Tous mes remerciements au CE pour la publication, et aux lecteurs de "J'avais un paysage". Je n'ai pas à me plaindre de l'accueil car le poème a été plutôt apprécié. J'ai voulu donner la parole à ceux qui ne l'ont pas, aux principales victimes du bétonnage à tout-va qui envahit les beaux paysages. Dans ces cas-là, seule l'union fait la force et permet de l'emporter face aux promoteurs sans scrupules. Pour celui qui est seul, hélas, il ne lui reste que ses "yeux pour pleurer". Au-delà du constat, j'ai tenté de rappeler l'évidence, à savoir que tout être humain est relié à son cadre de vie et, en modifiant l'environnement dans le pire sens possible, on modifie l'humain de la pire façon aussi. Un merci particulier à ceux qui ont pris la peine de commenter ma modeste chanson-poème, à savoir Geigei, Donaldo75 et Cyrill en EL, puis Boutet, fanny, Robot, jeanphi, papipoete, Vadim, Curwood.