Merci à Oniris d’avoir permis la publication de mon poème "Le dernier voyage"" et merci aux commentateurs et commentatrices qui ont pris de leur temps pour me faire part de leurs avis si précieux.

Un grand merci à :

ANIMAL
« musical et prenant dans ce qu'il exprime, son rythme ne faiblit pas au fil des vers. »

Le rythme est essentiel et je suis ravie que en vous soulignez la musique soutenue pour l’ensemble du poème. Un peu comme les battements d’un coeur endeuillé…

GiL
« ébloui par les trois derniers vers de chaque strophe »

Toujours ce plaisir à vous retrouver sur le site et sur mes lignes où vos mots me disent si bien leur émotion et soulignent ces 3 derniers vers de chaque strophe.

papipoète
« nous bouleverse de la première ligne, jusqu'à l'ultime dans un luxe de vocabulaire si raffiné »

Parfois écrire l’indicible devient indispensable pour garder l’équilibre dans l’ambivalence des sentiments. Je sais votre regard ému sur mes tristes lignes tant l’image d’une maman aimante vous est chère.

Eki
 « L'ombre d'une silhouette qui flotte dans ce dernier voyage. »

Cette phrase ! C’est tellement ça...
Après une si longue absence enfin Eki revient déposer son beau regard sur mes vers.

Provencao
 « Je suis ravie de vous lire... cela me manquait. Très beau médium en votre poésie, que sont vos mots choisis. »

Je suis touchée d’apprendre que mes écrits vous manquaient, c’est tellement gentil de le dire ainsi.

Cornélius
 « Lorsque le coeur est lourd et l'esprit chargé de remords. Bonjour tristesse. »

Joliment déposé sous vos mots ce « bonjour tristesse » souligne tellement bien le point final de mon poème.

Jemabi
 « Une poésie puissante qui dit tout des relations complexes qu'entretiennent parfois les enfants avec une mère trop autoritaire, trop distante, pas assez aimante »

Un résumé parfait du thème de mon poème qui ne peut que me toucher.

Pouet
« L'ambivalence des sentiments est ici retranscrit de façon fort touchante. »

Le plaisir de vous lire sur mes lignes n’a d’égal que celui de cueillir vos mots si touchants.

Lebarde
« bouleversant d'émotion par son écriture magnifique fait pleurer l'âme et le cœur. »

Votre âme et votre coeur ont de bien jolis mots pour me faire part de leur émotion. Ne les laissez pas trop pleurer, je m’en voudrais de leur avoir transmis trop de tristesse.

Ramana
« preuve qu'on peut faire du beau avec des mots simples… les strophes de 6 vers ne seraient-elles pas plus harmonieuses avec une succession aa, b, cc, b au lieu de aa, bb, cc. voilà, c'est juste pour vous critiquer un peu, par dépit de ne pouvoir vous imiter ! »

Il me fallait sortir du rythme en vigueur pour le sizain dont la musique « chantante » ne convenait pas au thème de mon poème. J’ai donc cassé les codes et opté pour les rimes suivies afin de respecter la lancinance du propos. J’aime bien votre façon de « critiquer un peu » et l’aveu de votre « dépit » qui m’ont donné le sourire ^^

Annick
« Le rythme fluide, la musicalité et l'élégance, les mots justes qui font mouche cueillent la lectrice que je suis. »

Et te transmettre le plaisir de mes propres mots à cueillir la fidèle lectrice et auteure que tu es.


***

Encore merci à toutes et tous, vos présences et vos mots sur mes pages me sont un baume pour le coeur.

Et un autre grand merci à Myndie qui me dit si joliment :

"C'est dans ces vers :
'Petite mère, ô toi, dans ce froid que tu mords
J’entends vibrer l’écho douloureux des remords'
que je trouve pleinement l'"infinitude abyssale" de la tristesse."

Emotion...
Encore merci chère poétesse et à bientôt le plaisir de te lire.

Bonjour François,

"Je citerai les vers
'Des noirs de ta colère aux bleus de ton regard'
..."

Merci de me faire l'honneur de votre premier commentaire souligné de hautes appréciations.

Soyez le bienvenu sur Oniris.
N'hésitez pas à donner votre avis sur les publications des auteurs du
site; nouvelles et poésies, de belles lectures vous attendent.

Bien poétiquement

Bonjour Hiraeth,
Ravie de vous retrouver sur mes lignes !

"comme un cri habillé où vibrent à l'unisson le cœur et l'esprit dans la trame de ces vers élégamment tissés."

Vous préférez le mot "ciel" à "Ether", ce que j'entends parfaitement mais je voulais un terme plus flou pour schématiser cet endroit invisible et inexplicable où l'on peut croire que s'évade l'esprit (ou l'âme) des personnes mourantes.

Merci pour votre lecture et vos hautes appréciations.