Bonjour, je remercie le CE et les correcteurs ayant permis la publication de ce texte.

J'avais intitulé ce pouème "Temps" et j'ai voulu faire mon malin avec un autre titre qui au final ne me convient pas vraiment.

Eki, je suis heureux que vous ayez entendu "battre le cœur" de ces quelques lignes, vous avez sans aucun doute l'ouïe fort fine ;) Merci à vous.

Dian , vous avez raison ce texte est probablement "abstrait", j'ai voulu en effet lui imprimer un rythme assez cadencé et y introduire quelques allitérations, merci de l'avoir remarqué.

Provencao, oui les "leurres de la vie" sans doute, mon "intention" était de tenter d'illustrer ou plutôt de marteler les effets ou les notions tournant autour du Temps (et peut être aussi du pot ... :)
Merci pour votre lecture et commentaire.

Eskisse, merci beaucoup pour cette interprétation fort intéressante de mon texte qui me convient parfaitement. Au plaisir.

papipoete, je vous remercie pour votre lecture et commentaire, lecture que je sais pourtant pénible pour vous, je salue votre fidélité tenant pour ma part plus de l'héroïsme que du masochisme... ;) Sinon, ma tasse de thé, je ne sais pas, lorsque j'écris un texte c'est que j'ai envie de l'écrire, peu importe la manière. Merci à vous.

Damy , je suis fort content qu'un "classique romantique" tel que vous vienne déposer quelques mots sous mes lignes, effectivement j'ai un faible assez prononcé pour les antonymes... Merci bien.

hersen, et paf alors!


Voilà un grand merci à tous , je ne suis guère présent sur le site et je le regrette, mais c'est ainsi, je ne l'explique pas vraiment, peut-être que cela reviendra.

Merci de votre explication
Cordialement

Salut Pouet,

Ca m'apprendra à avancer des élucubrations.... J'aurais au moins pris le "temps" de plusieurs lectures et d'une frêle interprétation. Mais merci de me rassurer ...

Nous attendrons, Pouet, nous attendrons.

Provencao, merci pour votre merci.

Eskisse , ton interprétation n'est pas frêle. Le Temps consume physiquement et en son consumérisme autant qu'il (nous) consomme ; la " société de consommation" ou du " toujours plus vite" colle bien à l'idée que je m'étais faite, un peu à chaud, du Temps et de ses "prélats", de ses excuses, de ses dérivés, ambivalences et leurres...
Bien à toi.

hersen, l'attente (sans rien faire) est devenue chose compliquée pour les enfants particulièrement. Pourtant, c'est dans l'attente ou dans l'ennui que fleurit l'imagination.

Slt Louis ,

je ne sais si vous avez lu ce modeste forum ou si vous avez déduit par vous-même le thème de ce texte, peu importe même si la deuxième occurrence me permettrait de dire que mes mots n'étaient pas si imperméables à la compréhension. Vous pointez il me semble certaines contradictions de ce poème imparfait et vous avez bien raison. Un grand merci à vous qui prenez le temps de commenter et de déposer vos analyses fouillée et pertinentes.

Bien à vous.

Sinon vous parlez de "jaillissement" dans votre commentaire, ce qui me ramène à un des passages que j'ai coupés :

"ruisselle ou jaillit
glissement perpétuel d'éveil en somnolence
de sources luminescentes en résurgences sombres "

Voilà peut-être, s'il en fallait, un gage de plus pour votre sagacité.

Merci Cyrill et joyeux Noël !

Salut Pouet

J'ai déduit le thème du texte, le "temps", sans le recours du forum, mais n'étant pas certain de mon interprétation, je suis venu la vérifer dans vos retours.
Votre texte n'était donc pas tout à fait hermétique. Le sens ne m'est pas apparu toutefois à la première lecture, il a fallu une grande attention à ce qui voulait se dire, au détriment peut-être d'une sensiblité à la musicalité du poème, afin de le déceler.
Ce qui a produit en moi des doutes, et problament dérouté nombre de lecteurs, c'est le qualificatif "osseux" de la première strophe.
Le temps pourrait-il être dit "osseux" !
Il m'a fallu passer par ce glissemet de signes entre "osseux", "crâne", "tête", "conscience" pour l'admettre.
Par celui d'ossature aussi, comme trame et structure.
Quiqu'il en soit, ce qualificatif m'a posé problème.

Merci Pouet pour la "sagacité".

Slt Louis,

oui le osseux m'est apparu assez "naturellement " ou friablement si j'ose dire, après passage bien entendu, sans doute un rapport avec les têtes de morts, les crânes.
Le Temps qui effrite. Qui est à l'os.
Cioran disait qu'il fallait toujours essayer de voir le squelette de l'homme ou de la femme qu'on a en face de soi, de le voir vraiment . Ou quelque chose d'approchant. Il me sembe dailleurs aussi qu'il évoque la folie que ça peut engendrer à la longue :)

Certainement que voir le Temps ne devrait pas non plus mettre les psychiatres au chômage...

Bien à vous