Un grand merci à vous tous qui êtes passés par la case "le lac et le nénuphar", et je m'empresse de le faire car qui sait ce que demain nous serons ?

Merci de vos ressentis différents, et d'avoir mis des mots sur votre lecture.
Certains coms disent exactement la réflexion qui en est à l'origine. Cela va du déjanté au j'ai-rien-compris, en passant par une réflexion plus philosophique (mon dada :)

Sans que cela ait un rapport direct avec ce poème en particulier, il y a déjà un moment que je me dis qu'il n'y a que deux sortes de poésie. Celle qui nous parle et celle qui ne nous parle pas.
Les catégories sont inventées par les hommes, la poésie, elle, n'a besoin de rien : elle se suffit à elle-même. Mais elle ne se laisse pas apprivoiser si facilement et il faut qu'un équilibre se crée entre le texte proposé et le lecteur pour que ladite poésie touche.

Certains commentaires sont pile-poil posés sur le nénuphar et vont complètement dans mon sens. D'autres sont plus réticents et m'intéressent par un autre regard qu'il me font porter sur mon travail.

Je vous remercie donc tous pour cela, vous, Arsinor, socque, Don, Provençao, Vincente, Luz, Papipoète, Eclaircie, Davide, Ferranfeix, ainsi que tous les lecteurs anonymes.

Un fil ouvert...

Bonsoir hersen,

J'ai fait un haïku-résumé :

L'eau verte au creux
d'une feuille de nénuphar -
lac étincelant

Oui, bof, pas facile de rendre compte en si peu de mots.
J'irai vérifier les couleurs dans le marais...



Luz