Un grand merci à Oniris  d’avoir accepté la publication de "Les tissus froissés". Un grand merci également à vous lecteurs, lectrices, commentateurs, commentatrices, d'avoir pris de votre temps pour m'offrir vos impressions sur ce sonnet.
Comme d’habitude, ne pouvant tout retranscrire, j’ai choisi, entre autres, quelques mots de vos précieux commentaires.

Eki
Tout le raffinement et la volupté qu'on peut attendre sur ce thème sans débordement trivial.
C’est bien ce à quoi je m’attache : éviter la trivialité... trop peur d'être grondée par ma maman... « volupté » voilà un mot qui qualifie exactement ce que j’essaie de « dessiner » à travers les mots dans ce genre de poésie.
Merci beaucoup de ta présence sur ma page, et pour tes hautes appréciations.

Lebarde
...ces vers chauds, chauds et un peu osés quand même, mais toujours de bon ton ( c’est bien là la difficulté et la prouesse) dont l’audace subtilement maîtrisée des « dévotions » sublime la poésie.
« osés » ?… mais non, un rien du tout ^^ et soyez rassuré, je garde la parfaite maîtrise de mes vers quand ils se dénudent sinon, gare à eux, en cas de débordement ils risquent la déchiqueteuse.
Un grand merci à vous pour ces hautes notations.

Geigei
Un bel exercice. La gymnastique est réussie. Je parle du texte. Une belle chorégraphie.
L’image de « la gymnastique » n’est pas pour me déplaire dans l’exercice des formes classiques mais le top du top est « chorégraphie » qui évoque le fond, les images du poème.
Merci beaucoup pour votre lecture et vos hautes appréciations.

Cornélius
Le lire c'est le pied et je n'ai plus toute ma tête !...L'érotisme y atteint son apogée et s'exprime dans une sensualité torride...j'attends déjà avec impatience le prochain opus. Poétiquement parlant jusqu'où la narratrice ira-t-elle dans l'exploration intime et dans la quête exacerbée de l'érotisme absolu ?
J’espère que vous vous êtes remis de votre lecture ^^… le prochain opus...si je vous disais qu’il est déjà sous le clavier ? Jusqu’où j’irai ? Ah ! Si vous saviez vous rougiriez… Mais il faudra attendre un peu que la fièvre soit retombée et les tissus défroissés. Ce sera la surprise, un jour... ^^
Merci pour ce commentaire souriant.

Provencao
"L'ondée endormie... tes longs doigts..." cèlent et offrent le tissu froissé : ce qui ne peut se taire – mais non plus se dire, on nomme cela la poésie....
Quel joli compliment !
Comme d’habitude je n’ajouterai rien à la poésie de votre commentaire et je vous remercie vivement pour vos mots et ces hautes appréciations.

papipoète
le second quatrain aux dialogues lus sur les lèvres, m'emplit de bonheur et l'ultime tercet a ce sublime parfum pour les yeux, qui subjugue, fait se pâmer...c'est impensable... mais chère poétesse, ne pourriez-vous pas un jour laisser traîner...
- un hiatus
- un p'tit rien du tout, une fôtinette... ?
pour voir
Je veux bien laisser des hiatus, des rimes fautives, des fôtinettes de prosodie, rien que pour vous faire plaisir cher papipoète, mais je doute que mon texte passe le seuil de la sélection, donc vous n’en sauriez rien ce serait dommage ^^
...mais je peux essayer sans garantie du résultat...
Merci de votre présence tellement agréable et sympathique sur mes pages.

Zeste
les qualificatifs d'éléments se déchaînant prennent le masque d'un appétit masculin aiguisé par l'apparente vulnérabilité d'une fleur dont l'érotisme d'une beauté fragile est promesse!
J’entends dans vos mots que les fleurs sont toutes des reines de beauté et de sensualité aiguisant quelque appétit bien humain. Sont-elles aussi fragiles que leur apparence le laisserait croire ? Je n’en suis pas si sûre.
Merci beaucoup pour ce joli commentaire.

Yanneblev
l’essentiel justement c’est que le lecteur de passage ne s’y trompe pas et qu’arrivé au dernier vers il retrouve intrinsèquement les émotions et les confusions qui sont les siennes quand il pense à l’acte, ou qui ont été les siennes quand il y passa, toute licence admise par ailleurs le cas échéant.
Effectivement l'essentiel est que le lecteur puisse saisir et ressentir les émotions et les ambiguïtés qui lui sont propres en faisant siennes mes propres scènes poétiques ou bien en les regardant comme des choses curieuses. Il m’est plaisant d’essayer de créer une résonance émotionnelle tout en permettant au lecteur une certaine liberté d'interprétation.
Quoi qu’il en soit merci pour votre fine analyse.

EtienneNorvins
Seul minuscule bémol : j’aurais préféré un « Mes » à la place du « Tes » au début de l’avant dernier vers, pour donner à la femme un rôle plus actif, et à la scène, une dimension plus accentuée encore, de partage.
Eh bien je suis d’accord avec vous, d’autant plus que venant de lire le commentaire de Myndie, je constate que l’on peut interpréter ce partage comme étant à sens unique, ce qui n’était pas dans ma vision des choses lors de l’écriture, mais votre ressenti de lecteur me met les point sur les « i ».
Un « mes » pour un « tes », d’accord, bien vu !
Mille mercis pour votre commentaire étayé et ce conseil dont je tiens compte.

Myndie
 N'y a t-il pas une amazone en chaque femme ? La laisser s'exprimer ou prendre quelque initiative ajouterait un peu de mordant à l'épicé.
Comme je viens de répondre à Etienne, tu as raison, effectivement je n’ai pas été assez maîtresse de la situation lors de l’écriture pourtant je croyais que…ah ! La pudeur sans doute ^^ Lors d’un prochain scénario épicé en différé, l’amazone va mettre un peu de mordant dans ses ébats pimentés.
Quant à la forme que tu dis ne vouloir ni critiquer ni corriger, bah ! Laisse donc ça aux syllabomaniacodelarime comme moi, car, comme tu l’exprimes si bien, c’est « l’esthétique, la musique des vers, la fluidité des images » et tout le toutim qui te font voir, entendre et ressentir la poésie. Mon coeur n’est donc pas brisé, tu peux dormir tranquille Myndie.
Un grand merci d’avoir pris de ton temps pour m’offrir ce commentaire avec autant d’élégance.


À tous et toutes, encore des bouquets de mercis, pour vos commentaires, vos conseils, vos appréciations, et ce grand tout de vous qui m'encourage à poursuivre mon cheminement poétique.

Lors d’un prochain scénario épicé en différé, l’amazone va mettre un peu de mordant dans ses ébats pimentés.

C'est ça! Reprends les rênes ma belle! Et au besoin, la cravache!

Merci Cristale pour ton riche retour sur nos commentaires

"La cravache" ?! Boudiou Myndie t'y vas fort

@ VinSpat

"Lorsque "sous les draps le lit n'a plus ni pied ni tête" c'est qu'un petit vent de folie bouscule nos sens, et c'est si bon..."
...

Merci beaucoup d'avoir pris le temps de commenter mon sonnet.
Au plaisir de vous lire.

Merci pour votre retour, Cristale ! - Et personnellement, c'est l'absence de cravache, et l'unisson des désirs, qui m'ont séduit dans votre texte...

Ouf ! L'amour est sauf

Merci Etienne.

Il y a un débat sur la cravache ?
Je devrais venir plus souvent, moua.



Bonjour Cristale.
Merci pour ces retours.

Bonjour Geigei,

Concernant le débat il faut peut-être lancer un sondage parce que les goûts et les couleurs...

Merci à vous également