En même temps, il suffit de mettre un commentaire dans le dernier chapitre et de dire que c'est pour l'ensemble. Un peu comme je l'ai fait dans un des chapitres (j'ai pas réussi à tenir jusqu'à la fin...). Mon commentaire s'appuie sur la totalité du roman*. Il est assez général.

* oui, bon... j'ai triché...

Avant de pouvoir (éventuellement) le lire, pourrais je savoir combien de chapitres il comporte ton roman, stp ?

Je dis ça car je préfère lire d'une traite que d'attendre les épisodes.

Merci à toi

W

Pat, voyons... la règle n°1, pour moi qui écrit aussi des polars, c'est "n'avouez jamais" sauf sous la torture !

Siebby, tu as une sérieuse concurrence avec Marité pour être devineresse. On va pouvoir fonder une confrérie ?

Bon, assez d'auto-flood...

Je voulais juste faire une remarque : l'héroïc-fantasy semble être un genre qui permettre de différencier les commentaires faits par des hommes de ceux faits par des femmes, de par leur teneur.

Je ne sais si cela va se vérifier ensuite, mais je crois que je vais suivre cela de près car c'est fort intéressant.

Citation :
Ouais, t'as triché !

Ben moi, j'ai tenu, et je tiendrai, na !

J'va quand mêm'dir'un schtruc : je n'aime pas l'heroic fantasy, sorti du monument intergalactique qu'est "le Seigneur des Anneaux". Je suis plus science-fiction que fantasy, et rien ne m'emm... plus que les sempiternelles variantes autour d'un même thème : il y a ceux qui ont la magie et les ploucs.

Ben, n'empêche, j'ai lu les 25 chapitres en sélection approfondie en une traite ou presque, et je les ai corrigé tous, à la suite, en quelques jours, avec énormément de plaisir qui plus est.

Je ne vous dirai rien sur l'histoire (z'avez qu'à lire la suite !), en dehors du fait qu'elle est très cohérente et bien construite – c'est extrêmement rare de trouver une telle cohérence chez un auteur amateur. Je ne parlerai que des éléments littéraires : un registre de langage élevé, un vocabulaire précis et cultivé, un style d'écriture auquel on peut reprocher des choses, mais qui accroche, et une qualité d'expression qui ne se relâche jamais. Vous additionnez tout ça avec la qualité de l'histoire et vous obtenez quelque chose qui ne doit pas être loin de ce que j'ai pu lire de meilleur ici.

En tout cas, c'est très vendeur comme argument et ça donne envie (même si moi la SF je suis pas un bon client).

Sans avoir lu, je félicite sincèrement ANIMAL qui (pour avoir déjà lu un de ses opus) a des qualités littéraires évidentes.

W

Bonsoir widjet,

Eh, il ne faut pas mettre la charrue avant les boeufs... Certes, les avis exprimés jusqu'à présent sont ceux de gens d'un bon goût indiscutable (là, je flatte comme le disciple de Léonard), mais attends de lire, au moins.

Je dois avouer que moi-même, j'ai adoré ce bouquin

Les chapitres de transition sont couramment utilisés en guise de charnières entre différentes parties d'un ouvrage. Je n'ai pas inventé la méthode et pour ma part, je la trouve judicieuse au niveau de l'articulation d'un récit (je ne parle pas ici du mien).

Il est évidemment difficile de se représenter le plan d'un livre dont on n'a pas l'ensemble du contenu sous les yeux ou en mains.

Désolée pour ceux qui sont déçus et merci à ceux qui ont vu l'intérêt de ce chapitre. Pour moi il est nécessaire.

Bon dimanche.

Je réponds ici à la question posée par Siebby dans son commentaire de Pshalii chapitre 1, car elle évoque un aspect général qui peut intéresser d'autres lecteurs/trices.

Pour prononcer le nom de Pshalii :

- imaginez un feu allumé sur lequel on jette quelques gouttes d'eau, et vous obtiendrez un pssshhhh

Voilà pour le début. Le a se prononce a. Pour la fin, imaginez cette fois que les deux i sont séparés par un h, ce qui donne ihi.

Le tout fait Pshalii. Voilà