Bonjour,

Tout d'abord, je remercie les membres du Comité Editorial pour la publication de cette très courte nouvelle où l'Oncle Sam n'est pas montré sous son meilleur jour.

Au vu de la diversité des avis, je vais répondre à chacun de vos commentaires:

Jean-Claude: j'aimais beaucoup F'murr. Le dernier paragraphe est volontairement écourté pour donner de l'impact à la fin.


Tadiou: mon ami, je suis désolé de ne pas t'avoir livré les clés, même si j'ai planté pas mal d'indices (la pilule bleue est assez célèbre chez les plus de quarante ans, je l'ai détournée dans un délire psychédélique en hommage aux Doors et à Jim Morrison; le cochon strié de bleu et de rouge n'est pas sans rappeler l'éléphant longtemps symbole du parti républicain...)


Kreivi: je ne suis pas xénophobe; je connais simplement bien les USA pour avoir une partie de ma famille née et vivant dans ce grand et beau pays plein de contradictions. Les cochons ne chient pas sur le macadam; ils flottent simplement dans l'air, une symbolique encore liée au mouvement psychédélique et aussi en clin d'œil à l'abum "Animals" de Pink Floyd dont l'incipit cite quelques vers de la chanson de fin ("pigs on the wing pt2")


Hersen: oui, tu sais à quel point j'aimais les émoticônes. Je ne sais pas si j'ai écrit un pamphlet ou simplement regardé les USA de 2018 sous un autre angle de vue que celui livré en boucle par les chaines d'information en continu.


Perle-Hingaud: oui, la présentatrice exerce sur Fox News où l'excès est la ligne éditoriale prônée par la rédaction. Merci pour le coup de cœur.


Larivière: je n'avais pas pensé à la "Baie des cochons" en écrivant ce texte. Par contre, côté message, je suis resté dans les années 60 et le désespoir des jeunes quant au sens donné à leur Nation.


Plumette: les cochons remplacent l'éléphant dans le symbole du parti républicain à qui je ne dédie pas ce texte.


Jmeri: je vais avoir du mal à donner des réponses, surtout que je n'ai pas fait l'armée, alors les casernes représentent un univers qui m'est totalement étranger.


In-flight: je ne suis pas un fan de Morrissey, ni de sa musique, mais je comprends l'analogie. Je sais que la référence à l'album "Animals" de Pink Floyd peut faire penser au roman de George Orwell "la ferme des animaux" mais là ce sont les cochons et la chanson de fin qui m'ont inspiré. Effectivement, la pilule bleue est devenue un moyen de déformer une réalité formatée par la télévision.


Wancyrs: mon ami poète, tu as bien mérité une tournée de chocolats. J'ai réussi à en soustraire une boite cachée par Hersen.


Papipoete: c'est du cochon évidemment ! Pauvres bêtes, je ne leur souhaite pas de terminer dans un barbecue, même en Californie.


Thimul: chez Maxim's, c'est cher et ça fait mal, comme disait Jacques Brel dans sa chanson "Vesoul".


Velias: je n'aime pas trop les chichis; je préfère les chouchoux.


Merci encore à toutes et à tous d'avoir passé du temps sur ce texte, que j'espère un peu original, et surtout d'avoir pris la peine de le commenter.

A bientôt sur un texte nettement plus sage, j'espère, où tout aura un sens, aucun Américain ne sera maltraité, sans substance interdite.


Donaldo75

Eccar: tu as probablement raison, les États-Unis ne sont pas uniquement les clichés que j'ai enchainé dans cette nouvelle sans prétention et surtout sans but apparent (sauf celui que j'avais dans ma tête, faire réfléchir sur la réalité télévisée / réalité perçue / consommation des images)


Merci d'être passé la lire et d'avoir pris le temps de commenter.




Je vais réfléchir à ton idée: "Une attaque terroriste d'islamistes qui auraient par miracle dégoté le sens de l'humour"
Il y a peut-être quelque chose à tirer de cet angle.



Bye,

Donaldo