@ Pieralun

Beaucoup de retard lié à un éloignement à la fois réel en terme de distance, mais également déconnecté de l’actualité et des occupations régulières. Il n’en demeure pas moins que je lis et relis avec un grand plaisir un de tes textes les plus aboutis.
Tu as toujours su mettre en mots la poésie de l’absence, de l’attente avec ou sans espoir. Mais tu le fais ici avec une simplicité qui touche à l’essence poétique.
Pas de métaphores, pas de recherche de mots dont l’effet poétique est immédiat, mais des faits, simples du quotidien dans lesquels l’empreinte de l’absence et de l’attente sont toujours présents.
Rien d’explicite non plus, mais quelques vers qui sous-tendent l’amour enfui, si important qu’il est implicitement le père de l’enfant.
Bref, tout presque parfait s’il n’y avait pas cette « mauvaise algue ou virus » qui se promène comme une vilaine verrue sur un beau visage: où as-tu la tête parfois ? Mais ne gâchons un des plus beaux poèmes d’Oniris

Bonjour Pieralun,

Même si je dois attendre des années-lumières, ta présence sur mes pages est toujours un moment d'émotion. Une publication sans un commentaire de Pieralun c'est comme un jour sans soleil, une nuit sans lune, l'océan sans les vagues, bref, un manque indéniable.

Afin de corriger ce petit défaut d'esthétique que tu me reproches, je m'en vais de ce pas prendre prendre rendez-vous avec l'auteure de cette étourderie pour lui demander un petit coup de scalpel gommage.

Mille mercis cher poète pour ta haute appréciation.
Cristale

Chère poétesse,

Tu m’as fait rire avec ton coup de scalpel…

Dis-moi, qu’est devenu le concours n°32 qu:il m’la semblé voir apparaître sur l’accueil et que je ne retrouve plus?

Cela dit, le thème me semblait être un fourre-tout pour le fourre-tout de catégories de poèmes de notre site.

Merci pour ton retour

Bonjour cher poète,


Je suis allée à la cave, non pas pour chercher un bon vieux cru derrière les fagots (quoi que...je sortirais deux verres bien volontiers) mais pour remonter l'annonce concernant le prochain concours n° 32.

Concours n° 32 Le temps dans tous ses états

Je verrais bien un palmarès dans chaque catégorie, ce serait moins "fourre-tout" mais je n'ai pas les manettes pour diriger le jeu.

Merci pour ton merci

Bien poétiquement
Cristale

P.S.; avec le scalpel j'ai été un peu maladroite et j'ai laissé un trou béant qui sera difficile à recoudre et à cicatriser

@ Widjet

Merci d'avoir fait ce voyage jusqu'au pays de la poésie onirienne.
Pour moi toujours ce plaisir de te recevoir au coeur de mes textes.
Concernant ce dernier, effectivement la sobriété était de mise, pas d'éclat, pas de sensualité, juste un essai de transcription de la pudeur légendaire des "travailleurs de la mer" retenant les émotions de ces personnages intemporels aux rudes quotidiens.

J'ai vu "ta" Maéva à côté du petit garçon, le front contre la vitre.
Elle disait : "Il pourrait bien neiger", lui, il dessinait un bateau dans la buée de leurs souffles. Ils se tenaient la main.

À bientôt Widjet, avant dix ans...

Cristale

@Claudelorin

Citation :

Bonjour Claude,

Vos compliments me font rougir.
Comment pourrais-je vous répondre autrement qu'avec un grand : MERCI !

Bien poétiquement à vous,
Cristale