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L'Imposteur intègre
Visiteur 
Merci beaucoup au CE d'avoir édité ce texte ainsi qu'aux commentateurs ! Je vous embrasse.

Merci Maria pour votre commentaire et la comparaison avec le Horla. Effectivement la déroute du personnage ne s’arrêtera pas avec le train et la « nuit noire ». Mes nouvelles sont insérées dans un recueil et parfois on ne les comprend pas ici car elles sont présentées isolées les unes des autres. Après cette nouvelle, le personnage se retrouve à l’hôpital psychiatrique ! --- Vous parlez de maladresses dans la narration, si vous pouvez m’en citer quelques-unes, cela me permettrait de songer à modifier le texte, c’est un des grands bienfaits d’Oniris.

Merci Corto pour ce bravo ! J’aime beaucoup le texte que vous m’offrez.

Babefaon, merci pour ce commentaire. Oui, il vaut mieux choisir une voie qui nous plaît, la vie étant assez difficile comme ça. Le personnage est-il conscient vous demandez-vous ? Je dirais qu’il est complètement volontaire au début mais qu’il s’hypnotise de lui-même et va de plus en plus loin dans la bravade puis la folie. Sur la fin, vous dites qu’elle est trop réaliste, c’est ça ?

Donaldo, vous faites le métier de mes rêves. Manque de réalisme ? C’est subjectif, sans doute. Disons que vous êtes étonné par la réponse de la voisine. En fait, l’étudiant n’a pas confiance en lui et génère autour de lui d’autres réponses que celles que vous avez l’habitude de recevoir… que pourrais-je ajouter pour que ces réactions paraissent naturelles ? Et que voulez-vous dire par une narration en boucle ?

Quieto, je ne suis pas d’accord sur ce qui vous semble être une critique : le métier de consultant ne se décline pas par spécialités. Il aide les responsables d’entreprise à comprendre une situation et à décider, plutôt qu’ils n’expliquent ; mais je crois qu’ils se spécialisent tout de même à la longue. Sur la réaction de la voisine, je la trouve étonnante aussi, et elle est de nature à rendre fou l’étudiant. Il faut croire qu’il se croyait chez les moutons, alors qu’il est chez les loups. Des entretiens d’embauche aux écoles de commerce ? Oui, et cela compte pour 1/3 de la note orale. Sur les propos de Madame P. vous avez raison, je vais mettre ce mystère au clair, car son autoritarisme est excessif. Regardez tout de même ce qu’elle dit au début : elle veut se mettre le directeur de l’école dans sa poche par ailleurs elle reste l’étudiant pour savoir s’il est assez fou pour obéir à ça. Elle va jusqu’au bout de sa partie, pour voir. Finalement, tout le monde est excessif.
J’ai des ressemblances avec le personnage, mais je n’ai jamais réagi comme lui, je précise… j’ai voulu jouer sur les limites de la vraisemblance, avec l’existant. Mais bon, comme je le dis quand une de mes nouvelles est éditée ici, elles sont toutes insérées dans le fil directeur d’un recueil de 36 nouvelles… aussi je perds beaucoup en signification.

Plumette, est-ce qu'un jeune peut se juger lui-même immature ? Demandez-vous. Cela me semble évident. Qu’est-ce qui vous empêche de le penser ? Et il n’est pas si jeune, il a au moins 20-22 ans. Pour Quieto comme pour vous, l’étudiant se soumet à la critique soudaine de la dame, parce que dans l’introduction, je pense, il insiste sur le fait qu’il n’a pas confiance en lui. Il faut, il faudrait, que j’arrive à exprimer l’idée suivante : les personnages ne sont pas isolés entre eux. Ce que fait l’un a un impact sur l’autre. Je ne sais pas comment écrire ce qui amènerait mes lecteurs à voir ce que je vois. J’imagine la scène alors que beaucoup de mes lecteurs ne la voit pas. Parfois ça marche, parfois ils ne comprennent pas que c’est du théâtre ou du cinéma, ils croient que c’est ce qui se passe dans ma tête : point du tout ! C’est du réalisme. Aussi, la critique de manque de réalisme, comment la prendre ? Je ne sais pas. Je crois que l’essentiel de notre malentendu, quand il y en a un… c’est que les lecteurs ne voient pas que les répliques se suivent, que les idées s’enchaînent. Qu’attendent-ils pour commencer à lire ? On dirait qu’ils considèrent jusqu’à la fin que chaque phrase est le début du texte. Voyez, plumette, vous dites « une inconnue » : hmm… non, ce n’est pas une inconnue. C’est une dame qui assiste à une conférence sur le consulting et n’étant pas une étudiante, elle est sans doute une consultante, une DRH, peut-être est-elle venue pour pêcher des talents ou des stagiaires, ou pour prendre la parole en second lieu. L’étudiant le sait et je l’écris. Il dit « elle m’avait cerné ». Il va vite en besogne, peut-être, mais c’est lui qui va vite en besogne, c’est un fébrile, il désire devenir consultant mais pense ne pas en avoir la capacité.
Peut-être que c’est difficile à voir sans avoir lu les deux nouvelles qui précèdent, mais le format d’Oniris ne me permet pas de former un fil directeur.

**

On pourrait presque ouvrir un fil sur ce malentendu que je relève : beaucoup de lecteurs ne croient pas que l'auteur a écrit ce qu'il a écrit. Ils contestent que c'est écrit. On peut ne pas se laisser aller à la nouvelle et ne pas l'avoir comprise. On peut dire "je n'ai pas accroché". Mais peut-on dire : ce n'est pas réaliste ? "Ce n'est pas ça, Monsieur l'auteur, vous avez tort" ? D'après moi, cela n'a pas de sens. C'est trop centré sur l'auteur et sur ce qui se passe dans sa tête. Est-ce bien utile d'essayer de le deviner ?

Contribution du : 18/10/2020 00:33
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Re : L'Imposteur intègre
Visiteur 
Bonjour Arsinor,

Merci du complément d’informations que vous apportez à votre texte.

Concernant la consultance, il ne s’agissait pas d’une critique, tout au plus d’une remarque, et j’émettais un doute quand vous affirmez. Il se trouve que je suis moi-même consultant, c’est du moins ainsi que des gens qualifient ma position dans une entreprise pour l’exercice d’un métier, sous statut d’indépendant (freelance, terme plus communément utilisé), n’ayant rien à voir avec du conseil aux entreprises, qu’il soit de stratégie ou de toute autre nature (et je n’ai fréquenté aucune école de commerce), mais tout simplement parce que j’y ai été placé par une « boîte de consultance », n’ayant elle-même rien à voir avec le conseil puisqu’elle n’est en réalité qu’un intermédiaire de recrutement, profitant certainement du caractère ronflant d’une dénomination pour justifier de grasses commissions, récurrentes de mois en mois puisqu’elle demeure mon contractant direct. J’ai bien conscience du caractère abusif de ces appellations, voire de l’usurpation qu’elles représentent, mais ce sont pourtant celles qui ont cours.
C’est l’unique raison pour laquelle je me suis permis de faire une remarque à ce sujet qui, comme je l’ai précisé dans mon commentaire, n’est qu’un détail de l’histoire.

Concernant la réaction de l’étudiante, vous écrivez :
« Sur la réaction de la voisine, je la trouve étonnante aussi, et elle est de nature à rendre fou l’étudiant. Il faut croire qu’il se croyait chez les moutons, alors qu’il est chez les loups. ».
Je n’ai pas plus suivi de formation de zoologiste que d’économiste , mais je ne pense pas qu’un loup, même en meute, s’attaque à une proie potentielle sans en avoir évalué les forces et les dangers. Et j’en reviens alors à ce que j’avais écrit dans mon commentaire :
« La réplique du personnage féminin dans le premier dialogue est surprenante, non que je la juge impossible dans un contexte plus développé, mais peu crédible à l’adresse d’une personne qu’a priori, ce personnage ne connaît pas du tout. Et s’ils se connaissaient déjà, la narration ne permettrait pas de le savoir. »
Le personnage central était-il un parfait inconnu pour cette étudiante au moment de lui répondre ? N’a-t-elle pas eu l’occasion, même un tout petit peu, de le voir évoluer et se comporter, ou n’a-t-elle pas assisté à un comportement ponctuel marquant de celui-ci, ou un tel comportement ne lui a-t-il pas été rapporté ? Gluck, dans son bureau, semble connaître le comportement curieux récurent du personnage (cfr. sa réplique ironique « Et c’est maintenant que vous vous en apercevez ? dit-il en souriant », en réponse à « Je suis psychotique ! »). N’a-t-il pas une certaine réputation dans l’établissement ?

Concernant l’entretien d’embauche, je pensais que vous désigniez sous ce terme un examen d’entrée ou ce genre de choses, antérieur donc à l’entrée dans l’école. D’après vos explications fournies ici, je crois comprendre qu’il s’agit en réalité d’exercices dans le cours des études, ou plus exactement d’examens permettant d’en évaluer le suivi.

Concernant les propos de Madame P., vous écrivez :
« Sur les propos de Madame P. vous avez raison, je vais mettre ce mystère au clair, car son autoritarisme est excessif. Regardez tout de même ce qu’elle dit au début : elle veut se mettre le directeur de l’école dans sa poche »
J’ai regardé et je n’ai rien vu. Où ça ?
Vous écrivez encore :
« par ailleurs elle teste l’étudiant pour savoir s’il est assez fou pour obéir à ça. Elle va jusqu’au bout de sa partie, pour voir. »
Et comment va-t-elle connaître le résultat de ce test ?
Je rappelle ses ordres : « Vous ne rentrez pas chez vous. Vous ne faites pas vos bagages. Vous allez à la gare et vous prenez le premier train. Vous n'aurez pas de diplôme. Vous êtes psychotique. Vous ne remettez plus les pieds à Rouen. Vous ne prévenez ni vos parents ni personne avant de vous retrouver dans un autre pays. »

J’attendrai peut-être que me soient communiquées les autres nouvelles de votre recueil avant de revenir à celle-ci et d’y porter un regard plus éclairé puisque j’apprends que ne pouvais pas réellement lire celle-ci sans avoir lu les autres.


Eh bien, je ne pensais pas répondre si longuement à vos explications et j'en suis bien désolé. C'est seulement qu'elles rendent le texte encore plus nébuleux qu'il ne l'était avant de les avoir reçues.

Contribution du : 18/10/2020 03:18
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Re : L'Imposteur intègre
Visiteur 
Bonjour Arsinor,

Ma réponse au paragraphe me concernant était déjà si longue que je n’aie plus songé à lire les autres ni à me permettre de réponse plus longue.
Mais vous y posez pourtant de très intéressantes questions qui mériteraient certainement plus d’attention.

Je ne sais pas comment écrire ce qui amènerait mes lecteurs à voir ce que je vois. J’imagine la scène alors que beaucoup de mes lecteurs ne la voit pas. Parfois ça marche, parfois ils ne comprennent pas que c’est du théâtre ou du cinéma, ils croient que c’est ce qui se passe dans ma tête : point du tout ! C’est du réalisme.

Je pense qu’il serait très abusif de la part de quiconque de vous dire comment il faudrait écrire votre texte. Vous en êtes l’auteur et seul maître. Le contenu vous appartient. Même l’écriture proprement dite, qu’on pourrait désigner sous le terme style, vous est propre. La marge de latitude est donc assez faible si l’on ne veut pas se substituer à l’auteur.

Ce que je peux vous proposer, c’est ma propre vision de la chose et à vous de voir si elle peut avoir quelque pertinence ou si je suis dans l'erreur.

Vous avez utilisé deux mots très intéressants : cinéma et théâtre. Lorsque nous écrivons, je suppose que nous avons tous en tête des images, statiques ou animées. Contrairement au cinéma et même au théâtre, l’écriture est l’unique vecteur de transmission de ces images d’un individu à l’autre. Je comprends qu’il soit très frustrant de constater que le cinéma présent dans la tête du lecteur soit très différent de celui présent dans la tête de l’auteur, et encore plus frustrant de constater que le matériel de projection du lecteur soit en panne.

Je pense que l’exercice auquel vous vous livrez est extrêmement difficile. S’il s’agit de transmettre des situations plus communes, quelques mots, peut-être, permettent au lecteur de trouver dans sa cinémathèque des bouts de films qu’il puisse poser sur ces mots, et tant pis si les couleurs, le décor, les costumes, ne sont pas tout à fait identiques à ceux de l’auteur. Techniquement, on pourrait voir ceci comme un mode transmission compressé dans lequel l’auteur transmet des informations essentielles, le lecteur disposant du matériel permettant de reconstituer les éléments manquants afin de reconstruire un ensemble aussi fidèle que possible à l’original.
Mais vous voulez transmettre des situations très particulières, très surprenantes, des comportements peu communs et le lecteur peut avoir du mal à trouver dans sa cinémathèque les bouts de films qui pourraient y correspondre. Dans ce cas, la compression du message ne permet pas de reconstituer l’ensemble. Peut-être qu’il faut adopter un taux de compression plus faible, et c’est d’ailleurs ce que vous écrivez en signalant que vos nouvelles font partie d’un ensemble plus vaste. Ou alors, il faut revoir la technique de compression.

Vous écrivez :

Mais peut-on dire : ce n'est pas réaliste ? "Ce n'est pas ça, Monsieur l'auteur, vous avez tort" ? D'après moi, cela n'a pas de sens.

Il ne s’agit pas tant de vous dire que vous avez tort. Si on ne comprend pas ce que vous dites, il est impossible de vous dire que vous avez tort, en effet, mais on peut tout de même vous dire qu’on ne comprend pas.

Contribution du : 18/10/2020 12:43
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Re : L'Imposteur intègre
Maître Onirien
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Bonjour Arsinor

Merci pour votre éclairage à propos de votre texte.

Dans ma perplexité face à votre nouvelle qui m'a interressée, je ne prétends pas vous dire ce que vous auriez du écrire pour me convaincre.

En tant qu'auteur(e) j'attache de l'importance à être comprise des lecteurs et c'est peut-être pour cette raison que je cherche dans les textes des autres des éléments qui rattache leurs récits à une réalité qui m'est accessible.

Citation :
est-ce qu'un jeune peut se juger lui-même immature ? Demandez-vous. Cela me semble évident. Qu’est-ce qui vous empêche de le penser ? Et il n’est pas si jeune, il a au moins 20-22 ans.


Il me semble que le mot immature est un jugement assez fort qu'on peut porter sur soi-même dans l'après coup me semble -t-il. "lorsque j'ai fait ceci ou cela , j'étais immature" je suis plus d'accord avec l'idée de "je manque de confiance en moi" ou " je ne suis pas sûre d'être bien à ma place"

Autre chose, à propos du "je" de votre narrateur:

je ne suis pas psychiatre, mais je croyais que les gens qui sont paranoïaque au sens psychiatrique du terme sont plutôt dans le déni de leur maladie?
Quant à l'appréciation de la voisine d'amphi, je pense en effet qu'il manque un maillon pour que le lecteur lambda ( dont je suis) puisse comprendre pourquoi elle l'agresse ainsi. Qu'a-t-il montré de lui qui puisse l'autoriser à être aussi péremptoire?

est-ce que je me fais mieux comprendre en ce qui concerne mes réserves?

Contribution du : 18/10/2020 13:41
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Re : L'Imposteur intègre
Visiteur 
Hello plumette, merci de votre réponse.

Citation :
est-ce qu'un jeune peut se juger lui-même immature ? Demandez-vous. Cela me semble évident. Qu’est-ce qui vous empêche de le penser ? Et il n’est pas si jeune, il a au moins 20-22 ans.

Il me semble que le mot immature est un jugement assez fort qu'on peut porter sur soi-même dans l'après coup me semble -t-il. "lorsque j'ai fait ceci ou cela , j'étais immature" je suis plus d'accord avec l'idée de "je manque de confiance en moi" ou " je ne suis pas sûre d'être bien à ma place"

Le narrateur est et se juge immature en toutes circonstances, cela me paraît si plausible que je me trouve immature encore plusieurs années après les études.

Autre chose, à propos du "je" de votre narrateur:

je ne suis pas psychiatre, mais je croyais que les gens qui sont paranoïaque au sens psychiatrique du terme sont plutôt dans le déni de leur maladie?
---
Ils le sont lorsqu'ils sont en crise, mais ils ne sont pas toujours en crise. Par ailleurs, le fait de s'approprier les mots des psychiatres n'est pas gage de prise de conscience. Ici, l'étudiant a une certaine malignité, contre lui-même, de répéter le même diagnostic, qui n'en est plus un mais se réduit à un cri.

Quant à l'appréciation de la voisine d'amphi, je pense en effet qu'il manque un maillon pour que le lecteur lambda ( dont je suis) puisse comprendre pourquoi elle l'agresse ainsi. Qu'a-t-il montré de lui qui puisse l'autoriser à être aussi péremptoire?
---
Je croyais que le lecteur allait le déduire. En effet, l'étudiant pose une question qui suppose qu'il n'a rien à faire dans cette école de commerce. Il est très difficile d'y entrer car les concours sont de haut niveau alors pourquoi tant d'efforts ? C'est bien que l'étudiant est un imposteur : il se fait passer pour un étudiant voulant travailler dans une entreprise de consulting.

Voilà

Merci de votre lecture plumette.

Quieto, je me vois mal répondre à vos messages, vous paraissez très contrarié et vu le nombre d'objections je préfère m'abstenir. Mais je confirme pour le mot de consultant, j'ai fait ma troisième année d'ESC dans le consulting, avant de me diriger sur une autre voie professionnelle... mais je ne suis pas parti sur un coup de tête comme "lui".

Contribution du : 18/10/2020 18:34
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Re : L'Imposteur intègre
Visiteur 
Arsinor,

Je pense que nous serons d’accord pour dire que nous sommes de grands garçons et qu’il est inutile de perdre notre temps à ce genre de petits jeux.

Vous évoquiez la possibilité d’ouvrir un autre fil pour aborder vos questions au sujet du manque de compréhension de vos lecteurs (Je ne sais pas comment écrire ce qui amènerait mes lecteurs à voir ce que je vois) et j’ai supposé que des réponses de ceux-ci pouvaient vous intéresser. Il est en effet un peu vexant de constater que ce n’était pas le cas, mais les problèmes d’ego sont bien futiles et je vous souhaite sincèrement de trouver des réponses à vos questions, seul si les autres ne peuvent vous y aider.

Bonne soirée

Contribution du : 18/10/2020 19:28
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Re : L'Imposteur intègre
Visiteur 
Pardon Quieto, je n'ai rien compris...

Contribution du : 18/10/2020 20:45
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Re : L'Imposteur intègre
Visiteur 
J’ignore ce que vous n’avez pas compris, Arsinor.

Dans votre texte, vous expliquez ce qu’est la consultance. Dans mon commentaire, je signale que, selon moi, ce terme peut revêtir bien d’autres choses, mais que ce n’est qu’une remarque sans grand importance et non une critique. Dans votre réponse à mon commentaire, vous dites n’être pas d’accord avec ce qui vous semble être une critique. Dans ma réponse à votre réponse, je vous signale que je suis moi-même consultant et que, dans mon cadre propre, ce terme ne signifie pas ce que vous décrivez, sans nier qu’il peut aussi signifier ce que vous décrivez. Dans votre réponse à ma réponse à votre réponse, vous persistez dans votre malentendu. Ceci est un dialogue de sourds s’apparentant à un sketche et je pense inutile de perdre notre temps pour quelque chose d’aussi insignifiant.

En revanche, vous vous posez des questions que je trouve intéressantes et j’ai pris la peine d’y proposer une réponse (proposition, rien de plus), ce à quoi vous me répondez « Quieto, je me vois mal répondre à vos messages, vous paraissez très contrarié […] » Pourquoi aurais-je été contrarié à ce stade ?

Voyez-vous, Arsinor, je trouve malgré tout cela intéressant car si ce genre de situation avait été intégré à votre nouvelle, j’aurais déjà trouvé plus crédible l’attaque verbale de l’étudiante contre le héros.
Heureusement, je ne suis pas un loup.

Je retourne à mes lectures et vous souhaite une bonne journée.

Contribution du : 19/10/2020 10:42
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Re : L'Imposteur intègre
Visiteur 
Ce n'est pas une étudiante, Quieto, c'est une dame, retrouvée ensuite dans le couloir...

Contribution du : 19/10/2020 23:36
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Re : L'Imposteur intègre
Visiteur 
Arsinor,

Je vais terminer par là (ce que je pensais avoir déjà fait depuis au moins deux posts) car nous avons un réel problème de communication, peut-être même de logique.

Déjà, sur le sujet très accessoire de la définition de la consultance…
Dans votre texte, vous décrivez une pomme pour expliquer ce qu’est un fruit. Je vous dis simplement qu’il existe aussi des bananes, des kiwis, des pamplemousses, qui sont aussi des fruits sans être des pommes, et vous me répondez « Non, non, Quieto, je sais bien ce qu’est une pomme ».

Vous me dites à présent « Ce n'est pas une étudiante, Quieto, c'est une dame, retrouvée ensuite dans le couloir... ».
Je l’ai appelée « étudiante », plumette l’a appelée « voisine d’amphi », Donaldo75 l’a appelée simplement « voisine ». Peu importe qu’il s’agisse d’une étudiante. Il s’agit du premier personnage féminin s’adressant au héros, dans la salle ou le lieu où se tient une conférence, pour lui dire « Des petits paranoïaques comme vous, j’en ai croisé des dizaines. Ça freine des deux pieds jusqu’à ce qu’on les vire. ».
Si le héros de votre nouvelle devait être coutumier de problèmes de communication tels que ceux que nous connaissons sur ce fil, je pourrais mieux comprendre l’attaque de ce personnage féminin. Moi, je ne m’exprimerais jamais d’une telle façon (et c’est pourquoi je vous disais que je ne suis heureusement pas un loup, puisque vous rangiez vous-même ce personnage dans la catégorie des loups), mais je pourrais néanmoins comprendre son agacement. Je vous dis donc simplement que si votre nouvelle avait contenu quelque situation de ce genre, avant l’intervention de ce personnage féminin, j’aurais malgré tout été moins surpris de sa réaction.

En revanche, vous ne dites rien au sujet de mon post#3, réponse à une question semblant être importante pour vous. J’ai l’impression que nous évoluons dans deux univers disjoints.

Je vous parle d’une chose et vous me répondez sur autre chose. Je préfère que nous en restions là. Ce n’est pas que je refuse de communiquer avec vous, Arsinor, mais il me parait impossible de le faire dans ces conditions et nos échanges ont déjà beaucoup duré pour n’aboutir nulle part.

Contribution du : 20/10/2020 11:29
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