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Isabel
Chevalier d'Oniris
Inscrit:
03/07/2011 23:01
Groupe :
Évaluateurs
Auteurs
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Post(s): 1221
Hors Ligne
Merci aux lecteurs et commentateurs patients.
Vos réactions me sont précieuses.

Bidis : Merci pour cette seconde lecture. Ah ! Décidément ce courant alternatif ne passe pas. Lors de mes nombreuses corrections, j'ai supprimé la précision concernant le travail d'électricien dans la marine marchande de Jean-François (C'est son vrai nom, puisqu'il existe tout comme les autres personnages qui m'ont demandé de modifier leur identité ). Petite question au passage : en quoi ... un doigt humide frôlant le bord d'un verre en cristal, est pompeux ou artificiel ?

Pepito : Première chose, libre à toi de te promener au Pérou, tu ne risques absolument rien et les habitants sont accueillants. Et si tu es volontaire et disposé, je peux même te fournir l'adresse d'un Padre qui a besoin d'un bon coup de main pour son centre d'accueil. http://associationlasllamas.blogspot.fr/
Dans cette nouvelle, au cas où tu aurais mal compris, il y est question d'un "putain" d'européen qui s'imagine être dans la peau d'un conquistador. De mon point de vue, il a cherché ce qui lui arrive.

Seconde chose, dans cette nouvelle, au cas où tu aurais lu trop vite, la fille aînée s'est déjà fait kidnapper, la rançon a été versée, l'otage restituée. Peut-être ne sais-tu pas que les kidnappeurs n'hésitent pas à réitérer leur forfait surtout pour soutirer du fric à ces "putains" d'européens. Ils trouvent toujours le moyen d'aboutir à leur fin même si le père est mort.
Merci pour ta réaction.

Palimpseste : Voilà un travail pointilleux que tu me proposes comme commentaire. Bravo, et merci pour le temps consacré à ce modeste récit.
Il ne me semble pas nécessaire de préciser le nom du pays. La ville de Trujillo est facile à trouver.
Jean-François parle très bien en Français et porte une arme comme n'importe quel habitant qui en achète une.
Ce fameux doigt humide frôlant le bord d'un verre en cristal n'illustre pas du tout le bruit 'du couteau dans la nuit", mais bien du "premier sifflement".
Merci pour la notation faible de l'écriture.

MonsieurF
: Merci aux correcteurs d'Oniris d'avoir transformé la ville de Trujilla en Trujillo. Cette coquille t'a complètement débousolé et j'en suis sincèrement désolé.
Toute la petite famille fuit en bus tout simplement parce que le chauffeur de taxi qui les emmenait à l'aéroport, les abandonne dans la rue près de la gare routière. C'était un moyen commode de rejoindre leur avion. J'imagine que beaucoup de personnes prennent le taxi pour gagner un aéroport. Mais je peux me tromper aussi.
Mais Isabel est la grande meneuse de revue, celle qui organise tout, avec méthode ! À aucun moment elle n'a de vengeance en tête puisque, trop contente d'être au service d'une famille riche, elle élabore un plan diabolique.

JPDESGRANGE : Merci pour l'appréciation apportée. Je maintiens l'utilisation du transport en commun dans les conditions précisées plus haut.

socque : bravo ! L'adage appliqué à Isabel permet de dénouer le fil que j'ai voulu le plus discret possible. Il était, je dois l'avouer, ma motivation première.
Le rapt qui se devait être une épreuve parmi tant d'autre, passe mal. Soit. J'en prends acte. Toujours ce défaut de vouloir trop en dire, trop vite. Désolé.

Contribution du : 17/06/2012 07:18
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