Bonjour et merci aux commentateurs de tout bord qui se sont intéressés à ce récit rythmé où les pincées de sel dégorgent.
Commençons par le titre du texte : "La coquille" est l'un des nombreux synonymes de bévue et la suite doit donc couler plus facilement de source (pardon, de mer).
L'anodonte, coquillage d'eau douce, remontant à des millénaires, pullulait à l'embouchure du Nil qui se jette dans la ............
Des moines guerriers de la province précitée ont ramené de leur périple beaucoup de ces coquilles nacrées comme ustensiles de vaisselle, notamment à l'usage de cuillères. L'anodonte a donc bien traversé, à sa manière, les océans.
Tout le reste dépend de l'imagination de chacun. Quant à ce vers "confondre le poisson avec le steak tartare..." nul n'ignore que le tartare de poisson (d'eau de mer comme d'eau douce) est bien antérieur au tartare de viande ; d'où ce clin d'œil supplémentaire qui rend burlesque l'échange verbal entre les deux protagonistes.

J'espère avoir répondu globalement aux interrogations de chacun.
Bien à vous.

Bonjour lucillius et merci pour ces éclaircissements.

J'ignorais les tribulations passées des anodontes et je dois avouer que je découvre aussi le tartare de poisson.

De ce fait je comprends mieux votre texte... et m'en vais de ce pas y accoler une appréciation.

Bonne continuation !