Cat, Myndie, Pépito,

Alors c'est vrai, ça, c'était vraiment mieux avant ?

Bravo Pepito, j’ai pas pu résister. T’es le seul auteur que je connaisse qui vend plus quand il n’est pas publié. Musso est un nain.
Ton texte est ce que j’appelle un post-it. Il trouverait sans doute mieux sa place dans la section « nouvelles », si ce format y est autorisé. Cela dit, l’important c’est le plaisir unanime de tes lecteurs fantômes. Sans doute un nouveau public pour toi :)

Pas plus que Myndie, je ne t’aurais démasqué derrière tes lignes.
Bon, ça va que je te connais, je peux donc facilement te pardonner ce moment de relâchement. Ne me dis pas que tu as vraiment écrit : « Les prendre délicatement, les porter au lit, l’un après l’autre, craindre de les réveiller alors que, tout au contraire, entraîné par le balancement et la chaleur de mes bras, leur sommeil se fait plus lourd, plus serein. »
Pas toi ! Dis-moi pas que c’est pas vrai ? Elle est où la phrase horrible qui devrait suivre ? Tu t’es coupé les ongles ? Et en plus tu les vernis ?

Je te le dis, si tu files du mauvais coton comme ça, tu vas finir par t’inscrire au club de bridge de la Théière et bouffer des gâteaux secs. :)

Allez, remercie O d’avoir fait l’impasse pour sauver ton honneur et ta réputation.

Ludi
qui ne voit plus l’intérêt de publier

Yéhhhh ! Ludi de retour et sur mon faux rhum en plus !
Un grand merci pour ton commentaire et ta non-reconaissance ! ;=)

J’appelle mon fidèle destrier et on... chevauche!




Hersen, avant les vieux ils étaient jeunes et les jeunes ils existaient pas pour voir. Du coup, quand on dit, c'était mieux avant, il n'y a personne pour vous contredire...

Sur ce... c'était mieux avant !

Ludi Luke est de retour!

Ben ça, c'est un coup à vous faire croire au bon dieu!

Hersen, peut-être bien qu'il est pas si loin que ça le bon vieux temps...

@ hersen : Disons que c’était mieux avant, parce que maintenant, et de plus en plus, la crainte gagne du terrain : chômage, montée des extrêmes et ses Trumpettistes, emplois fictifs hors norme qui n’empêchent pas pour autant l’augmentation des impôts, l’insécurité au taquet, changements climatiques, difficulté de se loger, etc. C’est le pompon, non ?

Oups ! Ce n’est peut-être pas la réponse attendue…

A vous, Cognacq Jay, à vous, Myndie, Pepito…

Et… mais, c’est toi, Ludi ?

GigiLudi, s'est toi là-bas dans le noir ?
Attends, laisse-moi te regarder
Mais tu pleures
Tu pleures GigiLudi
Ca n'a pas été là-bas, hein
Et alors, et alors qu'est ce qu'ils comprennent ces Americains à part le rock
Et le twist, hein
Ma GigiLudi, qu'est-ce que tu croyais, devenir comme ca GigiLudi l'Americano
E invece no, tu sei Giuseppe Frabrizio Luca Santini
Et tu es Napolitain
Ecoute, Pepito s'est mis a la guitare
Attends, Myndie est là aussi
Mais, mais tu ne peux pas t'en aller comme ca
Ici tu es chez toi
Ici tu es le roi
Tu entends, tu les entends GigiLudi
Ils sont tous là
Ils ont dû te reconnaitre a la gare
Chante GigiLudi, chante, c'est ton public
Chante pour eux, chante pour moi qui n'ai jamais su te parler
Oui, vas-y, bravo GigiLudi, chante


Arriva, Gigi l'Amoroso
Croqueur d'amour, l'oeil de velours comme une caresse
Gigi l'Amoroso
Toujours vainqueur, parfois sans coeur
Mais jamais sans tendresse
Partout, c’était la fête quand il chantait


lalala lalala...

Whouaaaa ! Catlica est aussi de retour(no) !

Heu... sinon, une seule corde pour ma guitare, sinon je suis plus le rythme...

Bonjour Ludi, content de vous revoir par ici.

Yeah Ludi le chamane le retour.
Ha mais tu dois te dire qui c'est celle-là?
Diva-luna it's me.

Hep Catdalida avec l'accent hein. Cool.

Jano,

Yves Bonnefoy "L`improbable"

La poésie comme l`amour doit décider que des êtres sont. Elle doit se vouer a cet Ici et ce Maintenant que Hegel orgueilleusement avait révoqués au nom du langage, et faire de ces mots qui, en effet, quittent l`être, un profond et paradoxal retour vers lui.

Le pigeon, message accroché à la patte, est arrivé.
Il a vaillamment volé, volé, n'ayant qu'une idée en tête : délivrer au plus vite « Manque » afin que ça manque le moins possible.
Survolant des terres enneigées, ballotté par les vents forts, maintes fois il redressa son cap.
Il s'est posé sur la terrasse, en fin d'après-midi, l'oeil terne de tant de fatigue mais jubilant intérieurement d'avoir réussi sa mission et hersen était à l'attendre fébrilement, connaissant tous les dangers du voyage ; mille fois elle a tremblé pour que ce frêle animal ne se fasse abattre en plein vol par l'ennemi, à l'affût de cet écrit apocryphe. Bienheureusement, il n'arriva rien et l'auteur avait eu soin de coder son message : un éventuel pilleur n'aurait lu qu'une histoire de deux gamins et de leur papa. Evidemment, l'important était le code. Mais hersen n'est pas bien sûre. Alors voilà ce qu'on a : On ne s'arrêtera pas sur le fait que c'est un père qui s'occupe mal de ses enfants : l'un d'eux a la bouche barbouillée de yaourt, de l'aveu même du père ; ce sont des enfants dont on s'occupe peu, je pense, car on les oblige à regarder la télé quand le programme est fini. Le père a du mal à les porter. A moi, on ne la fait pas. De deux choses l'une : soit le père est en mauvaise santé et n'est donc pas en état de s'occuper de ses enfants, il se pourrait même qu'il soit ivre, ça s'est déjà vu, soit les enfants sont obèses, et la ddass ne devrait pas tarder.
Mais le pire, ce qui me noue les tripes, c'est que ce père, soi-disant aimant et tout ça, la main sur le coeur, tout fondu d'amour nous dit-il, ne réagit même pas quand ses gamins disparaissent. Il appelle même pas les flics.
Et attendez, là j'ai eu du mal à le croire, mais la vie, des fois, ça nous en apprend de belles, il remplace tout bêtement ses deux mimi enfants par des grands dadais qui piquent.

On ne m'enlèvera pas de l'idée qu'il y a du louche.

Bon, je renvoie le pigeon.

hersen