Emilia

Merci pour votre passage. Vous confondez tous auteur et narrateur.
Pour cela je renonce à publier, ici. Mon dernier texte sera celui écrit pour le concours.
Votre appréciation est encore un motif pour continuer à écrire.

J'espère que cet extrait d'une sextine, vous éclairera sur mon renoncement.

La vérité ne peut concevoir le silence....
Le poète est maudit car on le dit forban
En venant le taxer de sombre intolérance,
Pour livrer par écrit ce que tout autre pense.

Devra-t-il confier, pour n'être mis au ban
Ses pamphlets à l'oubli d'un tiroir de scriban ?

Miguel

Voilà le trio des élites reformé. C/ H/ M.... Remember
Honoré par votre avis. Je vous en remercie.

Bonjour à vous Grandin et merci pour votre retour ; je suis vraiment désolée de m’être sans doute mal exprimée au point de vous inciter, d’une quelconque façon et par maladresse, à « renoncer à publier ici… »
Loin de moi l’idée d’empêcher qui que ce soit d’exprimer ce qu’il pense. J’avoue avoir du mal en effet à dissocier le narrateur de l’auteur, car, personnellement je ne me vois pas exposer quelque chose sans le penser sincèrement, même à travers une poésie. Faire part au « narrateur » dans un commentaire que je ne partage pas entièrement son point de vue (un modeste avis qui n’engage que moi et ne présente aucune conséquence…) ne devrait en rien le pousser à un renoncement. C’est peut-être le cheminement synthétique de l’image attribuée à « la femme » qui m’interpelle. Car, bien évidemment, tout le monde peut reconnaître dans un personnage historique ou l’une de ses relations les aspects auxquels vous faites référence, sans pour autant que « l’étiquette » posée puisse fonctionner avec tous et toutes… En ce qui me concerne, c’est juste ce que je souhaitais préciser et d’ailleurs, d’éminentes personnalités du site vous ont fait part de leurs appréciations et encouragements. Il serait vraiment regrettable de les priver de votre talent de composition dont vous faites preuve et les avis divergents ont toujours été à la source d’échanges éclairants et utiles sur la façon dont les textes peuvent être perçus (il m’arrive aussi souvent de ne pas me sentir sur la même « longueur d’onde »…)
Je ne peux donc que très sincèrement vous encourager à continuer d’écrire et bien sûr de publier (responsabilité confiée au Comité d’édition…) en espérant avoir le plaisir d’autres lectures…

Emilia

Pas de souci. Je ne suis pas susceptible. Mais on peut ne pas aimer sans soulever de polémique. Bref, ce n'est pas votre cas, et vous n'étiez pas obligée de revenir sur votre commentaire qui n'avait rien de vexatoire, au contraire. Quand on n'aime pas il faut le dire. Ce que je fais moi-même parfois, en toute honnêteté sans me soucier de l'auteur, seul le texte est évalué.
Pour ce qui est de publier, à part un texte écrit pour le concours, plus aucun ne paraîtra, ici. Trop d'aigris, à mon avis.
Merci pour tant d'aménité.

Provencao

Merci d'avoir lu ce texte, et de vous être exprimé.

cher poète
comme vous auriez tort de laisser sur la touche, ceux qui apprécient votre plume !
Ne croyez pas que vous oyez mis au pilori, simplement un thème dont l'interprétation peut emporter sur une planche savonnée !
" Bien sûr il y eut des orages " pourrais-je dire, mais je ne vois guère qu'un peu d'animosité dans les remarques " défavorables ".
Croyez-moi, nous eûmes des tempêtes, des ouragans même non seulement sur la plume, mais aussi envers l'auteur !
Ravalez votre rancoeur, et laissez passer les humeurs... puis reprenez votre crayon ! On ne va quand-même pas vous laisser filer comme ça !
Allez, on s'y remet !

au 12e vers ( que vous Soyez...)

méprise quand tu nous tiens !

je ne voulais pas dire que le sujet était "discutable" je voulais dire que l'on pouvait en "discuter " à loisir en salon littéraire (le truc qui fait couler beaucoup d'encre quoi!)
> (discutable en salon littéraire) la tournure prête à confusion.


Je suis d'accord pour dire que tous les sujets sont abordables en poésie.
Sans doute, nombre de lecteurs n'auront pas compris la finalité du texte, reste que les avis ne sont pas des sentences, plutôt que de prendre la mouche expliqué la démarche on y gagne tous à comprendre les mots !

BernardG

Merci pour votre commentaire, sur un texte qui aura fait parler, (en l’occurrence écrire). Le rimeur que je suis est souvent esclave de la rime donc menteur. En voici la preuve :

extrait d'un sonnet (la chute):

Contre de tels aveux, pour clore le sujet
Veuillez considérer de manière clémente
Que je ne sois séduit que par la femme-objet