Bonsoir

Merci à tous ceux qui ont lu cette seconde partie qui ajoutée à la première fait un récit à plus de 100 000 signes. J’ai conscience de l’effort consenti (surtout sur ordinateur, c’est loin d’être confortable) par ceux qui ne se sont pas laissé décourager. J’apprécie cela à sa juste mesure.

Forcément, en postant cette longue suite, j’ai pris un risque c’est certain (mais je ne voulais pas la scinder pour des raisons précises), risque que j’assume.

Je prends également acte des points ou défauts remontés par quelques uns d’entre vous (dont certains me serviront comme les précédents opus à corriger certaines choses) et me réjouis d’avoir pu divertir les autres.

Merci encore

W

Merci à toi de nous l'avoir proposée Widj'.

Pourquoi ne pas l'avoir scinder d'ailleurs? Je veux dire si les raisons ne sont pas top secrètes et propriétés du KGB, du Mossad et de la CIA....

Citation :

A l’origine, je voulais envoyer le tout en une fois. Le fait de scinder en deux a montré, je pense, un peu trop la césure entre une partie axée burlesque et l’autre plus tournée vers l’intrigue. En une fois, cela aurait probablement mieux dilué l’ensemble.
Et puis se replonger dans une enquête et dans l’univers à plusieurs semaines d’intervalle est préjudiciable pour un texte qui se lit d’un bloc.

W

C'est vrai qu'il y a une certaine dichotomie entre les deux parties (c'est d'ailleurs un de mes regrets), la première étant très "drôles", la seconde plus "sérieuse". Ça m'a perturbé, car je m'attendais à quelque chose d'équivalent.

Peut être qu'il faudrait que je l'imprime et que je lise tout d'un bloc?

La deuxième partie de cette nouvelle est apparue sur le Site au lendemain de mon inscription.
J'ai pas mal hésité.
En effet, j'étais invité à lire d'abord la 1ère partie.
100 000 caractères à se farcir sur l'écran de mon petit ordi, ça fait beaucoup pour un amateur de poésie.
Je pense que cet inconfort m'a empêché de savourer ce texte comme il le mérite. L'auteur est quand même Numéro 1 du classement des auteurs de nouvelles. J'imagine que ce n'est pas sans raison.
Je relirai donc ce pavé à tête reposée lorsque je pourrai disposer d'une imprimante.