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1 Utilisateur(s) anonymes
Merci d'avoir suivi mes pas sur "Les sentiers perdus" |
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Maître Onirien
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Je remercie le Comité d'Oniris et toutes ses petites mains qui ont permis la publication de mon poème ainsi que les lecteurs et commentateurs qui m’ont fait l’honneur de leurs appréciations.
Myo J’ai laissé aux lecteurs le choix d’imaginer à quelle absence ce texte fait allusion mais je pense que vous avez deviné assez facilement. Le dernier tercet a votre préférence, j’en suis ravie car le final est l’une des pièces les plus importantes d’un sonnet. Merci pour vos observations et votre sympathique commentaire en espace lecture. Miguel « quelque chose de lamartinien » souligne votre lecture dont vous aimez « l’évocation sobre et poignante ». Je suis ravie que vous ayez apprécié l’ensemble de mon sonnet . Merci pour votre aimable commentaire en espace-lecture. Hananké « Très beau sonnet » voilà une appréciation qui me fait plaisir venant d’un auteur qui connaît parfaitement cette forme plus difficile qu’il n’y paraît. « enjôleurs » ne vous plaît pas trop, et l’inversion « minuscule brise ». Je comprends votre point de vue mais minuscule à la rime me gênait par cette sonorité en « ule » dont aucune association ne semblait convenir aux propos du récit. Personnellement je trouve la rime « ise » plus légère que « ule ». Voilà le pourquoi du comment, mais vous connaissez tous ces « problèmes ». Merci pour votre commentaire en espace-lecture. Inconnu1 Encore ces enjambements (sourire) la prochaine fois je ne pourrais pas passer incognito dans votre espace-lecture, il va falloir que je les évite lors de mes prochaine publications, mais je ne vous promets rien :) Quant au mystère que vous n’avez pas réussi à percer, je vous accorde la liberté de votre imagination, quelle qu’elle soit, elle s’accordera à mon écrit. Merci pour votre agréable commentaire et votre sympathique retour. Widjet Quelle surprise de vous trouver ici ! Bonne surprise soit dit en passant. « C'est triste sans être misérabiliste. Cristale frappe fort. » Merci de votre présence et de votre commentaire qui me touche sincèrement. Emilia En prose-commentaire Emilia me ravit. Votre commentaire est vraiment touchant de par la poésie qui en émane et la douceur de votre écriture qui me semble s’être imprégnée de mes images. Un grand, très grand merci à vous. Pieralun Un sourire à l’évocation de l’aspect « bucolique too much » de mon premier quatrain :) J’ai le défaut de recouvrir le « pas-beau » de draperies soyeuses, de broderies bucoliques, pour mieux le défier. Mais je suis rassurée quant à ton appréciation et ton retour en émotion sur l’ensemble de mon sonnet. Un grand merci à toi. GiL Un sonnet bijou, quelle jolie dénomination attribuez-vous à mon poème, j’en suis vraiment touchée. L’adjectif « minuscule » ?...je n’ai pas su l’éviter, il correspondait à l’effet plus qu’amoindri d’un vent violent à cette douce brise, plus petit que petit. Merci pour vos appréciations et votre haute notation. Domi Évoquer la nature c’est poser un voile pastel sur des images difficiles pour les adoucir. Merci d’avoir souligné la chute et votre émotion à la lecture. Vos appréciations délicates me touchent beaucoup ainsi que votre présence sur ce poème. dream «comme un ami bavard dont on aurait du mal à se débarrasser » C’est tellement bien dit, je n’aurai pas su l’exprimer ainsi mais c’est bien cela. Votre commentaire traduit une émotion qui me touche énormément. Vous évoquez, entre autres, le dernier tercet et je vous en remercie. Merci pour votre commentaire et cette haute notation. Angieblue « C’est visuel et sonore » J’entends parler la mélomane avec grand plaisir. Voici une analyse détaillée, strophe après strophe, un vrai régal pour l’auteure. Merci pour cette émotion partagée et ce joli commentaire agrémenté d’une haute notation. Bipol Quel beau commentaire-poésie ! Merci à vous Bipol, j’écrirai d’autres poèmes et vous serez « obligé » de rester ici pour les lire et les commenter selon vos appréciations, quelles qu’elles soient, en vers ou en prose, comme vous voudrez :) Merci de votre présence et cette belle notation. Vincente Un commentaire comme une prose poétique...comment ne pas être touchée par des appréciations si joliment exprimées ? Je le suis, touchée, vraiment, beaucoup, intensément. Merci beaucoup Vincente. Damy Oh non cher poète, mon intention en publiant ce poème, n’était pas de faire pleurer. Ce n’est qu’un peu de tendresse envoyée vers les étoiles. Tant d’émotion me touche, mais il ne faut en garder que le joli paysage et les tendres images, comme un doux souvenir indélébile. Merci beaucoup Damy. Castelmore « Même si je suis choquant -je sais que vous me pardonnerez- j’ai envie de vous dire qu’il est si touchant grâce à votre talent et votre cœur que parfois ... j’en remercierais la douleur d’exister pour permettre l’expression d’une telle beauté. » Bien sûr que je vous pardonne cher poète tant ce que vous exprimez semble évoquer ces vers de Alfred de Musset : « Les plus désespérés sont les chants les plus beaux Et j'en sais d'immortels qui sont de purs sanglots. » Votre commentaire détaillé est des plus agréables, vos appréciations me touchent, vous devez vous en douter. Un grand merci à vous. François Vous préférez les tercets aux quatrains, je le comprends parfaitement ; les quatrains découvrent un retour sur images d’un lieu autrefois partagé où la narratrice est dorénavant mal-à-l’aise, ensuite doucement viennent s’immiscer les sensations, puis les sentiments, et les émotions, qui finalisent le sonnet. D’accord pour les rimes peu originales, elle sont simple pour un décor simple mais vous avez aimé celles du second quatrain et des tercets. Merci pour cet agréable commentaire. Lebarde Voici une bonne nouvelle que votre retour en commentaires. Chacun a ses occupations et il est vrai que les nôtres ici sont un peu chronophages mais le plaisir en vaut la peine. Et surtout le plaisir de recevoir d’aussi agréables commentaires. Quant aux enjambements, utilisés par quelques « grands », c’est aussi une histoire de goût. Un grand merci de vous être arrêté sur ma page, et merci pour cette haute notation. Papipoète Merci de ne pas avoir vérifié la prosodie, votre confiance m’honore :) J’adore votre façon de résumer par la voix de l’auteure l’histoire écrite d’un poème. Une juste interprétation pétrie de votre sensibilité de lecteur qui me touche, mais ça vous le savez déjà…Un grand merci à vous pour cet agréable commentaire ainsi que pour cette haute notation. Sympa Une lectrice qui partage la douceur de la tristesse, je le sais par vos propres écrits. La poésie ne permet-elle pas de dépasser certaines douleurs en sublimant le souvenir ? Je pense que oui. Merci d’avoir apprécié votre lecture en partageant votre émotion et d’avoir souligné le dernier vers. Et merci pour cette haute notation. Ligs J’aime beaucoup la lecture que vous faites de mon sonnet. Un regard attentif et juste dans son interprétation qui ne peut que me ravir. Merci pour l’attention minutieuse que vous avez portée à mes vers, et un grand merci pour votre haute notation. Cat Je te sais sensible et je suis heureuse que tu sois venue lire mon poème. Ton commentaire me touche beaucoup. Ton regard s’est, entre-autres, arrêté sur la caresse du vent qui pousse la balançoire...le poème aurait pu finir sur cette image. Merci pour tes mots, ta présence et ta haute appréciation. Bellini J’accuse ma faiblesse, mes rimes attendues, mes enjambements, ma ponctuation aléatoire, ma pioche dans la bibliothèque de dépannage, mon si long minuscule, mon souffle lyrique en apnée, de ne point vous séduire. Seule compte la structure de l’édifice faisant abstraction de toute émotion...et c’est votre droit de lecteur. Nul n’est obligé d’endosser la peine d’un auteur, fut-elle réelle, ou abstraite, seule compte la qualité de son récit. Victor Hugo a écrit « Demain dès l’aube » ; je ne pense pas que l’évocation de la mort de sa fille ait fait le succès intemporel de ce poème mais plutôt la qualité littéraire de celui-ci. Comme par ailleurs http://www.oniris.be/forum/sur-les-sentiers-perdus-t29172s0.html#forumpost404738 vous m’avez demandé pardon de votre sévérité, avec un charmant quatrain, je vous fais don de ma réponse ici : J’aimerais vous offrir un miséreux pardon Avec les mots fleuris du jardin de mon âme Votre cœur barbelé piquant comme un chardon Froid comme un iceberg ne mérite qu’un blâme : Cent sonnets mille rondeaux scandés sous le cilice Et la muse apostat vous privant de calice. (je précise que ce sizain ne fera pas l’objet d’une éventuelle publication en poésie) Hiraeth J’espère que vous avez bien repris votre respiration suite à ces vers 3-4 qui semblent donner quelques difficultés. Je les place ainsi en 1/2 inspiration (`) : « S’offrent le nacarat` des premières couleurs` De l’aube où l’angélus` réveille les campagnes » Mais si pour moi cela est évident, mon mode de lecture étant assez lent, j’admets que cela le soit moins pour le lecteur. La nature ne vous touche pas vraiment, pas plus que le romantisme (nous n’habitons pas la même planète:)) Vous avez raison de faire abstraction d’une éventuelle « affaire personnelle », ici la poésie attend du lecteur des observations sur...la poésie, la musique et la structure, et votre commentaire va dans ce sens. « je ne peux de mon côté que palpiter à la lecture de ces mots tout simples mais riches de sens, et me laisser émouvoir par cette adresse quasi maternelle, pleine de tendresse et de tristesse. » Vous exprimez des émotions, me voici rassurée, vous n’êtes pas si insensible qu’il n’y paraît. ^-^ Vous appréciez le dernier tercet, cela est important car j’attache une grande valeur au final d’un sonnet. Merci pour la pertinence de vos observations. (Quant à mon prochain sonnet – qui vous dit que c’est un sonnet ? – j’hésite encore vu le climat empesé...vous n’en saurez pas plus ^-^ Donaldo Ta présence sur ma page me fait grand plaisir. Rassures-toi, je n’attends pas un commentaire spécifique mais seulement quelques mots qui me disent les impressions du lecteur. Chacun fait à sa façon, peu me chaut la forme, seul le fond est important. Tes appréciations, pour ma poésie en générale, me touchent beaucoup d’autant plus que nous avons peu échangé sur nos publications respectives. Tu penses que « quelques molécules de folie seraient une expérience intéressante ». Effectivement, ma poésie est plutôt maîtrisée comme tu le soulignes, c’est un choix, bien que mon répertoire soit assez large dans des modes d’expression différents, et même très différents pour certains écrits. Mais je ne peux pas tout proposer à la publication. Si mes textes, comme tu le dis, sont de bons exemples pour qui souhaite se perfectionne en poésie classique, j’en suis ravie. C’est un joli compliment et un encouragement à poursuivre mon cheminement poétique. Merci de ta présence sur ma page. Louis Comment vous remercier pour ce commentaire-analyse absolument époustouflant ? De mes quatorze petits alexandrins vous avez su extraire toute la quintessence du propos avec une précision d’orfèvre et une justesse incroyable. Le décor ambiant du premier quatrain dénué du tu et du je, la conscience de soi et de l’absent au deuxième quatrain, la personnification du rire des sapins rappelant celui du petit fugitif. Je ne peux pas tout recopier mais ce qui concerne les tercets est aussi remarquable : « La nature continue à manifester de toutes les façons la présence de celui qui n’est plus là. Ainsi le vent pousse la balançoire vide, comme si l’enfant était là. Une place vacante sur le siège de la balançoire ; sous la « caresse du vent » un balancement entre absence et présence. Et puis se produit « un souffle » fruité « au goût cerise ». S’exhale dans un souffle tout ce qui est porté par le fruit rouge, et la cerise est un concentré d’enfance, de douceur, de forme : celle du cœur ; de couleur rouge sang, celui de la vie et de l’amour perdus ; d’un temps : celui d’un printemps trop éphémère. Le dernier vers est une autre cerise sur le final du sonnet : le plus émouvant des vers de ce poème : « Un frisson sur ma joue… un silence à jamais » Silence pour toujours de l’enfant, muette absence ; de l’enfant sans voix, que la nature « imite » mais ne remplace pas ; de l’enfant sans vie, parce que la vie se manifeste dans un éclat de voix. Un « frisson » sur la joue, une infime vibration ; sur la joue près des lèvres cerises nacarat, « ces lèvres qui lui saignent de langage », comme écrivait cet autre poète, Paul Celan, et un silence, celui poétique du sujet, qui se tait sur toutes choses, pour lui donner à lui, l’absent, une présence au cœur même de sa voix. Le sonnet prend fin sur le « minuscule », l’infime, l’infinitésimal, ce presque-rien d’un frisson, d’un souffle à peine perceptible, mais cet infiniment petit se conjoint à l’infiniment grand d’un « à jamais », se joint à la démesure d’un "pour toujours’" et creuse l’insondable en profondeur de l’émotion et de la douleur. » Mille mercis à vous Louis ! Et autant de mercis à vous tous et toutes d’avoir pris de votre temps pour me faire part de vos impressions suite à vos lectures sur « Les sentiers perdus ». Cristale
Contribution du : 07/05/2021 19:24
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Re : Merci d'avoir suivi mes pas sur "Les sentiers perdus" |
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Visiteur
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Citation :
Il n’est pas ici bas de plus divin supplice Que celui du pardon que m’accorde votre âme ; Abattez sur mes flancs le baume du cilice, Et laissez mes remords vous appeler Madâme. Bellini
Contribution du : 07/05/2021 20:46
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Re : Merci d'avoir suivi mes pas sur "Les sentiers perdus" |
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Maître Onirien
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Veuillez lire le vers fautif que j'ai repris ainsi :
"Cent sonnets mille lais scandés sous le silice" Merci Bellini
Contribution du : 07/05/2021 21:08
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Re : Merci d'avoir suivi mes pas sur "Les sentiers perdus" |
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Visiteur
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Citation :
Magnanime je suis... Votre syllabe intruse Est un mirage aux yeux des poètes du site ; Il n'est pas si courant que votre plume abuse Et dérape au détour d'un vers écrit trop vite. Je vous le dis, paré de rimes féminines, Pour accorder leur grâce à celle des ondines. Après ma modeste réponse à vos messages, je vous souhaite de beaux échanges avec vos lecteurs. Bellini
Contribution du : 08/05/2021 10:06
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Re : Merci d'avoir suivi mes pas sur "Les sentiers perdus" |
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Maître Onirien
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Je ne saurai le dire en des vers magistraux ;
Votre retour si doux voudrait que je console Un chagrin bien réel sous vos vers abyssaux; Chacun met de lui-même en sa propre parole.
Contribution du : 08/05/2021 17:14
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Re : Merci d'avoir suivi mes pas sur "Les sentiers perdus" |
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Maître Onirien
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Damy
Citation : Je ne saurai le dire en des vers magistraux ; Vous l'exprimez très bien, avec des vers charmants, Qui subliment la pluie au plus fort d'un orage; La poésie est là, pour doucir les moments De joie, ou de chagrin, rien ne la décourage. Merci Damy pour ce retour poétisé tellement touchant. Cristale
Contribution du : 09/05/2021 10:39
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Re : Merci d'avoir suivi mes pas sur "Les sentiers perdus" |
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Chevalier d'Oniris
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Bonjour Cristale,
je ne le dirai pas en vers, mais merci tout de même pour votre riche retour sur ce merveilleux poème.
Contribution du : 09/05/2021 12:27
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Sur le plus haut trône du monde, on n'est jamais assis que sur son cul. Montaigne |
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Re : Merci d'avoir suivi mes pas sur "Les sentiers perdus" |
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Maître Onirien
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C'est très bien en prose également
Merci de votre visite Ligs
Contribution du : 09/05/2021 12:29
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Re : Merci d'avoir suivi mes pas sur "Les sentiers perdus" |
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Maître Onirien
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@Dugenou
Vous pouvez sortir du trou où vous vous êtes caché (sic) car votre commentaire n'a rien d'inepte. Vous avez parfaitement compris le thème de mon poème et je vous remercie de vous être arrêté sur ma page. Bon dimanche à vous, Cristale
Contribution du : 09/05/2021 12:36
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Re : Merci d'avoir suivi mes pas sur "Les sentiers perdus" |
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Maître Onirien
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@Stephane
Mon sonnet m'a confié qu'il était heureux d'avoir été accueilli dans ton panthéon où il a retrouvé quelques chers camarades :) Un grand merci à toi pour ton retour sur Oniris et ton commentaire chaleureux serti d'une note souriante. À bientôt sur d'autres vers. Cristale
Contribution du : 09/05/2021 12:44
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