Je m’immisce parce que dans mon commentaire j'ai comme qui dirait posé une question ( sans point d'interrogation, j'en conviens ) à propos de ce vers :
"Malgré ses confusions et son mea-culpa"
dont je n'ai pas su quoi faire. Mais peut-être avez-vous un jocker, Arigo, à sortir !

Citation :

Gaspard est déjà pris, c'est mon ami imaginaire le plus récent.
Bonne pâte, il veut cependant bien se prêter à un changement de consonne finale pour un grand enfant, si toutefois il est bien traité.
On sait hélas que les enfants malmènent, tuent et charcutent sans complexe, plus que Poutine soi-même, leurs baigneurs, nounours et autre super-héros tombé en disgrâce.

Bonjour Cyrill,

Effectivement, j'ai raté votre question. Mes excuses.
Les confusions de Gaston se rapportaient au fait qu'il n'existe pas, ce qui engendre ce flou car ce personnage parait vrai malgré qu'il soit de traviole, mais ili reste malgré tout le fruit de l'imaginaire.

ça en devient tordu, car Gaston l'ami imaginaire se met finalement à penser. A tel point qu'il fait son mea culpa, dans le sens où il s'excuse d'avoir trompé depuis si longtemps celui qui l'a imaginé de toutes pièces.

Je vais encore plus loin car finalement c'est la personne réelle qui donne profondément vie à Gaston, allant même les confier un raisonnement, plus que des sentiments.

Je ne touche pas à Gaspard promis ! Va finalement pour Gainsbarre...

D'accord, merci Arigo pour les éclaircissements.
Les enfants s'y entendent pour tordre la réalité. Gaston pense ? Mais quoi de plus naturel !