Un grand merci aux lecteurs et aux commentateurs de ce poème dont j'étais bien conscient que le thème n'était pas susceptible de toucher très largement les oniriens. Mais je suis très intéressé par les mythologies en général et le personnage d'Hécate, Séléné, Artémis par sa complexité et sa portée symbolique m'a donné envie de l'évoquer à travers une des légendes qui lui est consacrée. Quoique l'émotion ne soit pas au rendez-vous (sauf esthétique et technique si l'on veut bien admettre que ce sonnet est réussi) je suis ravi qu'il ait été plutôt bien reçu. Je remercie donc Hananke, Mokhtar, Papipoète, TheDreamer, Anje, Poldutor, Pizzicato, Léni, Davide, Senglar, Emilia, de s'y être arrêtés et d 'avoir pris le temps de formuler leurs impressions avec indulgence et clairvoyance. Il n'y avait chez moi aucune volonté d'ésotérisme ni d'ostracisme en traitant ce sujet simplement, peut être, l'envie de susciter la curiosité de quelques-uns vis à vis de toutes ces légendes fondatrices par lesquelles les hommes d'avant la science cherchaient à comprendre le monde et à conjurer les peurs qu'il enfantait. Aussi suis-je désolé que Papipoète et Léni se dévalorisent ainsi alors qu'il est tout à fait légitime de s'intéresser à bien d'autres thème que ceux qui me passionnent. Il n'y a plus de connaissance universelle aujourd'hui et chacun a la liberté du choix de ses centres d'intérêt. En tous cas je veux assurer chacun de ma considération pour ses talents respectifs, de ma gratitude pour son indulgence et surtout de mon amitié.

C.

Curwood,

Je trouve intelligent de vouloir faire partager sa passion via ses textes. La démarche peut permettre à d'autres de s'y intéresser de même et leur donner pourquoi pas d'autres pistes de travail. L'hétérodoxe en poésie me semble une initiative à saluer. Je la salue.

Pensées.

Bonjour Curwwod,

Merci pour ces explications.

Comme je le disais en commentaire, votre texte ne manque pas d'intérêt, il est même formellement très réussi et loin d'être hermétique.

Mais, en ce qui me concerne, j'attends d'un poème qu'il me touche ; autrement dit, je ne peux apprécier un poème que s'il éveille en moi quelque chose...

Au plaisir de vous relire,

Davide