Bonjour à toutes et tous, amis de l'Onirie!

Mes remerciements habituels, mais toujours sincères et nécessaires aux CE et à l'équipe de correcteurs ayant oeuvré à la publication de ce texte.

Pour une fois j'ai voulu un texte court, du coup j'y a collé un titre long.
Les deux premiers vers me trottaient dans la tête depuis un moment, du coup j'ai brodé autour.

Le sens que j'ai voulu donné au texte est assez simple, j'y viendrai lors de mes remerciements.

Corto: le premier vers parle de lui-même je pense, il est question de sentiments et d'émerveillement, de renouvellement, le second étant là pour signifier qu'il faut prendre le temps, s'arrêter un peu. Merci pour le commentaire.

Luz : je peux évidemment comprendre que mon texte ne soit pas d'une limpidité de sous-bois ou d'eau de roche, je sais plus. En fait, l'essentiel est contenu dans le titre. Mon idée étant que même lorsque une passion s'étiole, qu'un couple se sépare, il peut demeurer ce "miracle", à savoir la naissance d'un enfant. Après, on est pas obligé de prendre le texte comme ça non plus. Merci bien.

papipoete: merci de ne pas avoir poussé mémé dans les orties! :)

Provencao: votre interprétation est très intéressante, c'est aussi une façon de voir le texte. Au plaisir.

apierre: merci braucoup pour les compliments.

Walter_Gilligan: content d'avoir pu -selon vous- tenir les promesses du titre. C'est vrai que je me suis posé la question. Merci, donc.

Cat: non, pas autobiographique. Même si une fiction est toujours autobiographique et une autobiographie fictionnelle. Merci bien.

STAPHANIE90: merci pour la délicatesse.

Lirian: j'entends parfaitement ce que vous me dites. D'autant que je suis un fervent défenseur de la simplicité en poésie. J'ai encore du travail... Merci à vous.

Donaldo75: oui l'oiseau de papier, c'est comme les cocottes en papier hein... Là il est censé représenté le "miracle", mais bon... Merci.

hersen: pour moi, les deux premiers vers n'expliquent pas vraiment le poème et puis comme je l'ai dit, le texte part de là en fait. Mais je comprends qu'ils puissent un peu trancher avec le reste, je suis d'accord. Au plaisir.

Vincente: je crois que mes intentions étaient plus modestes. Il s'agissait de fondre et de confondre ce que je dis à Luz tout en insistant sur la beauté de l'instant, en l'occurrence le souvenir d'une naissance. Je suis super content de ton commentaire et je redécouvre mon texte. Merci bien.

Hiraeth: oui, moi Tarzan :) L'oiseau de papier donc personnifie le miracle ou bien l'amour, celui qui défroisse la lettre. La branche de l'être, ben c'est une partie de l'autre quoi. Très bien vu pour le "bless". Merci.

nelson: oui je crois aussi qu'on peut s'attendre à autre chose au vu du titre. Pourtant, c'est bien de l'amour dont il est question. Merci à vous.

emilia: vous avez très bien cerné je trouve mes intentions. Je suis ravi d'avoir pu vous toucher avec mon texte. Merci.

Louis: oui oui pour les deux premier vers, vous êtes dans le vrai. Très amusant et éclairant ce jeu sur les lettres de l'être! Merci.

Bah, je crois pas avoir parlé de poème biographique, si ?...

Ah ben c'est le sont-ils en adéquation avec l'histoire du poète qui m'a gouré alors...

Tu parlais de tes mots précédents, pas de mon texte.

Suis un peu lent à la comprenette, désolé....

C'est ça, en adéquation avec l'histoire que tu as voulu écrire.
Sinon, t'inquiètes pas, vous êtes nombreux à ne pas savoir lire !
La prochaine fois je te prête mes lunettes. (lol)

Tu crois pas si bien dire... Je recule l'échéance mais bon. J'ai plus les bras assez longs pour tenir mes bouquins. L'approche de la quarantaine que veux-tu...

Comment ça, t'es pas né avec ?...

Je sais même pas si je suis né.

moi non plus

Pouet...

Je vois d'ailleurs que je fais une belle fôte sur ma réponse à Donaldo...

censé représenter...

Toutes mes confuses.

Salut Pouet,

Quand tu écris : "je crois que mes intentions étaient plus modestes", je peux comprendre que tu t'adresses à celles que tu as identifiées, mais ne crois-tu pas que ton expression "avoue" aussi un entendement sourd et sous-jacent de l'éventualité plus large que j'évoque ?

Si je me permets de faire de la psycho de bazar, c'est parce que je viens de relire ton poème avec le rétro-éclairage que tu explicites (dans ses grandes lignes, celui d'un couple en rupture mais dont un enfant naissant au moment de la séparation va sceller les prémices d'un bonheur assez miraculeux, improbable en tous les cas, et qui va les garder inconditionnellement toujours liés bien que séparés…). Eh bien le fait, de cette intangibilité d'une advenue qui défie "par essence" l'effacement qu'imposerait le temps, prend toute sa mesure dans le cas que tu évoques. Le couple restera quoiqu'il advienne un couple de parents engendrant ce "miracle" d'une naissance.