Bonjour à toutes, à tous;

Qu'Oniris soit remercié à travers son comité, de m'avoir édité une nouvelle fois!

Je suis confus de devoir avouer que j'ai commis un péché (véniel j'espère), en mentant dans l'incipit de ce poème à qui je donnais fort peu de chances de paraître dans ces colonnes. Trop noir, si triste me répéta-t-on. Je dus inventer un sujet (love story), alors qu'une nuit bien réelle, je me réveillai exactement comme il est écrit dans mes lignes! Mon épouse frôla le grand départ, il y a 20 ans, et ce cauchemard hante encore mes nuits. Pardonnez-moi?

Lulu: vous avez senti dans mes vers, l'angoisse, la peur de ce « futur à vivre seul «; ceci transcrit en vocabulaire simple; merci à vous.

PIZZICATO: ce moment horrible quand on se réveille, voulant se rassurer, et pourtant constater la dure réalité. Mon texte vous a paru empli de sensibilité; merci à vous.

RB; cher poète, vous me reprochez (gentiment) toujours les mêmes fautes, telle «être engoncé dans un corset qui efface mes émotions»; ou bien «ça sent le travail!» Avant que je n'apprenne à «écrire», j'écrivais en kilomêtres de mots, qui me valurent des «très mauvais». Je dus reprendre à zéro, et savoir le «classique» et ses bornes à respecter; depuis j'ai du mal à en sortir, mais bon...Merci de votre lecture et conseils bienveillants.

Alexandre; désolé d'avoir rallumé ce bûcher, sur lequel brûla ta peine, et merci de m'avoir lu avec grande émotion.

Hananke; bien que n'ayant pas détesté mon poème, vous trouvez que je ne suis pas naturel à travers mon écriture? Bien sûr, sinon aucun de mes poèmes ne s'étaleraient sur Oniris! J'ai une mine d'inspiration (malgré des cachets toxiques qui détruisent mes neurones depuis 40 ans) , l'envie d'écrire toujours, mais cela me demande un énorme travail, pour sortir de ma banale écriture! Le résultat peut ainsi sembler artificiel. Merci pour vos encouragements.

Marité; je suis arrivé à vous transmette mon émotion avec pudeur; vous me touchez par cette remarque. Merci à vous.

Bipol; fidèle parmi les fidèles d'Oniris, je vous retrouve chaque jour comme « premier ouvreur» de ces belles pages! Mes mots simples chargés de sincérité vous ont touché; je vous remercie.

Automnale; toi/toit rimes faciles certes mais que je trouvai adaptées aux vers; cierge/ornement lignes mal aimées, mais chez nous, (mémé en particulier) reposa ainsi entourée dans la chambre d'à côté; maman et Papa avaient cierge, chapelet etc... Cela ne sera sans doute pas mon cas.Et ce carcan des rimes; eh oui, j'ai beaucoup de mal à en sortir, bien qu'il m'arrive d'écrire en prose. Mais ces textes-là n'atteindront jamais ces colonnes! Merci pour votre gentil commentaire.

Pivoine; malgré quelques maladresses, mon triste récit vous a émue, et vous l'avez aimé; merci à vous.

Chimen; étonnament, vous avez aimé ces rimes «faciles» que nos amis (es) m'ont reprochées? Merci pour votre sympathique commentaire.

Francis; j'ai réussi par ma plume, à vous faire partager mon émotion; j'en suis heureux et vous remercie.

Lala; quelques maladresses de rimes n'ont pas empéché l'émotion de monter jusqu'à vous; merci de votre lecture et vos encouragements.

Salut papipoete ! Ne t'inquiète pas pour moi, cette "nuit d'après", pour ce qui me concerne, remonte à quinze ans. Certains évènements ou lectures font bien sûr resurgir le passé mais le temps qui passe adoucit les blessures... Ainsi va la vie !
Bonne journée...

Bonjour papipoete

Ce qui ressort surtout de votre texte et bien d'autres avant
c'est que l'on ressent très fort(trop) que vous cherchez vraiment
à trop bien faire par une prosodie affectée.
Et comme je vous l'ai dit, il me semble que vous arrivez
à l'effet complètement contraire.

Bonne soirée.

H