Bravo et tous mes vœux pour ce second volume.

Super idée de présenter la jaquette dans le Diaponiris.

Merci Eclaircie



Je n'ai pu m'empêcher de présenter la jaquette dans le diaporama car j'admire le talent de la graphiste, son choix des couleurs, son sens du détail et de la mise en page. Etant espagnole, elle n'a bien sûr pas lu le livre mais a su comprendre l'essence des personnages sur ma seule description traduite dans sa langue.

Bravo ANIMAL !



Je vais commencer par le tome 1.
Il a déjà 6 commentaires sur 6 très très positifs sur Amazon !!!

A+



Luz

Merci Luz

Animal,

Voilà une belle histoire.
Qui a commencé, il y a fort longtemps, en 2013.
Et au fil de ce fil, j'ai retrouvé des Oniriens que j'apprécie, beaucoup et qu'on ne voit guère , Marite, Jean-claude, maria, et BlaseSainttLuc.

Des liens figurant à la source, il reste celui-ci actif :

Bravo pour ce parcours.

Bonjour Eclaircie et merci d'avoir retrouvé la carte de Pat dans le diaponiris.

Elle est chez moi, car Pat me l'a envoyée. Je l'ai encadrée et mise au mur à droite de mon bureau. Je la regardais souvent lorsque je devais situer une action dans un des tomes des Elémentales ou estimer un temps de parcours pour mes personnages. Maintenant que la saga est finir avec l'achèvement du tome 6 en février dernier, je ne m'en sers plus mais elle restera là, je la trouve superbe.

J'aurais voulu que Pat sache que je me souviens toujours avec plaisir de ces "années Oniris" mais j'ai perdu ses coordonnées dans mon déménagement et elle ne vient plus ici. Et j'ai souvent aussi une pensée pour toute l'équipe de l'époque et en particulier Léo.

Bon, assez avec la séquence nostalgie mais cela m'a fait bien plaisir.

Félicitations Animal, et très jolie couverture ! Vous avez d'autant plus de mérite que, comme je l'ai dit sur un autre fil, des maisons d'édition se ferment à l'envoi de manuscrits. Votre exemple, ainsi que Luz en poésie, montrent qu'il ne faut pas baisser les bras.

Merci Malitorne.

Vous avez raison, c'était déjà difficile de se faire éditer par un éditeur traditionnel avant tous ces événements, cela se comptait en années de patience. Et maintenant la situation a empiré.

J'ai eu de la chance de trouver un éditeur sérieux au bout de quatre ans, même si cela m'a paru long. Et aussi que l'illustratrice mette le livre en valeur.

Cela n'augure en rien des ventes car le secteur est vraiment en crise, mais c'est gratifiant de voir son livre aussi beau.

Courage aux auteurs en recherche d'éditeur.

Je ne pense pas que le secteur soit en crise, il me semble au contraire avoir lu ou entendu qu’il se portait très bien. La fermeture des librairies n’a pas signifié que les gens arrêtaient de lire, le confinement les y aurait plutôt poussés. Ce qui est nouveau par contre, c’est les demandes d’arrêter d’envoyer des manuscrits par quelques éditeurs et non des moindres. Je l’explique par une soudaine passion des gens pour l’écriture liée à l’inactivité forcée.
Personnellement me faire éditer je n’y crois plus, pas certain d’avoir le niveau et trop de monde en lice. Je me contente de participer à des concours et de répondre à des appels à texte pour des revues numériques. C’est un domaine que je connaissais pas et je m’aperçois qu’il y en a beaucoup sur le net, mais là aussi il existe une sélection féroce.

Nous sommes sur la même longueur d'ondes. Par crise, je voulais dire que les éditeurs sont confrontés à une avalanche de nouveaux auteurs qui ont profité du confinement pour écrire. Et en même temps les libraires sont devenus plus frileux car ils n'ont pu écouler les stocks après les semaines de fermeture de l'an passé, d'où beaucoup de retours chez les éditeurs.

Pour les concours de nouvelles, il y en a en effet beaucoup. C'est une façon d'entrer par la petite porte car, parfois, un éditeur publie un ouvrage collectif. J'avais eu cette chance pour une nouvelle policière en 2010 (le livre est désormais introuvable).

13 bonnes ou mauvaises nouvelles

Tous les espoirs d'édition sont donc permis avec de la persévérance.