@Castelmore : Je pense que je vois ce que vous voulez dire.

Citation :

Je suis un barbare, excusez-moi
Ne pensez pas que j'en ai après vous, je suis plutôt reconnaissant de vôtre point de vue. J'aurais du dire "que je ne trouve pas ça plus français".

@Shepard

Selon les Grecs anciens nous sommes tous des «barbares »

Mais nous avons évolué... nous sommes tous Oniriens et amoureux d’une belle langue ... chacun à notre façon, voilà tout !

N’est-il pas beau le temps ?

Cordialement
Castelmore

Je vous entends, mais c'est l'hiver dans mon hémisphère, alors question temps c'est pas la joie

@Malitorne : Merci du passage et du commentaire ! Question catégorie... Oui, c'est la limite du système. Pour moi l'histoire est un thriller plus qu'autre chose, mais bon... Sur le site je rentrerais alors dans le "policier", ce qui ne colle pas. Ce n'est pas tant une histoire de femme battue, qui sert juste de contexte, c'est une histoire de vengeance, d'où la fin "en éclat" . Aussi, Magda n'a plus toute sa tête... Plus sage pour l'écriture, oui... Il y a quelques moments et le reste est assez banal, je ne voulais que pas cela soit trop halluciné...

Tu as raison, Shepard, il faut préserver les arbres. Le numérique, c'est fantastique. Bon, je vais écouter le poète Christophe C, de Paris Place Beauvau.

@Alfin : Merci pour vôtre lecture et commentaire !
Oui, Andrew est très (trop) unidimensionnel, je me suis fais la réflexion plusieurs fois - il est nul même dans son business Le rendre moins antipathique aurait créé une fin plus dramatique, c'est certain. Mais au fond, c'est aussi un choix de ma part : on veut souvent trouver une raison au mal (enfance difficile, trauma...) alors que souvent... il y a beaucoup de cons, qui, avec un peu de pouvoir, sont abominables. Andrew est de cette espèce.
Je vois aussi vôtre point de vue pour le frère... Mon idée est que la honte empêche Magda de parler. Au final, elle est trop fière pour appeler à l'aide, et trop apeurée que son frère ne réalise pas l'ampleur du désastre. C'est aussi pratique pour l'intrigue, oui, un peu, j'avoue

C'est peut être ça mon défaut dans l'écriture, c'est que je donne libre choix à mes personnage de faire, de réagir comme ils veulent (oui je suis Multi-schizophrénique en temps qu'auteur) le problème c'est que ça rallonge considérablement l'écriture

Belle journée

@Tiramisu : Déjà, merci pour l'écriture, je m'attache pas mal au visuel
Pour le reste je pense que tu es au poil. Oui, le retournement de situation demeure assez exceptionnel, c'est là où l'aventure triche. Bien que, Magda est effectivement rebelle et instable. Mais pas psychopathe, elle aurait plutôt tendance à développer un comportement sociopathique et sait s'intégrer dans un monde qui lui déplaît et à feindre la normalité. Les sociopathes représentent un large spectre, mais ils ont conscience du bien et du mal, ils n'éprouvent simplement pas de remords. Certains sont tout de même capable d'empathie voir d'amour par des efforts de compartimentalisation, ce qui les rend très difficile à identifier. Je pense que lorsqu'une maladie se développe, il est possible d'avoir des accès de lucidité et vouloir reprendre le contrôle de soi, jusqu'à sombrer progressivement. Magda se trouve encore au début.

Oui Andrew est unidimensionnel, au final je pense que c'est le vrai point fainéant de l'histoire, je voulais juste un connard
Blonte est mieux réussit, je suis d'accord, j'aime bien ce personnage aussi, en tant qu'auteur. Il y a plus à deviner que ce que l'on voit. Il est coupable et il le sait, il n'a même pas à le dénier, il est juste trop faible pour se sauver lui-même, alors encore moins les autres...

Merci pour ta lecture !

@Dugenou : Merci du passage, surtout en "souffrance"
Je ne pense pas qu'Oniris est un fétichisme pour la violence, c'est plutôt censuré et assez soft. On ne fait pas du American Psycho... Bien sûr, chacun à une sensibilité différente à la chose, et parfois, la suggestion est plus efficace encore. C'est un exercice curieux, en tant qu'auteur, d'essayer d'écrire une scène violente (vraiment violente) - dans mon cas, j'ai remarqué que mon esprit essaye de me censurer inconsciemment, comme pour m'éviter ça. Il faut me faire violence (haha) pour y parvenir...

Pour le lieu, ça pourrait être ça. La vérité ? Le fond est totalement fictif, vous y mettez le contexte qui vous plaît. Je ne mets pas beaucoup de détails car je connais mal cette période et je ferais des erreurs qu'un expert s'amuserait à montrer...

Oui, la fin est comique, à sa façon, le guignol est un humour que j'aime beaucoup !