Merci à vous tous pour la sélection et les commentaires de la nouvelle « Les bottes qui brillaient ».
La partie avec les deux soldats à la ferme est réellement arrivée à ma mère et mon frère aîné (je suis né quinze ans plus tard). Il caressait les bottes des deux Allemands, cependant, il n’a pas commencé à marcher ce jour-là, il savait déjà (il avait un peu plus de deux ans). J’ai inventé également l’histoire de Philippe et du sirop de bananes. Cela forme un tout, il est vrai, peut-être pas très cohérent…
Je ne pense pas que ces deux soldats appartenaient à la division « Das Reich » (heureusement) qui a sévi plus à l’ouest à l’époque, entre Montauban et Oradour-sur-Glane (et probablement plus au nord en remontant vers la Normandie.)

Merci beaucoup pour vos encouragements : socque, plumette, SaulBerenson, Bellini, Vincente, Charivari, dream, Donaldo75, papipoete, maria.

Très bonne journée !



Luz

Merci beaucoup, Quieto, pour votre commentaire.

Je pense, effectivement, qu'en la présentant "à l'envers", la nouvelle aurait plus de force. Le seul intérêt, peut-être, d'une lecture "à l'endroit" est, comme l'a souligné plumette, de détendre le lecteur : le retour à une vie normale malgré les problèmes rencontrés par Philippe.
Et le super comique de l'élixir "Toulou Banana" détend vraiment

Merci encore et très bonne journée !



Luz