Avec un peu de retard, je remercie ici les correcteurs, lecteurs et commentateurs de cette histoire versifiée.
J’ai été un peu étonné que personne ne remarque que cette blague était connue (du moins l'avais-je dans mon répertoire : histoire d’un homme fou qui tourne autour d’un puits). Je l’ai simplement adaptée au fou volant. Enfin…

Encore merci à tous les commentateurs (je ne vous cite pas tous) dont plusieurs m’ont prêté plus d’intention que je n’en ai eue. Le fou de Bassan par exemple vit et s’accouple effectivement dans un nid fait de branchages, de restes de poisson, de plumes et d’excréments. Le céleste clochard, lui, n’était qu’un clin d’œil à Kérouac, doublé d’une recherche d’une rime en « ard ».

Le choix de la catégorie part du principe qu’on peut toujours se tromper, et je préfère y rester parce que ce genre de texte, comme le souligne Hananke, ne se prend pas au sérieux. Je n’aime pas écrire en fronçant les sourcils. À quoi bon d’ailleurs ? Il n’y a pas de prix Nobel de fables.