Bonjour, merci aux lecteurs et commentateurs de ce poème. Petit point technique, je rappelle d'abord que la rime sans consonne d'appui est considérée comme suffisante lorsqu'un des deux mots est un monosyllabe. On trouve ce cas partout en classique.
J'ai écrit ce poème il y a longtemps, un jour de cafard, comme un exercice de style, et sans y adhérer vraiment.
Mes deux poèmes lumineux sur Pie XII et Benoît XVI ayant été refusés, j'ai pensé que ce texte à la tonalité négative, plein d'amertume et de désespérance, aurait davantage sa place sur Oniris. Ça n'a pas manqué. Il est plaisant que sa publication survienne le jour de l'Ascension de Notre Seigneur; petit clin d'oeil de la divine Providence.
Je n'en ai pas d'autre semblable à proposer.
Sincères salutations.

Salut,

eh oui Miguel, les ténèbres. Les ténèbres...

Bonjour Miguel,
Concernant le texte "premier cri" j'ai apprécié le traitement de la réflexion sans la partager totalement. Il n'empêche que la mise en vers est aussi ce qui m'a intéressé car je l'ai trouvée efficace.
J'ai aussi apprécié le "non-être" à la rime du premier vers qui pourrait se dire "non naître". Je ne sais pas si vous l'avez voulu consciemment mais ça me plaît de le lire ainsi.
Je vous renouvelle mon aime beaucoup.

Cordialement - Robot

Bonsoir Miguel
Pour détendre un peu l'impression de fin de votre poème, j'ose avancer une plaisanterie ( ça me fait du bien )
- pour son premier cri, bébé se vit remettre une layette " dernier cri "
Je passais par là...
papipoète