Un grand merci à vous qui avez lu ma nouvelle, assez longue, avec des réactions très diverses et fort intéressantes.

Mon but était, comme toujours, de distraire avant tout, sans "prise de tête", et d’entraîner le lecteur dans une aventure un peu en « cinémascope ».

Le rythme choisi pour la narration est lent car à l’époque, on se déplaçait à dos de chameau ou à cheval, voire à pied. Et il n’y avait pas internet pour résoudre l’énigme du manuscrit. Il fallait se déplacer d’une bibliothèque à l’autre, écrire des missives à des spécialistes, attendre des réponses, enfin tout cela prenait bien du temps. C’est l’ambiance que j’ai souhaitée rendre.

Certains lecteurs/trices ont préféré le début à la fin, d’autres le contraire. Plusieurs remarques concernent le dénouement, d’autres le déroulement trop prévisible, d’autres encore le style. Et quelques personnes ont apprécié mon histoire, je leur fais un bisou en plus.



Au moins, on ne peut pas dire que cette nouvelle ait fait l’unanimité.

@ poldutor

Je suis ravie que vous ayez apprécié cette expédition dans le désert et je vous remercie de votre commentaire sympathique qui me met du baume au coeur. Merci.

@ maria

Désolée que vous n’ayez pas accroché à mon texte. Pour la catégorie, peut-être aurais-je dû choisir « Aventure ».
J’espère mieux vous convaincre une autre fois.

@ jaimme

Votre avis m’est précieux car j’ai toujours le souvenir de l’Etable (que j’ai relue récemment avec le même plaisir) et un commentaire de votre part est toujours pertinent. Merci.

@ Donaldo75

« mea culpa », j’avoue quelques lacunes et le collège est bien loin. J'essaierai d'être plus stricte mais pas facile de voir ses propres erreurs.

Au moins, vous avez apprécié une partie de l’histoire. Il semble que je n'ai pas su gérer la trame de mon histoire de manière équilibrée.

@ Perle-Hingaud

Merci d’avoir lu ma nouvelle comme un texte d’aventure, je l’ai écrite dans ce but et je suis ravie de votre ressenti. Les zombies ne vous ont pas convaincue, je le comprends car ce n’en sont pas vraiment. Il semble que je me sois mal expliquée. Ce sont les habitants qui ont vieilli sans jamais mourir, même s’ils ont l’aspect de morts-vivants. Je vais tâcher de mieux préciser qu’un sortilège les lie à leur cité et les empêche de mourir avant le jugement dernier. Merci d'avoir soulevé ce point.

@ hersen

Merci avant tout pour le compliment, je serais tentée de ne retenir que lui mais ce serait tricher.

La fin de mon histoire peut sembler « morale », en effet, mais je l’ai surtout voulue cruelle car le héros se retrouve presque sans le sou et, surtout, sans but dans la vie car il avait tout misé sur Amalkhar. Je regrette que cette partie du récit ne vous ait pas séduit.

@ plumette

Merci d’avoir aimé une partie de ma nouvelle. Je suis navrée que vous ayez décroché dans la seconde partie. C’est justement sa soif d’or qui a motivé le héros depuis le début et l’a aveuglé. C’est ce que je voulais faire ressortir. Cela n’a pas fonctionné avec vous.

Pour ce qui concerne le nombre de porteurs, ils sont six de trois ethnies différentes, comme je le précise au début. Ce n’est peut-être pas assez clair et nécessite de revoir ce passage.


Mes sincères remerciements a tous les commentateurs pour leurs analyses et leur ressenti. Cette nouvelle va sans doute subit un petit lifting

Merci, Alcirion, pour votre lecture et votre commentaire.

Je suis ravie que vous ayez apprécié l'aventure, même avec une réserve sur la fin.

Burroughs ou Jules Verne ce sont deux auteurs que j'ai adoré et dont j'ai toujours les romans dans ma bibliothèque.

Bien à vous,

@ cherbiacuespe, merci d'avoir lu et commenté ma nouvelle, et de l'avoir appréciée.

Votre remarque sur l'histoire de la cité est tout à fait pertinente, j'ai été tentée mais la longueur du texte m'a fait renoncer à en rajouter, ma plume ayant déjà tendance à noircir bien trop de pages.

Au plaisir de vous lire,

bonjour Animal.

Une idée, comme ça, en passant. Si le héros portait un nom, il pourrait très bien vivre d'autres aventures. Et cela pourrait donner naissance aux "chroniques de...", puisque vous avez tendance à trop noircir. Ça peut vite, d'une source, devenir un grand fleuve et finir dans une mer.

Je dis ça, je dis rien...

Dans une mer, j'espère pas je ne sais pas bien nager

Mais vous êtes dans le vrai, Ô combien ! C'est comme ça que les Elémentales a commencé avec 1 tome et maintenant je suis sur le 6ème (et dernier ?)



Alors pourquoi pas mon Indiana Jones perso dans de nouvelles aventures ?

Achetez une bouée. Ça marche pour mon fils. Moi j'ai abandonné l'idée de savoir nager, un jour ou l'autre, dans l'eau. Du coup je me contente de nager dans l'imaginaire (ou je peux me rêver en nageur expert sans risquer la noyade).

C'est bien quand cela tient dans un tableau d'ensemble. Un personnage central et des nouvelles autour de lui... Oui, j'aime l'idée. Mais pas un Indiana Jones. Votre personnage me semble accroché à l'idée de devenir riche. Vénal et il possède à l'évidence une solide culture. Un personnage déjà complexe en peu de temps.

Les Elémentales? De la fantasy... Je vais regarder cela de plus près.
Merci.

Pour l'eau, j'ai le lac Léman juste à côté, mais je préférais la mer en Vendée. Plus douce, moins glauque.

Mon héros est vénal car son pauvre père a beaucoup dilapidé en vaines recherches et il faut bien vivre, l'amour et l'eau fraîche se révélant insuffisant.



Mais il a le sens des responsabilités car il n'abandonne pas ses porteurs. Donc on peut encore le sauver.

Peut-être va-t-il trouver un nouveau but à atteindre, une fortune à conquérir, pourquoi pas avec pour compagnon son fidèle Tsiang qui a fait ses preuves de témérité et de courage face au danger.

Ce serait une bonne idée, merci de me l'avoir soufflée.

Oui, il ne faudrait pas le sauver trop vite non plus. Il doit le mériter et vivre des étapes.

Si j'ai pu vous donner des idées, ma foi, j'en serais très fier. Donner, c'est aussi s'enrichir un peu.

@ STEPHANIE 90,

Bonsoir et merci beaucoup d'avoir lu et commenté ma nouvelle, ainsi que d'avoir apprécié globalement cette aventure au coeur du désert.

Vos remarques sont pertinentes. Des dialogues aurait pu aérer le texte mais il était difficile de les insérer dans ce contexte car le chef n'a que des ordres à donner à ses porteurs et ceux-ci n'envisagent pas une seconde d'entamer la conversation avec celui qui les paye. Deux mondes différents sont côte à côte sans grand chose en commun.

C'est pourquoi j'ai choisi l'énigme du cahier afin de briser la monotonie du voyage.

Bien à vous,