Merci à toutes celles et ceux qui ont pris le temps de commenter cette poésie.

Son premier jet avait été écrit il y a plus d’un an. L’objectif étaient de réunir des figures artistiques qui me plaisent du 19° au début du 20°siècle. Il y avait à ce moment-là encore plus de jeux de mots ou de calembours ce qui aurait « dégoûté » Bellini (pas le compositeur, mais le poète!). Cela ne me plaisait plus non plus.
Remettant sur le métier le corps du texte, je l’ai d’abord dégraissé et changé l’ordre de certaines strophes pour découvrir plus tardivement un bon liant sous forme d’un café. Cela m’a permis de poser un cadre puis des temps, de donner du mouvement comme l’a remarqué Vincente.
Ainsi, cette poésie revient de loin et sa reprise date de trois jours avant l’envoi à Oniris !

Pour le partage, je vous conseille l’écoute de la Cathédrale engloutie de Debussy, souvenir de mes études musicales : https://www.youtube.com/watch?v=5liSvIrR3xk

Plus tardivement, j’ai pris connaissance avec le futurisme et la poésie : https://www.my-os.net/blog/index.php?2006/11/15/570-le-manifeste-du-futurisme


Corto : merci pour votre commentaire très positif ; l’accès est peut-être un peu ardu mais j’y ai laissé plus de traces que d’habitude !

bipol : vous avez raison, je voulais dans ce texte que l’art soit partout !

Gemini : vous avez bien résumer avec votre expression « très décontracté et très érudit » ; ma reprise de cette poésie allait dans le sens d’un plus grand naturel.

Bellini : merci pour votre commentaire très construit. Je vais adopter la correction que vous proposez et dévoiler un « Mallarmé » beaucoup plus intéressant !

papipoète : merci d’avoir commenté. Je m’attendais effectivement à plus de critiques allant dans votre sens. Je suis content de constater que mon message soit si bien passé.

Vincente : vous avez très bien cerné mes intentions ! Je ne saurais mieux le dire que vous : « M'est venue la vision d'un personnage sautant d'une pierre à l'autre apparaissant dans le torrent de ses pensées, à peine maintenu par un fil, celui de sa sensibilité très artistique »

Ascar : vos compliments me vont droit au cœur et je suis heureux d’avoir pu vous procurer du plaisir à la lecture de ces mots.