Cher Pouet et ami
comme vous le dites la comprehension n'est pas nécessaire en poésie qui est affeire de sensibilité
et la sensibilité n'est pas une constante qui s'explique
et je n'ai pas d'explcations à donner pourquoi je n'aime pas

Mais comme je vous l'avais dit "semer des topinambours sur la conjonctice, aracher l'iris at bêcher le cristallin" sont des images horribles, glacante.

Mais rassurez-vous Bobin a écrit des choses moyennes et même très moyennes mais cela fait partie de l'emballage poétique.

Amicalemen t

Salut gino, je me réjouis que vous me considériez comme un ami et cher qui plus est.

Vous faites bien de préciser que vous n'avez pas à vous justifier de votre relative "aversion" envers mon poème ni à me fournir des explications que je ne vous demandais d'ailleurs pas.

Mon propos n'était pas celui-ci, mais portait plus sur le versant de votre propension dérivative et aventureuse à savoir confondre texte, auteur, narrateur, admirateur et toutes ces choses en teur dont les hortricoculaireteurs font aussi bien sur partie.

Sinon, ah oui Bobin... Me voilà rassuré alors.

Merci pour votre intervention

Bonjour Gino, en relisant les réponses de Pouet aux commentaires laissés sous son poème un brin déroutant, je vous précise que je ne suis pas particulièrement admiratrice de ses écrits et je pense être en pleine possession de mon libre-arbitre. J'avoue être souvent surprise de ce besoin de "croiser la plume" (pour ne pas dire "croiser le fer") quand on n'arrive pas à apprécier un écrit publié ... Généralement je m'abstiens de commenter quand un écrit ne provoque en moi aucun ressenti, dans le cas présent, une image s'est imposée à moi en le lisant et j'en ai fait part tout en sachant que peut-être elle n'avait rien à voir avec le contenu du poème. Cela ne m'a pas empêché de trouver que son écriture exigeait une certaine habileté et une perception particulière que je n'étais pas à même de saisir.

EtienneNorvins,

merci pour ce commentaire d'une concision de roi.

Oui, les "voirnassiers", bah , ils demeurent tellement en surface qu'ils en sortent du champ... ils grattent un peu, pas plus, z'ont les chicots élimés, la conjonctivite effrénée.
Ce qu'il y a vraiment à bouffer de la perpeille, ils l'effleurent pas même du bout d'un cil poissé d'absence ; on les garde toujours à l'intérieur, ces miettes immenses comme des vitraux, bien au dévolu de notre conscience ou de notre néant. La candeur peut se confondre avec l'aveuglement ou alors le laisser-aller d'un je m'en foutisme permanent autant que sentimental doublé d'une insistance pour le gouffre. Quant à l'éternel recommencement il est inscrit dans la Constitution.

Louvoyer au fond des bois, qu'importe.

Bien à vous.

Merci pour ce retour plus long que mon commentaire, - d'une concision plutôt de qui a découvert le poème après beaucoup d'autres commentateurs.
Bonne journée sans trop de loups à vouvoyer au fond des bois :)

Oui, vous l'aurez compris, pour la concision j'ai parlé de roi plutôt que de sire pour ne pas être taxé de coupeur de prépuces en quatre.