Page d'accueil   Lire les nouvelles   Lire les poésies   Lire les romans   La charte   Centre d'Aide   Forums 
  Inscription
     Connexion  
Connexion
Pseudo : 

Mot de passe : 

Conserver la connexion

Menu principal
Les Nouvelles
Les Poésies
Les Listes
Recherche



Parcourir ce sujet :   1 Utilisateur(s) anonymes





Le sourire de La Joconde - Remerciements et commentaires
Expert Onirien
Inscrit:
22/05/2015 16:04
De REGION PARISIENNE
Groupe :
Auteurs
Évaluateurs
Groupe de Lecture
Membres Oniris
Post(s): 3313
Hors Ligne
Bonjour,
Sincères remerciements aux travailleurs de l’ombre et de la pénombre, administrateurs, modérateurs, correcteurs, animateurs…
Merci également aux lecteurs de passage, aux lecteurs assidus, aux lecteurs de cœur, et à vous tous en quête d’échanges par vos commentaires et par votre intérêt pour mes réponses.
Je vais essayer d’aborder l’ensemble des commentaires par un « Répondre à tous » histoire de changer de format !
Ceci ne doit pas m’empêcher de vous citer tous et de vous renouveler mes remerciements : Pascal31; Alvinabec; Vincendix; hersen; Iloa; papipoete; Alexandre; carbona; Curwwod; Solal; Coline-Dé.

Une nouvelle : Pour moi, ceci implique de cerner son périmètre et de s’y tenir. Ce format court doit se focaliser sur peu de personnages. Le récit s’inscrit dans un contexte mais n’a pas pour vocation de documenter une époque, un métier, un personnage illustre… J’ai donc cherché à respecter une époque sans y inscrire d’anachronismes, tout en laissant une large place à ma fiction.

La Joconde : Le tableau reste plein de mystères, il est supposé avoir été commencé en 1503, et représenter Lisa Gherardini, épouse de Francesco del Giocondo, d’où le nom de « Joconde ». Mais Léonard de Vinci aurait conservé sa toile et l’aurait retravaillée pendant encore quelques années.

Le sourire : Si mystérieux depuis si longtemps, il ne peut pas seulement caractériser un élan amoureux. C’est pourquoi la suggestion de la maternité de Lisa peut apporter un supplément d’âme à ce sourire. Il ne s’agit pas d’une maternité avérée, appropriée, intellectualisée, Lisa ne s’en doute pas encore, mais c’est la maternité hormonale, celle qui sublime la féminité dans sa fonction majeure de procréation. Vous, lecteurs, vous avez compris que Lisa est enceinte grâce à la réplique de sa mère « Tu manges trop, Lisa, alors tu engraisses », quand elle a du mal à rentrer dans sa robe. Il n’y a là aucun éloge de la maigreur, aucune connotation esthétique.

Mon style : Vous le trouvez de manière générale sage, très sage, trop sage… Je suis assez embarrassée avec cette remarque. Sur ce texte, il me semble adapté à la plénitude, à la sérénité, qui doivent rester les mots clés des émotions que je tente de provoquer. S’il s’agit d’une remarque avec une portée plus générale, j’ai à la fois envie de dire « banco » pour un défi à relever dans une autre nouvelle, mais aussi de considérer que c’est peut-être « mon » style. Un style n’est-il pas comme la couleur des cheveux ? Il y a des blonds, des roux, des bruns, et des gris aussi, qu’on assume ou qu’on modifie, avec le risque de les dénaturer, de perdre un peu de son identité.

En conclusion : Vous avez globalement apprécié quelques minutes de détente, avec le sourire de la Joconde qui aura été communicatif, je le souhaite.
Je tiens à souligner la qualité des commentaires, qui ouvrent des perspectives, qui cherchent à comprendre et à encourager, et qui ainsi m’ont donné envie de poursuivre un partage amorcé. MERCI.
Je regrette un seul dérapage, un « déraillement » sur la lecture dans les transports, inutile et vain, sans doute un mouvement d’humeur auquel je crois ma nouvelle étrangère.
Je profite de cette occasion pour vous souhaiter une fin d’année douce ou pimentée, un peu sage ou pas du tout, des étincelles de bonheur et de santé !

Contribution du : 23/12/2015 10:39
_________________
"Penser est difficile, c'est pourquoi les gens jugent"
Carl JUNG
Transférer la contribution vers d'autres applications Transférer



 Haut   Précédent   Suivant





Oniris Copyright © 2007-2023