Merci à Oniris d’avoir accepté ce texte, aux lecteurs et commentateurs de l’avoir parcouru et évalué, tout particulièrement socque, papipoète, Angieblue, Davide, Ombhre, Charivari, Luz et Donaldo75 qui ont eu la gentillesse de laisser un commentaire.

Sur la forme, j’ai hésité entre la prose et la forme libre étant donné la longueur de certains vers. J’ai préféré le libre en jouant sur les sonorités. Cela a déconcerté certains d’entre vous et séduit d’autres. Le regard porté par chacun est intéressant.

Pour écrire ce poème, je me suis inspirée à la fois des histoires de loups dévoreurs d’agneaux, bien sûr, mais aussi de l’excellent livre d’Olivia Gerig « L’ogre du Salève » lu voici quelques années. Ce roman policier inspiré par des faits réels raconte l’histoire d’un cannibale «moderne» qui enlève, tue et mange des jeunes filles sur les pentes du Salève (montagne au-dessus de chez moi). J’ai aussi voulu faire un parallèle avec les enfants kidnappés et abusés par des « monstres » humains.

Ainsi, ce texte peut être lu de plusieurs façons comme certains d’entre vous l’ont pressenti, l’agneau sacrificiel symbolisant l’innocence quelle que soit la victime.

Merci pour les précisions, ANIMAL, elles apportent un plus à ma compréhension de ce poème franchement réussi.

Un grand merci, Cat, pour ta lecture et ton commentaire élogieux.

J'avoue que je me demandais comment mon poème serait reçu car le sujet est plutôt sombre et sa parution tombait le jour de Noël

Bonsoir Animal,

Maintenant que tu le dis, je peux bien t'avouer ne pas avoir focalisé sur le thème de ton poème. Bien sûr, j'ai suivi l'histoire (les histoires) de l'ogre et toussa, mais tellement subjuguée, transcendée par ton écriture si forte et tes mots conséquents, que pas une seconde je ne me suis laissée aller à la pleine horreur. Les frissons viennent seulement maintenant, en te lisant. Un peu comme si j'avais échappé au danger imminent.

Pour ce qui est de ta crainte de la parution à Noël, je reste malheureusement persuadée que les monstres ne respectent pas particulièrement la trêve des confiseurs pour leurs funestes agissements.

En tout cas, j'ai eu grand plaisir à lire ton poème et j'aurais aimé le décortiquer davantage, mais comme plus ça va et moins j'ai de temps pour lire et commenter, j'ai des choix à faire si je veux participer un minimum.

À te relire bientôt.

Et merci pour ton retour sur com'. C'est toujours gratifiant de savoir comment l'auteur prend les avis.


Cat

@ Cat

Nous sommes d'accord en tous points.




@ Myo

Merci beaucoup pour avoir pris le temps de lire et de commenter mon poème. Le thème est en effet assez sombre et j'ai cherché à le traiter par paraboles.

Bonjour Zeste,

Merci pour votre passage sur mon texte et d'avoir eu la gentillesse de laisser un commentaire.

Je suis chineuse aussi et bien d’accord avec vous, on fouine un peu au hasard et tout à coup, on tombe sur « la » trouvaille qui fait battre notre cœur.

J’aime beaucoup votre formule « on est toujours riche de l’autre ».