Merci aux CE pour la publication de ce poème, merci aux lecteurs qui s’y sont attardés : socque, Vilmon, BlaseSaintLuc, AnnaPanizzi, Vincent, inconnu1, Eskisse, Ascar, papipoete, Mintaka, pieralun, Provencao, Miguel, Robot, Ornicar.

Le poème est ici : http://www.oniris.be/poesie/cyrill-mal-de-prose-11750.html

Heureux de tous ces commentaires dans l’ensemble plutôt positifs. Thème galvaudé bien sur, mais il m’a bien plu de creuser encore une fois un sillon de ce côté, à défaut de microsillon.
Je ne chouine pas tant du manque d’inspiration que je le dis ici, c’était histoire de m’amuser, et de ne pas perdre la main.
Tout le monde a bien compris l’humour et la dérision, tant mieux.
Je ne me suis pas trop cassé le prose à la composition, ça marche quelquefois très bien contrairement à ce que j’ai raconté. Rien de tel que se lamenter de la page blanche pour la noircir.

Que de références musicales ! De Plastic Bertrand ( ! ) à Alain Souchon, en passant par Claude Dubois. À son propos, j’étais persuadé qu’il était mort d’une overdose eh bien non, wiki me le donne encore en vie. Ah et puis Balavoine, indeed. Lui, bon, paix à son âme.
Bienvenue à Ornicar à qui je souhaite longue vie sur Oniris, ça me fait particulièrement plaisir d’être commenté, et avec quelle précision, par un nouveau. J’ai bien retenu votre reproche à propos du kil de mouchoirs, mais pour ma défense je dirais qu’il me plaisait assez de voir se liquéfier des mouchoirs. Et puis je n’avais absolument pas prévu de rimes en -oir.

Au plaisir de vous lire, à mon tour.

Merci Donaldo pour ton avis de rocker sur ce poème.
Je me suis fait les mêmes réflexions à propos de la longueur, sans doute également à propos du thème, mais le critique qui sommeille en moi les a balayées d'un revers de vers et foulées au pied

Bonjour Cyrill,

Merci pour ce retour.
A moi, ton poème m'a parlé: je chouine souvent du mal d'inspiration et "souffre" affreusement d'attendre le "revirement sublime" :)

Nous n'avons pas choisi l'activité la plus sereine en écrivant Eskisse.
Je ne crois même pas que ce soit un choix d'ailleurs.
Après le shoot d'adrénaline que procure l'inspiration, que faire d'autre que vivre ? C'est tout ce que j'ai trouvé comme idée, elle n'est finalement pas si mauvaise

Exact, Cat, envoyé aussitôt écrit et il n'a pas dû me demander plus de... allez... au bas mot, un certain temps mais pas longtemps.

Certains textes compotent des mois voire des années à tout petit feu.
Ou alors c'est que je couvais celui-là sans le savoir, va savoir !

C'est vrai aussi que je n'aime pas retoucher, mais à l'épreuve de la réalité, et donc des commentaires, il m'arrive de reconnaître que j'aurais pu faire mieux ou autrement.
Voire ne pas faire du tout.
Et si je laisse mariner un moment ça peut donner lieu à des changements.

Merci en tout cas pour ton commentaire !

Citation :
Pourquoi j'ai aussitôt l'image qui me vient d'un tajine d'agneau aux épices en train de lentement mijoter ? Miam !...

Plus sérieusement, c'est intéressant d'apprendre comment les autres fonctionnent avec leurs écrits. Il faut y tenir pour être capable de retravailler, changer, arranger un texte déjà offert au partage.

En tout cas, merci pour ton retour sur com'.
C'est toujours gratifiant !

Slt,

l'inspiration existe-t-elle vraiment?

Il me semble que le terme d'inspiration regroupe simplement des notions telles que l'envie, la volonté, l'assiduité dans l'écriture, la disposition d'esprit, la fatigue modérée etc etc ...

Mais bon, étant le plus souvent peu inspiré pour respirer, je ne suis pas un spécialiste.

PS: aux pruneaux le tajine, aux pruneaux...

Salut Pouet,

Il y a des moments où l'envie et l'assiduité ne suffisent pas ; on peut se coller à son stylo et rien ne vient...

Sans doute un manque d'inspiration... :)

Salut Pouet !
De ma mince expérience, je peux dire qu'effectivement c'est le travail qui paye et apporte ses fruits. J'ai remarqué qu'en instaurant des habitudes et en me forçant souvent à rester assis face aux vertiges de la page blanche, il finissait par se passer quelque chose... Cependant, il ne faut pas dénier la part de magie... L'inspiration est aussi de l'émotion pure. La première fois que je le suis connecté à l'écriture, à la création, j'avais une gueule de bois Infernale et des énormes vague à l'âme... Je n'étais donc pas du tout dans de bonnes dispositions physiques ou morales, mais transi d'émotion...