Bonsoir,

Merci aux organisateurs du défi : sans vous, je ne sais pas si j’aurais un jour écrit cette nouvelle.
J’ai eu de la chance, j’avais une semaine de congé à cette date, alors j’ai eu le temps de travailler.
Il y a une quinzaine d’années, j’ai fait quelques parties d’échecs, en club, avec un adolescent qui avait un handicap léger (je ne sais lequel ; autisme peut-être). J’aimais beaucoup jouer avec lui. On était à peu près du même niveau (assez bas…). Évidemment, les débuts de partie se ressemblaient ; nous connaissions par cœur les dix premiers coups de nos « ouvertures » favorites (Sicilienne, Française, Philidor…). C’est en milieu de partie que cela devenait très intéressant, car il jouait souvent des coups inattendus qui me mettaient vraiment en difficulté, et au final je perdais sans trop avoir compris pourquoi (comme Karim). Voilà, l’idée de la nouvelle est partie de là.
Merci à poldutor, hersen, Eclairicie, Corto, jaimme, placebo, Robot, Cristale, toc-art, et à celles et ceux qui ont commenté juste après le défi, pour vos encouragements et conseils : j’en tiendrai compte, bien entendu, car le texte est à améliorer.

Très bonne soirée,


Luz

Le principe d'un défi, c'est un peu ça, un temps limité pour un sujet donné. Donc ça oblige à puiser, à tirer un fil et développer.

Bravo à toi pour ta performance, qui nous donne aussi à voir un peu différemment les aptitudes de chacun.

Merci hersen,
Défi, en temps limité donc, comme une partie d'échecs où l'on a une pendule pour que chacun ait le même temps de jeu global : il faut réfléchir vite et bien. C'est un peu stressant...

Merci pour le commentaire Davide,
Content que vous ayez aimé.
Je me rappelle votre dernier poème "Soir de fête" qui m'a beaucoup marqué : sublime.

Merci aldenor,
Je ne connaissais pas Chigorine. Effectivement les fous sont efficaces en fin de partie, surtout si on réussit à conserver les deux. Un joueur était très fort au siècle dernier avec les fous. Je crois qu'on le surnommait "Two pawn ?", mais ma mémoire s'estompe...

Très bonne soirée.

Luz

Merci pour votre commentaire Tiramisu et bienvenu sur Oniris !

En fait, je suis d'accord avec vos remarques ; je n'avais pas pensé à tout cela. J'améliorerai cette nouvelle dans quelque temps, il faut que je laisse reposer les mots, les phrases...
Merci encore et bonne fin de journée,

Luz

Merci Luz !


C'est donc ici que nous venons discuter sur votre texte.

Vous avez raison, il vaut mieux laisser reposer un texte, quand il est trop frais, on ne le voit pas, et il est très difficile de le retravailler.
Cela demeure pour moi un joli texte plein d'humanité.
Merci pour cette lecture.

Merci pour votre commentaire, moschen !

« Le joueur d’échecs » : un clin d’œil à Stephen Zweig, bien sûr, dont j’ai beaucoup aimé le livre, son dernier, je crois…
« Ses merveilleuses étoiles » : il se les est appropriées, ce sont les siennes puisqu’il les voit.
« Attrait » est utilisé dans le sens : attirance pour quelque chose.
J’ai essayé, je pense, d’expliquer le comportement de Nathan pour un public général.
Le jeu d’échecs, à mon avis, est simplement une sorte de bataille pacifique, extraordinairement prenante, entre deux adversaires. On a beaucoup fantasmé sur ce jeu y compris le génial Stephen Zweig.

Merci encore et bonne journée.

Luz

Merci pour vos commentaires, maria et Donaldo75 !

En fait, l’histoire avec les fous m’est venue en cours d’écriture (j’allais dire en jouant ; c'est un peu ça d'ailleurs, car j'imaginais la partie…). Et heureusement, sans cela la nouvelle serait très quelconque à mon avis.

Merci encore et très bonne soirée.

Luz