Voilà un peu plus d'un an que je suis sur Oniris et je suis véritablement satisfait d'avoir un jour cliqué sur le lien qui m'a amené ici.

Bien de gens sur Oniris cherchent diverses choses, mais, ce qui m'a amené ici, c'est l'apprentissage, et je pourrais dire que mon apprentissage se déroule bien.

Au tout début, 3 sur 4 de mes textes m'étaient retournés, et ma catégorie de prédilection était la catégorie "Apprentissage". J'ai pleuré toutes les larmes de ma peine lorsqu'un jour les Organiris ont décidé de l'occire. Je me suis ressaisi et je me suis demandé si cette action ne visait pas à exiger des auteurs plus de travail.

J'ai buché, j'ai cherché ma voie, mon style ; et de "Désillusion", qui a reçu des "très faibles" en cascade, à "paria" qui est comparé à du "Césaire" (C'est géant !), je me demande si enfin j'ai trouvé ma voie, mon style. Si oui, cela n'a pas été sans vous, Oniriens, avec qui j'ai ri sur les forums, me suis engueulé sur les forums, ai partagé des pralines volées dans la besace à Maëlle, et bien d'autres évènements encore.

Mes remerciements comme à coutume s'adresseront à tout Onirien, thuriféraires (merci Brabant pour le mot), commentateur sincère, ou commentateurs négatifs (ça existe sur Oniris ?) de m'avoir accompagné et de continuer à le faire. J'ai appris de vos commentaires, étayés ou non(tout le monde n'a pas appris à faire un bon commentaire, mais est-ce à dire qu'ils n'éprouvent pas de sentiments ?), justes ou pas juste(c'était une autre façon de voir le texte).

"Les dieux bientôt me livreront..." est une assertion serrure que chaque clef, quelque soit son encodage, peut ouvrir. La seule condition est de laisser sur le carreau quelque méninges (non, sérieusement je ne gâcherai le plaisir des imaginations à vouloir gambader !)

Une précision cependant, voir dans "Paria" juste le cri d'un exilé est sans doute vrai, mais "paria" est aussi le cri de toute personne qui se sent trahie par ses choix ( que ce soit en amour, que ce soit en relation sociales), d'avoir avancé sans peser les aboutissants. Les images que certains passages génèrent ne sont là que pour essayer de quantifier la douleur ressentie lorsqu'on se trouve dans la situation du paria.

Une fois de plus, Merci


Wan

J'ai pas lu ton texte Wan, mais je trouve ça chouette lorsqu'un auteur constate (et le dit) avoir progressé grâce au site. Ca donne du cœur à l'ouvrage pour bosser et devenir encore meilleur.

Bon courage a toi, donc

W

Merci Widj !

Tu es l'une des personnes avec qui j'ai le moins communiqué, et ceci, méa culpa, à cause de ce qui s'en est suivi après l'un de tes commentaires sous l'un de mes textes en "Apprentissage". Cela a été bête de ma part de bouder et couper une collaboration qui aurait pu m'être utile, et je ne te dis pas ma fierté lorsque sous l'un de mes poème tu as mis un "moyen+"

Les commentaires sont les baromètres de notre progrès, et c'est pour cela que je trouve dommage ce long post sur la "négativité de certains commentaires". Un commentaire, quelque soit son essence, nous instruit. Je dirais même qu'il n'y a pas de de mauvais commentaire, juste de mauvaises réceptions de commentaire...

Dans l'hindouisme, on parle souvent du "troisième œil", l'œil qui voit les choses de l'esprit. Cet œil, certains élus l'ont, mais il faut toujours un gourou pour l'ouvrir. Un peu comme le talent, on l'a, mais faut des personnes pour te le faire découvrir, l'orienter, un espèce de gourou littéraire. Et Oniris en est un. Ou du moins c'est ainsi que je le conçois.

Wan

Citation :

Je fais souvent cet effet-là. On m'apprécie toujours sur le tard. Tu verras, quand je serais mort, tu me trouveras formidable !

W

Citation :



"Les morts sont tous de braves types..." Brassens le chantait avec brio il y a quelque temps

Wan

Bien vu Wan, Oniris comme gourou pour ouvrir ce troisième oeil que nous possédons tous je crois.

Il pourrait être intéressant de disserter sur cet oeil.

Quand nous décidons-nous à choisir un gourou ? Et pourquoi l'acceptons-nous ? Oniris n'est-il pas lui-même son propre oeil, un oeil à facettes, dans lequel on se mire multiplement ? Le tout est d'avoir la volonté de se regarder dans tous les miroirs.

Pas toujours évident quand je me rase le matin... mais bénéfique pour les angles. A la longue !

Flûte ! Où est encore passé mon stick coagulant ?

Citation :

Ouyouyouye Brabant !!! comprend rien à ce discours matinal un chouia déroutant. Peut-être est-ce parce que je suis encore dans les brumes du sommeil ?


Wan ( qui a bossé de nuit)

Un gourou ne s'impose-t-il pas à nous bien plus que nous ne le choisissons ?

Bon ! J'me suis encore coupé, mais j'peux t'passer mon stick quand même, moi je vais prendre une feuille à cigarette...