D'abord, merci tardif au CE d'avoir publié mes Magasins de fleurs, et aux correcteurs pour leur boulot toujours ingrat (je connais ça, je le pratique ailleurs...). Et puis aux commentateurs d'avant la publication, socque, Robot et LeopoldPartisan: que le dernier soit loué pour ses louanges, qu'il sache seulement que je ne parle de la "belgitude" que d'assez loin, environ huit cents kilomètres jusqu'à la Côte! Robot et socque, vous critiquez avec pertinence la forme comme le fond de ma nouvelle: la fin, d'accord, discutable, mais c'est un compromis entre rédemption et perdition qui m'avait paru apporter un peu d'ironie. Si c'est raté, tant pis! Quant au style, phrases trop longues ou trop chargées, j'assume. J'en ai marre de tenir la bride à ma plume pour n'écrire que des textes dont on admire le côté épuré et maîtrisé!
Mais que sont mes amis - et mes ennemis - devenus? Un seul commentaire après publication, quelle mortification pour un auteur à succès! Heureusement, c'est Pepito, toujours pertinent! Il souligne quelques platitudes. N'est-ce pas lui qui a écrit quelque part qu'il en laissait toujours traîner quelques unes dans ses textes? Je fais pareil, car les lieux communs et les expressions toutes faites me passionnent depuis toujours.
A la revoyure. Je tâcherai de me montrer de nouveau plus présent sur le site, de commenter davantage pour en être payé au centuple, etc...