice se fit fort de soutenir son étonnement en plus de son postérieur. Avait-il rêvé ? Ce gant lui avait-il vraiment parlé ? Lorsque ses jambes lui revinrent, il s’approcha de la porte close à laquelle il colla son oreille. Par delà l’épaisseur de bois, il entendait clairement le gant de toilette chanter de sa voix rauque et mal assurée.

- Fanchooon quoique bonneuh chrétie-è-neuh, fut baptisée avec du vin !

Bernard ne savait pas quoi faire. Même lorsqu’il était saoul à ne plus savoir mettre un pied devant l’autre, jamais chose pareille ne lui était arrivé. C’est pendant qu’il était à ces pensées qu’il sentit quelque chose lui gratter la jambe. Bernard laissa son regard tomber au sol sur une petite fourchette d’argent qui trainait au sol. Il avait dû la ramener de la cuisine d’une manière ou d’une autre. Bernard se pencha pour la ramasser lorsque celle-ci s’écria.

- Ah ben c’est pas trop tôt ! Enfin du me remarques ! Ca fait dix minutes que je te pique pour que tu me voies !
Pour la première fois de la journée, Bernard trouva la force de parler.
- Mais… Vous n’êtes qu’une fourchette. Vous ne pouvez pas parler. Pas plus que ce gant de toilette.
- Ah ça ! C’n’est qu’une histoire de conscience Bernie ! T’affaires pas à savoir pourquoi nous parlons, nous le faisons et c’est tout. En tout cas n’écoute pas cette grosse barrique de gant, il veut te faire replonger, moi, je suis là pour t’en empêcher en attendant la venue de ton héros.
- Mon héros ?
- Oui, chaque alcoolique repenti possède un héros qui vient le sauver à chaque fois qu’il est près de replonger.
- Et ça va être quoi mon héros ? Une petite cuillère ?
- Personne ne sait, mais lorsqu’il viendra, tu le reconnaitras. En attendant, il nous faut te débarrasser de ce satané poivrot de toilette.
- Si tu le dis.

Bernard ouvrit doucement la porte et tomba nez à nez avec le gant. A ses côtés se trouvaient un petit chien, de ceux qui remuent la tête sur la plage arrière des voitures avec un regard espiègle. Celui prenait habituellement place sur le rebord de la fenêtre de la salle de bains mais il était pour l’heure toutes babines retroussées et chevauché par le lavabo dont les robinets avaient formé deux yeux, l’un rouge et l’autre bleu, lançant un regard des plus perturbants.

- Doux Jésus ! S’écria la fourchette ! Il a monté une armée ! Cours Bernard ! Cours !

Bernard prit ses jambes à son cou et sortit de la maison. Dehors, tous les objets s’étaient animés de la même manière. Chacun choisit son camp et la bataille débuta. Elle faisait rage, les arbres brisaient les vitres des voitures qui hurlaient de douleur, les plaques d’égout se dérobaient sous les pieds des bornes d’incendies. La cabine téléphonique du coin de la rue était aux prises avec le portail de Mme Brichut, la voisine d’en face, et l’insultait en espagnol. Un pot de fleurs percuta Bernard de plein fouet et le fit tomber à la renverse.

Alors qu’il scrutait le ciel, devant lui, Bernard vit le vautour géant survoler la Terre. Le repas était prêt. Le gigantesque volatile n’attendait que la fin de la bataille pour se repaître des cadavres abandonnés. Une voix à sa droite fit tourner la tête du pauvre homme. Un autoradio miraculeusement échappé d’une voiture en flammes commentait en direct toute l’action.

- Et voilà que la raquette de tennis s’approche furtivement du gang de nains du jardin de chez Mme Brichut et qu’elle frappe ! Oh mon dieu mesdames et messieurs c’est une hécatombe ! De la terre cuite partout ! c’est un vrai massacre !

Bernard se redressa sur son séant et chercha ses yeux la petite fourchette d’argent. Il la trouva en combat singulier avec le gant de toilette.

- Hips ! Il faut qu’il boive ! criait ce dernier.
- Non ! Il doit rester sobre ! hurlait la première.

Puis tout se passa en un éclair. La fourchette bondit et planta ses piques en plein milieu du gant de toilettes qui s’écroula, mort.
Tous les objets se turent instantanément et se tournèrent vers le lieu du combat. Seule l’autoradio continuait inlassablement son commentaire.

- Ce qui nous amène à ma conclusion : les fourchettes sont agressives avec les gants de toilette ivres ! dit-il.

Bernard le regarda avec insistance et l’autoradio finit par se taire.
Leur chef vaincu, les pro-alcoolisme se retirèrent. Pour se cacher, le chien moqueur rentra dans le lavabo, fit une pirouette en arrière, sous le regard médusé d’un lampadaire, et disparut dans le siphon.

Le mal était vaincu. C’est alors que le héros apparut. En retard.

*Le delirium tremens est une conséquence neurologique sévère du syndrome de sevrage d'alcool. C'est un état d'agitation avec fièvre, tremblements des membres, onirisme et trouble de la conscience, propre à l'intoxication alcoolique. Le delirium tremens survient uniquement chez les alcooliques au cours d'un sevrage d'alcool non contrôlé par un traitement efficace du sevrage.

Oscar Van Buren.

Contribution du : 16/08/2011 11:02
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"Je crèverai les yeux des hommes, qu'ils ne puissent te regarder, leur scierai le bas des jambes, qu'ils se prosternent à des pieds" Karim Berrouka.
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Re : Idée d'un exercice d'écriture
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Buffet à volonté

C’est toujours le problème, le mieux est l’ennemi du bien.

Au départ, on avait décidé de n’appliquer le gène de gigantisme qu’aux espèces végétales : les céréales en priorité, pour nourrir tout le monde. Les espèces ainsi modifiées étaient aussi savoureuses et nutritives qu’avant. La famine a pris fin un peu partout, mais les pays pauvres son restés aussi endettés à cause des frais engagés pour se procurer les machines spéciales destinées à la récolte et au conditionnement des aliments. Un épi de sorgho pesait vingt kilos facile, désormais.
Bien sûr, on avait pris garde de ne pas rendre le gène assimilable par l’alimentation. Si l’espèce humaine avait crû en proportion, quel intérêt ?
Puis on s’est mis à penser aux animaux. Poulets gros comme des autruches, vaches comme des éléphants, le tout à l’avenant. Ah, ça marchait fort !

Oui, évidemment il y a eu une catastrophe. Le gène a muté, comme font les gènes. Des milliards de combinaisons, de réplications, d’expressions ou d’inhibitions… Toutes les combinaisons se présentent, les fiables survivent, c’est le principe du vivant.
Seules quelques espèces bien particulières se sont révélées capables d’absorber la chair porteuse du gène muté et d’exprimer à leur tour ledit gène. Des oiseaux surtout, des rapaces notamment. Les humains n’ont pas bougé.

Le vautour géant survolait la Terre, l'œil vif. Le repas était prêt.

Contribution du : 16/08/2011 17:19
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Re : Idée d'un exercice d'écriture
Chevalier d'Oniris
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Excellent !

Contribution du : 17/08/2011 02:34
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Re : Idée d'un exercice d'écriture
Onirien Confirmé
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Socque, j'adore. Simple, efficace, d'actualité et la chute est assez drôle bien que légèrement flippante pour l'humanité. Elle tombe bien, comme ca : "boum" et fait parfaitement son effet.
Palimpseste, j'aime beaucoup aussi, plus long (mais je ne peux pas me placer en juge de la longueur), plus tarabiscoté mais toujours très loufoque et très imaginatif. Très d'actualité également. C'est chouette, j'aime.

Bravo encore

Contribution du : 17/08/2011 09:42
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"Je crèverai les yeux des hommes, qu'ils ne puissent te regarder, leur scierai le bas des jambes, qu'ils se prosternent à des pieds" Karim Berrouka.
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Re : Idée d'un exercice d'écriture
Expert Onirien
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C'est vrai qu'on s'amuse bien... Et c'est un vrai plaisir de découvrir les textes des autres contributeurs et vos deux derniers, Socque et Oscar, ont été de vrais bonheurs.

Pour la longueur, je ne sais pas s'il existe une limite, technique ou éditoriale.

Le passage à quatre fins (j'essaye de faire un exercice dérivé en prenant toutes les prases, dans l'ordre où elles sont) oblige quand même à mettre "un peu de viande autour" si l'on veut avoir de bonnes transitions (surtout avec les grands écarts que nous proposent Nico84)...

En tout cas, ça fait du bien à mes lundis, autant de découvrir, que de faire puis de vous lire.

Contribution du : 17/08/2011 10:47
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