Merci au comité de lecture et à Jeanphi et Vincent pour leurs bons commentaires.
Ça fait toujours plaisir de recevoir des commentaires, bons ou mauvais, sur nos productions.
Vincent, je me pose un peu la même question et j'envisage un poème non-fini, sans sa musique, comme le dit Léo Ferré
Jeanphi, le changement de rythme est voulu, c'est sûr. Quand on court partout et qu'on fait des grimaces, ça se fait rarement sur un rythme régulier comme la marche.
Et surtout, j'aime bien varier la musique dans mes chansons, soit par un changement de rythme ou un changement de tonalité. Ça facilite leur écoute, en tout cas pour moi.
Dans "Soucis", je faisais la même chose avec un refrain au tempo accéléré. J'y varie aussi la tonalité.
C'est probablement que j'écoute pas mal de jazz aussi.
Ma chanson, je l'ai créée pour ma blonde avec qui je suis depuis 24 ans. Un amour tranquille, sans pouvoir à exercer par l'un ou l'autre. Différent de ceux que j'ai vécus avant, c'est sûr.
Ferré ( encore lui) le dit bien : "...Le drame dans le couple, c'est qu'on est deux, et qu'il n'y a qu'un trou dans la roulette..."
Ben nous, on ne joue pas à la roulette, alors tout va bien.
Je te le souhaite.
À plus

Merci pour ce retour.
Dans la même chanson de Ferré je crois : " Quand je vois un couple dans la rue, je change de trottoir !"

Oui, parce que son couple jouait à la roulette.
Qui y jouait le plus ? ça reste à voir.
Mais si tu lis un peu sur le bonhomme, il était un peu autocentré.
Ce qui n'enlève rien à son énorme talent .
Je préfère quand il dit : "...je me demande pourquoi la nature met tant d'entêtement, tant d'adresse, tant d'indifférence biologique à faire que vos fils ressemblent à ce point à leurs pères..."

et encore : "...Vous voulez bien vous allonger, mais avec de l'allure. Cette allure que vous portez, monsieur, à votre boutonnière. Et quand on sait ce qu'a pu vous coûter de silences aigres, de renvois mal aiguillés, de demi-sourires séchés comme des larmes, ce ruban malheureux et rouge comme la honte, dont vous ne vous êtes jamais décidé à empourprer votre visage..."

Bon, ce n'est que du Ferré

Merci de le souligner, il n'y a qu'à plonger dans son œuvre pour cerner la nature imbue du personnage. Sa contribution unique en a beaucoup perdu en popularité. Comme il le chante vers 1968, les ouvriers changent de disque sans débrayer, les autres corporations semblent en avoir fait autant...

Mais ses chansons restent fantastiques, pour moi en tout cas. J'adore