Citation :
Si Animal le désire, je m'en charge, pas de problème.

Pas de souci Leo, si tu te sens de le faire.

Etant donné ma nullité totale en la matière, je ne saurais intervenir dans ce débat linguisitque

Pour la petite histoire, j'ai rajouté dans mon manuscrit d'origine un peu de texte à la fin du ch1 de Moryane en regard à la remarque de Ninjavert :

"Un froufrou d'ailes détourna soudain l'attention de Kamang. Un pigeon venait de se poser sur la barrière. Le messager ailé que le Garant des Métaux attendait était arrivé ! Il allait enfin connaître l'importance du chargement qu'on lui attribuait et le délai imparti pour l'enlèvement.
Après un dernier regard à Moryane, Kamang se saisit délicatement du pigeon pour détacher de sa patte le petit cylindre de cuivre. "

Cela à titre "d'introduction" par rapport à la présence plus tard de Kamang loin de chez lui. Comme quoi je ne suis pas totalement obtuse

Citation :

Ça, c'est une évidence, pour moi qui ai travaillé de près avec toi. À mon avis, ce qui va faire qu'une remarque nous semble pertinente, c'est qu'on va y adhérer tout de suite. Le regard de l'autre permet de prendre du recul par rapport à un texte dans lequel on est complètement plongé (ce qui fait qu'on ne voit plus certaines choses). Mais il est nécessaire d'être d'accord avec la remarque. Que ça ait du sens pour nous.

Siebby, voyons, quelle suissesse n'aime pas les chocolats... belges

Pat, tu as absolument raison, il est bien évident que si la remarque ne me parle pas, je ne vais pas en tenir compte car cela me semblerait gauchir mon texte.

On en revient à l'importance du regard extérieur sur un texte, mais aussi de la suite à lui donner, ou pas.

Faire du coup par coup est une solution, attendre pour avoir un regard global sur la fréquence des remarques similaires en est une autre. J'oscille entre les deux selon mon feeling.

Marite a dit :

Citation :

En voilà une idée qu'elle est bonne je n'y avais pas pensé !

Je la garde en réserve pour une autre occasion, si tu le veux bien Marite.

OK pas de problème Animal.

Je rentre par la petite porte pour ne pas faire trop de bruit… un Scorpe pourrait roder.

Ce livre me plait beaucoup, on voit tout de suite qu’Animal sait infuser les herbes des alpages pour en sortir tout les effets
(Cela doit être dur de retourner au boulot avec une histoire pareille à concevoir !)

Vivement la suite…

Merci Marite pour me permettre d'utiliser ton idée

Perjoal, tu es sage, car contre le scorpe il n'y a nulle défense en ce monde... à moins qu'il ne te trouve "à son goût" comme Pshalii, assaisonné aux bonnes herbes de nos montagnes...

Et Merci à Leo pour sa science helléniste ! Ah le petit détail qui chatouille et gratouille...

Gros bisou à tous les lecteurs des Elémentales

Juste une précision au sujet de la remarque de Siebby dans son commentaire de Anthéa Chapitre 1.

Le nom Anthéa n'est pas tout à fait ordinaire ni choisi au hasard puisqu'il est une référence directe à Antée, personnage de la mythologie grecque que nul ne peut terrasser car sa mère Gaia (la Terre) lui redonne sa force à chaque fois.