Je viens ici remercier vivement l’ensemble de la communauté Oniris pour la publication de "Lotus" et remercier chaleureusement les lecteurs et commentateurs qui m’ont fait l’honneur de leur présence sur ma page.

Lebarde
"un érotisme torride qui risque de faire jaser dans le Landerneau puritain ! "

Je ne vous le fais pas dire, tonnerre de Brest !
Vous soulignez quelques étonnantes concordances des temps, pour tout vous ,avouer je n’ai fait que suivre le temps ressenti en pleine écriture.
Un grand merci pour votre lecture attentive et vos appréciations généreuses.

Myndie
  «  … à la fois pur et ruisselant d'érotisme ( le champ sémantique de l'élément liquide n'est pas anodin). Mes applaudissements les plus fournis iront cependant au thème si peu évoqué me semble t-il sur Oniris et à l'écriture toute en dentelles qui met en scène l'amour saphique. »

Difficile de ne pas recopier la totalité d’un tel ressenti.
« Il ne faut jamais dire : fontaine, je ne boirai pas de ton eau" … la preuve ^^
Concernant ta réticence envers «s’ouvrant comme une rose », je crois comprendre que cette rose te semble un peu « cucul la praline », désuète, pour tout dire, à notre époque. ^^
Mille mercis pour ce commentaire étayé souligné de hautes notations.

papipoète
« deux femmes qui s'aiment, torridement à " offenser la morale ", mais depuis cette chanson de Mecano, on chante cet amour sans même rosir. »

Un petit cadeau spécial pour vous papipoète, avec mes chaleureux remerciements :
https://www.youtube.com/watch?v=iDRWh8VkvDA

Geigei
« Un rythme ondule en 12-12-6-8-8-6, façon vagues... et mouvements de hanches. Belle harmonie. "moiteur", "mouillait", "pulpeux", "humide", "embruns, "lécha", "eaux", "cyprines". Je sors trempé de ma lecture. »

Voilà un aveu me prouvant les effets du pouvoir des mots qui, sans toucher physiquement, parviennent, juste avec une lecture, à transmettre de telles sensations.
Un grand merci pour votre commentaire élogieux.

Ornicar
« Amours saphiques. Voilà qui nous change un peu et rien que ça, c'est déjà pas rien ! J'ai aimé ce découpage rythmique improbable et original en 12 - 12 -6 - 8 - 8 - 6. Il doit pas être aisé de "danser" la-dessus. »

Ravie de vous apporter un peu de changement avec ce thème peu abordé il est vrai. Le rythme utilisé m’est venu inconsciemment en premier jet d’écriture, je n’ai fait que suivre la musique des mouvements évoqués.
Merci beaucoup pour vos hautes appréciations.

Donaldo75
« Le stupre et la suavité évoqués dans la troisième strophe sont bien rendus autant dans la progression narrative que dans le champ lexical. »

Vous évoquez également la tonalité qui s’inscrit bien dans le thème, ce qui ne peut que me ravir car il n’était pas si facile que cela puisse paraître de boucler la pièce sans relâcher le rythme.
Merci beaucoup pour votre commentaire.

MarieL
"le lecteur est emporté par cette fièvre sensuelle présente à chaque vers !
C'est une belle réussite dans le genre ! "

Tant que la fièvre se transmet par voie de lecture il n’y a rien à craindre ^^
Merci pour cette belle appréciation qui me fait grand plaisir.

Boutet
« ...malgré le thème abordé, ne tombe jamais dans la vulgarité. Le découpage est original et je ne l'ai jamais lu ailleurs. Attention quand même : assise sur la mousse pourrait donner quelque fraîcheur à des endroits qui semblent s'échauffer. »

Ah ça non, pas de vulgarité, j’ai même été tentée de ne pas utiliser certains mots puis j’ai estimé que la pudibonderie réduisait le domaine de l’expression et faussait les images. Le découpage n’a fait que suivre le rythme de la scène décrite. Quant à la fraîcheur de la mousse, il semblerait qu’elle ait fait le contraire de l’effet qu’elle serait sensé produire ^^
Merci pour vos hautes appréciations.

Cornélius
  « Dans votre poésie pas de mots savants ni de phrases alambiquées, seulement de la simplicité et de la fluidité. Une sensualité à fleur de peau qui flirte en permanence avec l'indécence. »

Ne vous avais-je pas promis, lors de précédents commentaires, quelque écrit un peu plus … Eh bien voilà, fallait pas me pousser beaucoup ^^
Un grand merci pour votre fidélité à mes pages et ces hautes notations.

BlaseSaintLuc
  « La sensualité est omniprésente, avec des descriptions détaillées des sensations corporelles et des émotions intenses. »

J’ai essayé d’être au plus près avec des mots de la sensualité que vous avez remarquée dans ce poème et cela m’est plaisant de constater que vous y avez été sensible lors de votre lecture.
Merci beaucoup pour vos généreuses appréciations.

Annick
  « deux tableaux qui s'opposent et pourtant ici s'harmonisent : la sensualité, l'érotisme et la rigueur de la poésie classique.
Un détail charmant révélé par le titre "Lotus" : la position du lotus au yoga est celle en tailleur. »

Je suis heureuse si tu estimes ces deux tableaux réussis. Ehhh ! Bien vu en ce qui concerne la position du lotus au yoga ! Mais aussi l’une des célèbres positions du Kâma-sûtra, la combientième je ne sais pas j'ai pas tout essayé ^^... position évoquée dans la dernière strophe, d’où l’inspiration du titre comme tu l’as remarqué.
Merci beaucoup pour ta lecture et tes hautes appréciations.

Provencao
  « Le corps de l’être aimé est là où vient la vie.
Tout désir est-il sans images, sans fantasme, suscitant et éveillant le désir ? »

Je pense que le désir est nourri d’imaginaire, imaginaire qui nourrit la création, que tout acte produit par le corps est création.
Un grand merci pour votre commentaire délicat et vos généreuses notations.

Catelena
« L'ardente Sappho n'a qu'à bien se tenir, notre Poète d'Oniris, inspirée par la dixième des Muses, s'amuse à nous rendre voyeur-comme-si-on-y-était du jeu du Lotus « sur la couche humide des embruns » «  dans la moiteur de l'été ». »

Ah Sappho ! Que m’a donc fait oser écrire cette muse coquine ?
Je n’y suis pour rien, sans doute ai-je été ensorcelée par icelle pour ainsi dévoiler au grand jour quelque impudique scène au point que le lecteur dise : «comme-si-on-y-était ».
Tant pis, c’est écrit ^^
Mille mercis Cat pour ton chaleureux commentaire.

Fanny
« J'ai bien failli passer à côté, ouf, j'arrive à temps pour mettre un commentaire rapide et sans grand intérêt, mais sincère (quand même tu n'as pas tout perdu).
Allez, puisque je n'ai plus beaucoup l'occasion de le dire, et pour le plaisir: Bravo Maîkresse. »

Ah ! Voilà quelqu’un qui sait me parler ^^ et oui, « ouf », il n’est jamais trop tard, et ouf de te retrouver sur le site et sur mes lignes. J’espère juste que, rien que pour t’entendre m’appeler « Maîkresse », tu reviendras plus souvent.
Les bons usages se perdent ^^
Mille et mille mercis de ta généreuse présence sur ma page.


Encore merci à vous tous et toutes pour ce bonheur de recevoir vos mots sur mes écrits.

Merci, Cristale, pour ces retours copieux.

Je peux vous demander si vous êtes lesbienne ? C'est pour une amie...

petit curieux !

Si vous posez cette question à votre amie : "comment appelle-t-on une lesbienne qui n'a pas de poitrine ?" et qu'elle vous répond : "une homoplate", je veux bien la rencontrer.

Merci pour le retour Geigei

Merci pour ce retour sur nos -nombreux - commentaires Cristale!

Concernant ta réticence envers «s’ouvrant comme une rose », je crois comprendre que cette rose te semble un peu « cucul la praline », désuète, pour tout dire, à notre époque. ^^

Ma réticence était surtout un clin d'oeil, une petite mise en boîte en référence à quelques uns de tes derniers poèmes (je ne sais plus lesquels exactement, il y en a tellement) qui évoquaient également les roses; mon propos était de dire à quel point, en poésie galante, je trouvais le parfum des roses un peu trop sucré, désuet est bien le mot...
En tout cas, ça m'a fait rire, en lisant ce nouveau poème de m'entendre penser "Ah! Encore les roses!"

Pourtant aux roses, tu préfères l'épine me semble t-il?

Merci pour ce sympathique retour Myndie,

Ah ! ... la rose

Tu as raison de me mettre en boîte (laisse moi juste un petit trou pour la lumière ^^), on la retrouve dans quelques-uns de mes poèmes que, par curiosité, je suis allée fouiller :

Ta bouche sur ma peau sait le goût de ses roses (L’impromptu – mai 2024)
Il désunit les pétales de rose. (Les cinq musent – mars 2024)
Le nom des roses (titre – mars 2024)
Je veux boire et mourir aux seins blancs d’une rose. (Les tissus froissés – février 2024)
De ma fenêtre ouverte, au parfum de mes roses, (La promesse – juillet 2023)

Son goût, ses pétales, ses seins blancs, son parfum, son nom ! Rhalala !
Je dois être envoûtée, va falloir que j'écrive un poème avec pour thème uniquement "la rose" afin de conjurer le sort


Pourtant aux roses, tu préfères l'épine me semble t-il?

Chutttt... personne le sait

Ma grand-mère disait : "Pour pas mourir idiote il faut goûter à tout"
elle était en avance sur son temps la douce et comique mamie.

Pour toi Myndie ce pti kdo de mon jardin :