JPhil a raison, vous êtes beaucoup trop méchants.
Parce qu'en fait, Nils aussi a raison : ça dépend d'où on part.
Moi, par exemple, je n'ai aucune honte à admettre que j'ai appris des tas de trucs en lisant Oui-Oui à trois ans.

Zut, j'ai encore laissé traîner un "JE". Décidément, y a des tas de choses dont je (Argh !) dois me débarrasser.

tiens, sur le je, incognito, je vais pas la jouer ancien combattant, mais quand j'ai commencé à écrire sur oniris, c'était toujours à la première personne et je me demandais justement si j'arriverais à passer à un autre pronom de narration. Ben ouais, finalement. Même si j'aime bien le je.

Oui jphil je compte publier quelque chose mais j'ai plusieurs nouvelles en cours d'édition, je sais pas laquelle mettre, et j'ai également un roman en cours.
J'avais proposé une nouvelle il y a une semaine ou deux mais elle a été refusé parce-que j'avais mis mon nom. Je ne l'ai pas renvoyer parce-que le commentaire qu'il y avait avec était très intéressant et me permettra de l'améliorer.
Sinon je comprend très bien que les gens aient du mal à comprendre ce que j'apprend en lisant Werber. Peut-être arrêter ce cercle vicieux: J'apprend à mieux laisser mon imagination prendre le contrôle de moi-même. Pour le reste je développerai pas. Moi-même je me comprend pas à ce niveau alors je sais pas comment je pourrais expliquer...

framato si tu veux commencer par quelque chose pour lire Werber, je te conseils Paradis sur Mesure, 17nouvelles très sympathique. Le reste est un peu... "compliqué" et il faut aimer Werber pour aimer.

ouais, framato, tape dans le simple, le compliqué, c'est pas pour toi ! et vlan, dans les dents !

merci pour ta réponse, Nils.

jphil si tu veux je pourrais t'en envoyer par MP ? Ca m'intéresserait ton avis.

PS: Benway j'ai vu que tu es sur le sujet, je tiens à m'excuser pour ce que je t'ai dis, j'ai été vraiment agressif et je suis désolé que tu l'es mal pris.

non, je te remercie de cette attention particulière, Nils, mais je préfère commenter en respectant l'anonymat. ça m'affranchit de tout affect éventuel et m'offre une vraie liberté. Bon, ceci dit, il faudra déjà que ton texte tombe dans mon espace lecture et que je ne sois pas modéré pour commentaire irrespectueux, j'ai parfois tendance à m'emporter. La fougue de la jeunesse sans doute... (oui, framato, oui, ne proteste pas, j'ai bien encore le droit d'y croire !)

Werber est un scientifique ? Merde : mais où tout ce qu'il peut y avoir de positif dans l'approche scientifique a pu passer ?

Et aimer Werber pour pouvoir lire Werber... Quelque chose m'échappe. C'est pas à la lecture qu'on est sensé apprécier un auteur ?

J'ai lu ;

Les fourmis (tome un, "Waf waf fit le chien" m'a traumatisé).

Le livre du voyage. Ou un art de vivre que je ne peux admettre parce qu'en prise directe avec une sortie de prosélytisme, et ça je ne peux pas le tolérer.

Les thanatonautes, l'empire des anges et nous les dieux. Je peux dire que j'ai eu du courage, son histoire des cercles selon les différentes religions est resservi au minimum 3 fois. Et je passe au dessus de beaucoup d'autres exemples du genre. j'avoue ne pas avoir pu tenir la pentalogie.

Le père de nos père et la suite dont j'ai oublié le nom. Ca ne m'a pas marqué. (des déviances du darwinisme, des idées de cyber-cerveau piquées à des canons de la sci-fi, il en faut peu pour faire plaisir)

L'arbre des possibles et Paradis sur mesure sont ses recueils de nouvelles où sont esquissées les grandes lignes non massacrées dans ses "au minimum" trilogies. Les théories données comme scientifiques dans ces livres n'y bougent même pas d'un poil.

Nils ; j'aurais dit plutôt maladroit, à la place d'agressif.

"Werber est un scientifique ? Merde : mais où tout ce qu'il peut y avoir de positif dans l'approche scientifique a pu passer ?"

...Tu veux dire que tu ne trouves rien de positif dans les écrits de B.W. ?

Oh mais ne t'en fais pas Nils.
Je ne t'aurais pas fais la tête pour ça.
Non, je comptais juste t'ignorer. : )

Bon je plaisante.
Peut-être que tu t'es également senti "agressé" par le fait que je n'aimais pas ton "idole", d'où ce petit post expéditif à mon égard. Même si ce n'est pas une raison. Il faut dire que je ne t'ai pas trop bien expliqué pourquoi je n'aimais pas Werber, et le ton as tout aussi pu te paraître déplaisant.

Mais c'est vrai que ça m'intéressais de savoir ce que l'on peut bien apprendre sur la religion dans cet ouvrage.
Il n'y avait rien de cynique dans cette question, je t'assure.
Et j'aurais d'ailleurs peut-être juste dû m'en tenir à celle ci.
Le reste était hors sujet.

Au fait je ne suis pas un vieux tibétain de 80 ans. Mais un jeune abêti de 33 ans. : )

Bonjour JPhil,

Je me suis déjà posé cette question là, et des tas d'autres d'ailleurs.
Je me suis demandé ce que ça pouvait faire d'écrire avec un narrateur omniscient, ou autre. Pour l'instant, je dirais que je ne m'en sens ni la capacité, ni l'envie, tout au plus une petite curiosité.
Je me suis demandé ce que ça pouvait faire d'écrire avec un narrateur d'un sexe différent du mien. Pour l'instant, même réponse.
Je me suis demandé ce que ça pouvait faire d'écrire avec un narrateur enfant (ce que je ne fais pas, contrairement à ce qu'on pourrait penser; en tous cas, telle n'est pas mon intention). Pour l'instant, toujours même réponse.

En fait, surtout, je me demande si je dois essayer des tas de trucs différents pour me faire la main, ou alors persévérer dans une voie précise pour la maîtriser. Je ne doute pas que la première solution serait celle préconisée par pas mal de gens. Je pense d'ailleurs qu'ils auraient raison. Le problème, mon très gros problème, c'est que je suis une sale bourrique.

Et je suis bloqué sur un roman, en partie pour une question de narrateur justement. De construction sans doute aussi. Un de ces quatres où t'aurais le temps, tu pourrais peut-être d'ailleurs me dire ce que t'en penses.

Bon, je crois pas que c'est HS : Nils parlait d'autobio et de narrateur, en entame.