Summertime, me chante Tom Waits dans l’oreille de bon matin. Tintin et Milou on s’entend bien répète en boucle la télévision. Vision d’horreur que ces programmes pour gosses drogués aux écrans plats et aux dessins animés. Mémé ne va pas aimer cette réflexion mais vu qu’elle sucre les fraises en regardant le télé-achat, je m’en tape un peu. Petit à petit, mon corps se réveille et prend le pas sur mon cerveau. Veaux, vaches, cochons, je vous dis adieu avant de plonger mon visage défraichi dans mon lavabo. Beau jour pour mourir disait Taureau Assis, un chef à plumes condamné à regarder les trains passer. C’est la vie, me direz-vous et je ne vais pas vous jeter la pierre. Hier était un autre jour.

Notre Journée n’est-elle pas passionnante ? Entre-deux de sexe au programme, gramme d’érotisme, autisme total envers le reste du monde, mon Dieu quelle beauté ôtée de l’habitude, tu déclame l’âme des choses, oses un poème, aimes le vent, vends tes dessous, soûle et arpentant la plage, ah ! J’ai alors à l’or de ta peau poétisé la réalité, théorisé l’amour fou, foulé au pied le sable blanc, lanterné à l’orée de ton cou, couvert ton corps de mon haleine, l’aine en étant l’ultime dépression. Si on imagine une peau, possible cible de mes bises hystériques, que ne l’a-t-on débarrassée des pudeurs d’heures révolues.

Vos lunettes vous ôtez aux terribles photos, faute aux paparazzi assis sur les légendes, gens de peu de décence, sans scrupule, pullulant en nombre, ombres dans l’ombre des stars, c’t art du cliché consommé omet un détail de taille : ailleurs dans l’univers vernaculaire, l’aire des anonymes immarcescibles et cibles faciles si le cœur vous en dit, endimanchées pour l’occasion si on excepte septembre, le mois moisi par les averses versatiles.

versatiles, iles aux paradigmes, meuh' les bovins, vin de sang, 100 idolâtres, Âtre pour destin, tin' de rancoeur, coeur muré, ré fa sol, solitude bénie, nier anthropologie, logique testamentaire, taire son objectif, if aux fruits bleus, bleus à l'âme, lame aiguisée, et puis incarner , art né d'éclore, lore mythique, tiques, quel chapitre ! pitre d'écrivain, vint un niais, hey un clown !! Clown démissionnaire, missionnaire céleste, leste ébauche, auch' le gaga, gars lâche du lest, est ouest nord, or noir au sud, suent des ports, porcs subliminaux, no pigs anymore, maures dévastés, vastes plaines arides, rides pour la peine, haine réciproque

Si pro qu’il soit, il soigne ses césures urticantes, hanté par paronomase aux masques à c’qu’il dit Dimou, mouais je dirais, raison de plus plutôt toquée, question de couleurs heureusement mentales, alors quoi ? Oiseau de malheur ! Leurrons rondement en pipant les dés démoniaques, niaque aux biceps c’est spécial, alléluia

alléluia, y a pas à dire, retrouver, vérifier, fier-à-bras, bras dessus-dessous, sous-entendu, endurance, anse de panier, nier l’évidence, danser la java, valériane, âne bâté, témoignage, âge de pierre, repentir, tir au but, butin, tintamarre, remontada, davantage, Tage portugais, gai pinson, somnambule, bulle légère, légèreté, thé au citron, citronnelle, elliptique, tique du chien, chien de chasse, chasse à coure, ressemblant, blanc de l’œil, œil de bœuf, œuf à la coque, coque de navire, vire au rouge, rouge coquelicot, cotte de maille, maille à partir, partir pour toujours, jours de gloire !

Gloire à ceux qui quittèrent terre en s’envolant aux lents vents, ventre à terre éraflée, flairant l’ozone onirique, Icare le fit finalement. Le mangeur de nuages a jeté son dévolu volubile, bilingue à ses heures heuristiques tictaquant quand tout tournoie, noircissant six cent âmes tamouls moult fois foisonnées au nez et à la barbe arborée, orée de barbares barons ronfleurs fleur au fusil.

Nous partîmes aux noces en bateau à voile, voile de mariée qui flottait au vent, ventres pleins et joues roses, rosaces aux plafonds et des plats flamboyants, aboyant les chiens , beau-père ronflant, flan en dessert, cerfs grillent aux feu ,feutres et capes, cap vers le bal, ballons et crinolines.

La crinoline, Inès, Nestor, Ornicar et Caroline innée échos au carré réadorent redorer rédemptoirement mais mentent tellement mes menteuses, Eustache tâches hachées chez Edward ardent dentellier lié et étourdi imagine inhaler les lés étoffées.

étoffées, fées du logis, logiciel, ciel d’orage, rage de dents, dents de scie, cimetière, ère primaire, aire de repos, posture, uretère, terre d’asile, asile de fou, fou à lier, lier la gerbe, herbe aux chats, chapiteau, taudis, disputé, thé à la menthe, enter une plante, planter un chou, chouraver à l’étalage, âge de pierre, pierre d’achoppement, mentir, tir au but, butane, âne têtu, tuyau, au-delà, laverie, rire jaune, jaune citron, tronc d’arbre, arbre généalogique, que de mots...(celui-ci sera le dernier pour cette fois-ci!)