Parcourir ce sujet :
1 Utilisateur(s) anonymes
Merci pour Apocalypse |
||
---|---|---|
Expert Onirien
Inscrit:
12/11/2017 17:38 Groupe :
Évaluateurs Auteurs Groupe de Lecture Membres Oniris Post(s):
6065
|
Merci au CL de m’avoir permis de présenter ce texte, à tous les commentateurs qui s’y sont intéressés et aux lecteurs anonymes.
Les commentaires ont été plutôt agréables et je m’en réjouis bien entendu. Merci Myo : Quand je partirai, je vous emmène, nous pourrons poétiser à l’envie. Je suis d’accord avec la rime dune-lune. je tenais à l’image du soir qui laisse le soleil bouillir, ce qui explique qu’il disparaisse avec la nuit. Je voulais finalement qu’il fonde sur la mer en disparaissant à l’horizon, mais la rime lune-mer n’était pas très riche et j’ai finalement été très heureux de trouver une dune dans mes bagages. Merci EtienneNorvins : Je retiens surtout que vous avez beaucoup aimé 21 vers sur 22. En fait, je suis d’accord avec vous sur le dernier vers qui ne me satisfait pas vraiment. Au départ, ce poème était un poème centré sur les conséquences du départ de l’être aimé (un seul être vous manque et tout est dépeuplé), avec l’idée que lorsqu’elle partira, le monde s’écroulera que la vie n’aura peut-être plus de sens. Mais j’ai eu peur qu’il ne soit pas assez explicite et trop personnel, et je ne sais pas quelle lubie m’a pris en me disant qu’il pouvait avoir aussi s’appliquer à un message universel en parlant du changement climatique, mais votre commentaire ainsi que d’autres me font réfléchir à revenir à mon idée première car du coup il y a de l’ambiguïte. Un grand merci à Lebarde pour votre soutien et votre appréciation. Personnellement, et sans rentrer dans un débat qui a déjà fait des vagues, je n’ai pas à me plaindre. Je ne reprendrai pas un à un tous vos gentils compliments tant ils sont nombreux mais ils m’ont réchauffé le corps et dans mon cœur ils brûlent encore, à la manière d’un grand soleil. Merci à Donaldo75. Là encore que de plaisir à vous lire. Vous êtes de ceux qui appréciez le message universel. Je le note. Merci à Mokhtar. Vous avez beaucoup apprécié la forme. Vous vous interrogez sur le fond. J’ai déjà donné un début d’explication. L’idée finale (modifiée et c’est sans doute ce qui crée l’ambiguïté) est que lorsque le monde que nous connaissons disparaitra (avec le départ de proches), nous devrons (nous aussi), peut être penser à partir et que nul n’est à l’abri. Merci à papipoète. Sur le fond, vous rejoignez ma première idée du poème. Merci pour votre appréciation. Le poème n’a pas été retenu en classique à cause des deux vers solitaires (sans jeu de mot) qui n’avaient visiblement pas le même nombre de pied. Je fais confiance aux spécialistes. Merci Marité. Votre commentaire rejoint celui des autres et vous soulignez également le manque de clarté du dernier vers. Merci Robot. Vous avez apprécié et auriez souhaité la poursuite de l’anaphore. Dans mon premier poème sur Oniris, je disais « Je cultive à plaisir le rythme et l’anaphore… », je vois que pas encore assez pour certains. Merci à Véro : que de gentils mots. Je suis très heureux que vous ayez été sous le charme, en particulier du dernier quatrain. Merci Hananke. Vous avez trouvé plaisir à lire le poème auquel vous trouvez du charme. Je vous en remercie. Vous émettez des réserves sur les virgules, en particulier de la première strophe, mais là je ne vous suis pas, et c’est sans doute parce que je n’ai pas été explicite. Le seul lien entre les moulins et les nuages, c’est le vent, qui peigne les nuages et qui fait tourner les ailes du moulin, la virgule me semble alors bien placée pour séparer les nuages et les moulins. Je peux éventuellement enlever la virgule entre moulins et d’offrir, mais pas la virgule de fin de premier vers. Contrairement à Robot, vous trouvez l’anaphore trop présente. Comme je le disais, je cultive à plaisir le rythme et l’anaphore, trop pour d’autres. Merci à Miguel. De très gentils compliments. Vous aimez vous aussi le côté lancinant et obsessionnel apporté par l’anaphore. Enfin Merci à Pouet. Merci d’avoir souligné l’ambiance de mise à distance, de dérision mélancolique car c’était tout à fait l’atmosphère que je souhaitais insuffler
Contribution du : 12/12/2021 11:48
|
|
Transférer |
Re : Merci pour Apocalypse |
||
---|---|---|
Visiteur
|
Bonjour Inconnu
Oui, je voyais mieux pour l'image totale Le vent peignant les nuages aux ailes du moulin ( c'est ce que je croyais car je m'imaginais bien les ailes du moulin en dents de peigne) mais c'est vous l'auteur. Cordialement. H
Contribution du : 12/12/2021 13:48
|
|
Transférer |
Re : Merci pour Apocalypse |
||
---|---|---|
Maître Onirien
Inscrit:
29/01/2013 15:18 Groupe :
Évaluateurs Auteurs Membres Oniris Groupe de Lecture Post(s):
53110
|
certes, ces deux vers " tout seuls " n'ont pas la même pointure, que leurs grands frères ; mais les voyant comme refrain, ils purent prétendre à une certaine liberté ?
" non ! y'a des règles et c'est comme ça ! non mais, papipoète vous n'allez pas changer la face des choses ! - je n'ai rien dit ! "
Contribution du : 12/12/2021 14:21
|
|
Transférer |
Re : Merci pour Apocalypse |
||
---|---|---|
Maître Onirien
Inscrit:
17/04/2013 18:11 De Monts du Jura -
Groupe :
Évaluateurs Auteurs Groupe de Lecture Membres Oniris Post(s):
46936
|
Bonjour inconnu1
S'agissant de l'anaphore c'est une question d'appréciation en fonction du poème. Il m'est arrivé aussi de trouver des anaphores trop pesantes. Disons que pour votre texte j'avais dans mon élan commencer par elle sur ce quatrain et que j'ai été surpris. Mais ça n'ôtes rien à la qualité du texte.
Contribution du : 12/12/2021 14:52
|
|
_________________
Vivre au paradis, quel enfer ! |
||
Transférer |
Re : Merci pour Apocalypse |
||
---|---|---|
Expert Onirien
Inscrit:
31/03/2020 20:16 De Belgique
Groupe :
Évaluateurs Auteurs Membres Oniris Groupe de Lecture Post(s):
8642
|
Bonjour Inconnu,
Sur qu'ensemble nous pourrions écrire de bien jolies choses ... Nous nous corrigerions déjà nos fautes mutuelles Je vous pardonne la lune ... c'était histoire de dire. Bonne soirée Myo
Contribution du : 14/12/2021 19:58
|
|
Transférer |