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1 Utilisateur(s) anonymes
Merci pour : La brosse à dents |
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Chevalier d'Oniris
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12/06/2019 13:32 Groupe :
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Bonjour,
J’ai voulu tenter l’exercice de la nouvelle et donc je remercie tout le comité éditorial d’avoir publié ma toute première nouvelle. Je remercie également tous les commentateurs pour leurs nombreux retours utiles et bienveillants. @socque : il est revenu régulièrement que la fin était comprise bien trop tôt dans le texte, j’aurai dû laisser des indices plus subtils. Pour la révélation à la fin, étant donné que ça fait deux ans, je voulais qu’elle recouvre sa lucidité, que ce ne soit qu’un déni passager parce qu’elle a oublié (à effacer cette information de son esprit, jusqu’à ce que ce dernier se réveil complètement). @in_flight : je vous remercie pour votre retour positif et je suis heureuse que ce texte est réussi à vous toucher. @Dugenou : pour vous laisser plus de suspense je n’aurais surement pas dû donner la réponse de l’être aimé à cette fameuse question. @eskisse : étant dans le déni complet, je voulais qu’elle soit juste comme si l’être aimé été là, c’est pourquoi je ne l’ai pas fait ressentir d’anxiété, mais il est vrai que j’aurais pu approfondir la détresse de la jeune femme à la fin comme vous le suggérer, il y aurait surement eu un peu plus de profondeur au texte. @placebo : pour le « tu es déjà là sur mon fauteuil », c’est que la narratrice le revoit dans ce quotidien qu’ils ont partagé pendant un moment, elle revoit certaines scènes devant ses yeux, comme lorsqu’elle se réveille et le voit à côté d’elle. @Harvester : je suis désolé de ne pas avoir réussi à vous faire entrer dans le quotidien de cette femme. @IsaD : Je voulais que la rupture soit réellement inattendue pour la narratrice, afin d’expliquer que 2 ans plus tard, elle soit toujours dans le déni. Le fait que l’homme passe rapidement du lit au fauteuil, était un autre indice de son absence, étant donné que ce sont des souvenirs qui passe devant ses yeux, ils n’ont pas forcément de logique dans le temps et dans l’espace. De la même manière quand elle se retourne, il disparait. Le « évidemment » pour le soutien-gorge de couleur chair n’était pas un indice, seulement que sous un haut blanc au épaules dénudées, il passe plus inaperçu. La brosse à dents se tient « fièrement », car elle se tient droite sur son socle sans aucune honte pour le marqueur de solitude qu’elle représente. J’espère que ces explications vous éclaireront un peu sur mon texte. Je vous remercie pour toute vos remarques constructives. @plumette : je tenais à ce qu’il y ait ce minutage, afin de renforcer le sentiment d’un quotidien répétitif. Pour le placard, vous avez raison, il aurait également pu être un déclencheur de la tristesse, seulement je trouvais que l’absence de la brosse à dent était plus significative, car c’est l’une des premières choses que l’on laisse chez son partenaire et que c’est un objet du quotidien et de l’intimité. @solo974 : voir le commentaire fait à Dugenou @Corto : pour la révélation de fin, voir le commentaire fait à socque. Melorane
Contribution du : 25/07/2020 10:40
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Re : Merci pour : La brosse à dents |
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Maître Onirien
Inscrit:
23/07/2017 04:41 Groupe :
Évaluateurs Auteurs Correcteurs Membres Oniris Groupe de Lecture Post(s):
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Merci pour ce retour, Melorane.
Et excellente continuation à vous ! solo974
Contribution du : 26/07/2020 02:04
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Je suis le capitaine de mon âme. (Nelson Mandela) |
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