Merci à tous ceux qui ont pris la peine de commenter Neige au rouge-gorge. Il semble que le texte ait été favorablement perçu et cela me fait bien sûr grand plaisir. Je ne crois pas que ce soit une nouvelle désespérée, contrairement à ce que dit Pouet. Bien sûr il y a à l'origine une expérience authentique des états dépressifs (je suis contente, Hersen, d'avoir réussi à communiquer ce vécu-là), mais, pour moi,il y a renaissance et vie nouvelle, car la métamorphose finale n'est pas une métaphore, il y a vraiment "réincarnation" sous forme végétale, et j'y vois un grand apaisement.
Alcirion, même si ce n'est pas ce que vous aviez compris, je constate que le texte vous a touché, c'est l'essentiel. D'ailleurs, le couple homme/nature est bien au cœur de la nouvelle, mais à la fin, l'homme se fond dans la vie universelle.

Merci, Ynterr, pour votre lecture et votre appréciation. J'espère ne pas vous décevoir par la suite ! )

Merci, Ombhre d'avoir prêté l'oreille au chant de mon rouge-gorge. Il est vrai que cette nouvelle n'est pas conçue pour ménager une "chute" surprenante, mais comme un glissement progressif vers le merveileux.

Bonjour, Corry, et merci pour votre lecture et votre commentaire. Comme vous l'avez compris, je n'ai pas voulu que la nouvelle s'achève sur une note funèbre. Il n'y a rien de funèbre à revivre sous la forme d'un arbuste vigoureux.