Je remercie le CE d’avoir accepté dans le catalogue, la sérénité et le calme « des bords de Sarthe » et d’avoir ainsi permis aux lecteurs et commentateurs de réserver à ce sonnet tout simple, un bel accueil qui a donné lieu à une jolie collection de belles appréciations qui me touchent sincèrement. Merci.

Quoi dire, que vous n’ayez pas dit quasi unanimement, sinon répéter que vous avez aimez l’ambiance bucolique et paisible de ces lieux qui invitent à la médiation, à la mélancolie, au repos et à la paix de l’âme, où pendant un instant le « temps suspend son vol » sans pourtant jamais l’arrêter, comme ce fétu entrainé par le courant.

Certains ont cru percevoir l’évocation d’un deuil, d’une peine de cœur, là où je n’ai voulu exprimer qu’un vague à la l’âme et une émotion suscitée par le temps qui passe et la sérénité de l’endroit.

Merci, papipoete, Miguel, fanny, arigo, Provencao, Vero, Mokhtar, Donaldo, pieralun, Myo, Inconnu1, archibad, pour les belles appréciations (beaucoup plussoté ou non) et Kemo (passionnément) qui me vont droit au cœur et me flattent.

Un grand merci également à socque (bien+), Raoult (bien-) qui a regretté une « décontraction » dans la forme et « décelé des hiatus » (?), Hanancke (bien+) et Lotier qui ne note jamais, pour leurs commentaires très positifs qui me comblent au plus haut point.

Merci à tous pour avoir si bien compris mes intentions de modeste poète.

Merci pour cet instant de plénitude.
Gratitude

Belle et lumineuse journée

Veronik

Merci Etiennenorvins pour votre commentaire et votre appréciation bien agréables à recevoir.
Oui « flouter » je l’ai pris dans le sens de « brouiller, atténuer, déformer »; c’est ce que font les vaguelettes concentriques du remous sur l’image renvoyée par le miroir.
Merci