Bonjour à tous,

J'adresse un grand merci aux petites mains travailleuses et bénévoles qui ont permis à mon poème de voguer sur le pages d'Oniris.

Un autre grand merci à vous, lecteurs et commentateurs, d'avoir pris de votre temps pour exprimer vos ressentis.

@Papipoète
De l'espace lecture à l'espace poétique que vous donnez aux images il n'y a qu'un pas : celui du lecteur qui s'imprègne des mots pour les offrir en bouquet de prose à l'auteur(e).
Je connais les fées de Brocéliande et je leur ai glissé un petit vœu pour le carré de soleil en question...Ces dentellières vous feront de la belle ouvrage dans le ciel de septembre, soyez donc rassuré.
Merci à vous Papipoète.

@JulieM
Beau et calme oui, telle est la scène du moment, hors de toute agitation du monde et de l'océan. Un peu comme une aquarelle estompée. Vous appréciez l'ode intimiste et cela me ravit. Vous regrettez le manque de mouvement, de couleurs, d'odeurs ; oui, j'aurai pu intensifier ma palette mais ce n'était pas mon état d'esprit lors de l'écriture de ce poème. Merci JulieM pour la délicatesse de votre commentaire.

@Alexandre
Ouf ! Votre appréciation me rassure, j'avoue avoir eu, à la publication, une petite crainte que votre regard avisé de Breton apprécie moindrement ce poème. Alors, merci d'avoir jeté l'ancre le temps d'une lecture, et non rejeté l'encre, sur le fond de ces quatrains et d'en apprécier si agréablement la forme.
Je ne sais pas si l'on peut partager de la musique sur ce fil mais tant pis, j'essaie, pour le plaisir.
https://www.youtube.com/watch?v=cT34lBdVgls
Merci à vous Alexandre.

@Hananke
Ces petites touches posées au grès des quatrains n'ont eu aucun secret pour votre regard sensible et attentionné. Je constate encore une fois que vous savez dénicher et extraire l'essence dont est fait un poème, rien ne vous échappe des détails et pour l'auteure que je suis, c'est un grand réconfort.
Vous m'aviez dit, dans un passé récent que je pouvais mieux faire, alors, aujourd'hui, me voici ravie que vous appréciez mes efforts.
Merci à vous Hananke.

@Leni
« où le granit fleurit » ...que c'est joliment dit ! Tout comme vous dites joliment avoir aimé ce poème en citant deux de ses quatrains.
Vous soulignez la douceur et cela me touche car c'est ce que j'espérai transmettre lors de l'écriture.
Quant à l'aisance, si je vous disais que j'ai moins le trac en écrivant un poème qu'en publiant un fil de remerciements, me croiriez-vous ? :)
Un grand merci Leni.

@PIZZICATO
La musique et la danse de la mer d'Iroise sont des plus envoûtantes, parfois endiablées comme un rock and roll les jours de tempête, parfois berceuses telle une valse lorsqu'elle s'assoupit à l'étale des petites marées, comme c'est le cas dans mon poème.
Vous soulignez la sérénité des images et c'est très important puisque c'est la tonalité que je souhaitais donner à mes vers. Votre choix en ce sens est éloquent et me rassure.
Merci à vous PIZZICATO.

@MissNeko
Je vous souhaite de visiter un jour cette jolie région de France et je vous conseillerais même, vous qui affectionnez les chats, d'aller à Morgat près des grosses roches (ils nomment cela des cailloux:) ) sur le quai des pêcheurs, celui qui mène au phare, vous aurez peut-être la chance de voir les chats célèbres et multicolores qui y ont élu domicile depuis de nombreuses années, au point de figurer sur les cartes postales. A moitié sauvages, mais soignés par les habitants, les chats sdf de Morgat semblent parfaitement heureux.
Ceci dit, j'apprécie grandement votre commentaire où vous aussi évoquez entre autres la douceur de mon texte. Je suis comblée.
Merci MisseNeko

@Lulu
Quelle agréable appréciation ! Vous m'offrez une bien jolie restitution imagée de mon poème dont vous soulignez également le rythme.
Vos souvenirs du Finistère se ressentent dans votre appréciation, on n'oublie jamais un tel endroit et j'imagine que pour vous aussi il est source d'inspiration. Parfois, il suffit de fermer les yeux...
Merci Lulu d'avoir si bien su cueillir les émotions qui, quand elles sont transmises ainsi, me sont un bel encouragement.

@Plumette
Vous en voulez encore...je vais voir ce que je peux faire:)
« L'amour pour un coin de terre et pour un homme » je vous cite car tout est dit par ces mots.
Et oui, que demander de plus que ces « choses » simples ?
L'univers marin breton vous plaît, je reconnais que c'est une belle source d'inspiration.
Merci Plumette de vous être posée aussi délicatement sur mes lignes.

@Chimen
Je comprends que vous connaissez « intiment » la Bretagne, je n'avais donc pas droit à la faute de goût d'autant plus que vous avez « dégusté ce menu par petites touches romantiques », dites-vous.
Vous évoquez une femme de marin pêcheur, les marins pêcheurs sortent souvent de nuit et rentrent au matin si la mer leur laisse cette chance...gardons le mystère de notre bretonne solitaire sur son île.
Merci Chimen de votre sympathique appréciation.

@Hersen
Aimer immensément ces deux vers précisément : mais c'est un énorme plaisir que de les partager avec vous !
« C'est comme une sorte d'emprise que la narratrice crée envers les éléments, qu'elle seule connaît ces choses. Plus forte que les matelots, à elle toute seule ! »
Je vous cite et je trouve cette vision tellement belle que je n'en dirai pas plus.
Si, je vous dis merci Hersen.

@Vincente
C'est avec plaisir que je vous accueille à bord de ce poème. Vous avez apprécié les mots, les images, vous avez ressenti les émotions et c'est pour moi l'essentiel.
« Un transport » dites-vous, et bien, que cela est agréable. Votre enthousiasme me touche beaucoup et, ouf ! le sommeil d'éventuelles remarques formelles laisse l'étreinte amoureuse intacte:)
Un grand merci à vous Vincente.

@Vincendix
Vous êtes le bienvenu sur mon île poétique et je suis heureuse de l'image que vous avez de cette petite, toute petite maison plus que centenaire mais si bien ancrée sur son rocher qu'aucune tempête ne saurait la faire tressaillir un seul instant.
Merci à vous Vincendix pour vos jolis mots sur ma page.

@Luciole
« ma » Bretagne sent l'encaustique...  
Oui, c'est assez propret chez moi. J'utilise une cire d'abeille pour les boiseries, du savon noir et de l'huile de lin pour la pierre, de l'huile de coude pour l'écriture, je traite bien les vers, d'où peut-être les fragrances de mon poème écrit par temps et mer calmes. Bretagne n'est pas synonyme de tempête.
Non, les patins ne sont pas nécessaires pour entrer... pas plus que les gros sabots.

@jfmoods
Je réponds de suite à votre questionnement ; c'est bien la mer qui valse, c'est pourquoi j'ai placé une virgule après « une île, » une autre après « que je lui dit, »
Au quatrième quatrain, je me comprends ainsi : j'ai fait pour deux (pour lui et moi) …..priant...pour qu'il arrive... « il »  évoquer « lui ». J'avais mis une majuscule à « il » (lui, celui qu'elle attend) justement pour plus de précision dans mes essais mais je trouvais cela pompeux. Votre remarque est intéressante, je vais l'étudier de près.
Vous êtes tellement doué que j'ai du mal à vous répondre avec autant de précision. Je suis admirative de votre travail et je suis bien incapable d'en faire autant.
Entre autres je vous félicite pour avoir remarqué, compris le jeu et «  l'enjeu  souterrain » des rimes embrassées.
Bravo et merci jfmoods , vous avez pris de votre temps pour accorder beaucoup d'attention à mon poème et cela me touche. Nul doute que je vais relire votre analyse de nombreuses fois.

Merci à tous
Kénavo

Cristale

Votre poème est très fade et manque terriblement d'images, vous accumulez les clichés, vous êtes très loin de ce que doit être la poésie. Il faut vous pousser au ... et je veux bien chausser des sabots ( bretons) pour le faire. C'est pour votre bien.

Si vous pensez que parler de langues de sable et de dentelles d'écume c'est faire preuve d'originalité, je m'incline.

@luciole

Le remorqueur de vos sarcasmes coule par le fond dans le sillage de mon indifférence.

Cristale

Mille sabords !

Tels de puissants vaisseaux corsaires
Mes sonnets naviguent, portés
Sur la mer blanche du papier
Par le vent de l’imaginaire.

Audacieux et téméraires
Ils vont, de vers accastillés,
Et cinglent droit sur la Beauté,
Moquant la fortune contraire.

Ils croisent parfois - c’est cocasse-
Cristalline dans sa barcasse
De méchants vers encalminée

Et lui lâchent par leurs sabords
-En manière de pied-de-nez-
Une bordée de métaphores !

J'avais rédigé un commentaire que je m'apprêtais à t'envoyer mais, une fois de plus, j'arrive en retard. Tant pis, je le poste ici. J'espère que ton altercation verbale avec Luciole ne t'indisposera pas trop à mon endroit :

A la lecture du titre, j’avais un peu peur d’un poème à revendication régionaliste. Ç’aurait été te mal connaître : à nouveau une bluette sentimentale traité sur un mode classique parfaitement maîtrisé. C’est plein de joliesse, y compris -pardonne-moi- avec l’acception un peu péjorative que comporte ce terme. Je fais miennes toutes les louanges dont te couvrent les commentateurs, mais j’ai l’impression que tu marches sur des pas que tu as déjà tracés. Évidemment, c’est une valeur sûre, cela fonctionne et te voilà comme toujours joliment emplumée. C'est mérité et ça te va très bien, mais je trouve que tes meilleurs poèmes sont ceux des concours, car tu t’es confrontée à des thèmes imposés que ton talent a su parfaitement négocier.
Mais enfin, ta nature romantique revêt pour moi tous les charmes que tu sais ; tu m’es la Louise Labé d’Oniris (dis-donc, c’est qui ce type qui t’enlace dans les embruns, que j’aille lui casser la gueule ? Ah, non, zut, on avait dit que j’arrêtais…).

NB : jfmoods a raison de noter les évocations de la danse dans ton poème. Que dirais-tu de “De tambourins en cornemuses”, peut-être plus dynamique ?

@archibald
Oh ! comment as-tu pu croire que je publierais un poème "engagé" ? Non bien sûr, ce n'est pas mon style.
Je regrette seulement que tu n’aies pas posté ton commentaire sur ma page. Ce fil est voué à disparaître rapidement alors que les commentaires sous mes poèmes restent ad vitam aeternam, pour moi surtout. Pourquoi serait-il trop tard ?
Je suis heureuse que tu apprécies le romantisme de mon poème et, pour être franche, c'était l'été, un été pas comme un autre où j'avais besoin de calme, de sérénité, de simplicité, de choses ordinaires, de mots simples, d'où cette évasion sentimentale.
Vu que tu apprécies mes poèmes publiés lors des concours, je pourrais te présenter l'étendue de mon nuancier sous des formes également classiques, plus ou moins "corsées" mais façon personnelle sauf que, à la fréquence de un texte par mois, c'est difficile de publier ici tout ce que j'écris alors je dois faire un choix.
Bref, tu as trouvé mon poème plein de joliesse, sur un mode classique maîtrisé, je n'en demande pas plus en cet fin d'été. La rentrée sera peut-être un peu plus mouvementée.
"de tambourins en cornemuses"...je vais étudier ta suggestion.
Merci de ta présence Archibald.
Cristale

@Jano

Merci à vous Jano.
Cristale

@Wall-E

D'une île à une autre, vous me voyez ravie de votre retour bien que les vacances, c'est quand même assez agréable...

Vous avez lu au-delà des brumes de l'Iroise et votre interprétation de quelques images en filigrane ne sont pas pour me déplaire, au contraire. J'apprécie ce regard particulier qui laisse place à l'imagination.

Merci Wall-E pour votre sympathique visite sur mon île et pour l' agréable appréciation que vous avez laissée sur mon carnet de bord.

Au plaisir de vous lire prochainement.
Cristale