Je n'ai pas lu votre poème, Hananke et je ne risque pas d'avoir envie de le lire, qu'on se le dise!... Pffff... Je pouffe de rire! Qu'on se le dise!

Hananke, il ne s'agit pas d'hostilité, mais d'apprécier ou non un texte et c'est, je trouve, un droit imprescriptible. Si le commentateur n'a que le droit de vous louer, où est sa liberté?
Vous semblez ne supporter que les commentaires qui vous encensent, je trouve cette façon de réagir absolument contreproductive. Dont acte.

Corbivan, c'est pourtant dans les grosses marmites qu'on fait la meilleure soupe !
Bon, désolé, je sors, c'était juste pour rajouter un peu d'humour subtil et courtois dans la conversation...

@ Ramana,
pour faire de la bonne soupe j'avais entendu parler du truc des vieilles marmites et des jeunes carottes...mais les grosses marmites...? peut-être pour les soldats dans les casernes dans le temps...ou pendant les grandes manœuvres...

Bonjour Coline-Dé

J'avais décidé de clore ce débat inutile, finalement, mais
je ne peux pas vous laisser dire des inepties comme :

Vous ne supportez que les commentaires qui vous encensent.

Reprenez depuis longtemps mes remerciements ou explications
qui suivent mes publications sur le site.

Quelques exemples récents ( je ne nommerai aucun commentateur
par son pseudo pour ne pas être encore accusé de me les mettre de mon coté) :

DEVANT L'ATRE : malgré son acceptation par le C.E. en catégorie classique, deux commentateurs s'émeuvent d'une erreur de prosodie. J'aurais très bien pu répondre qu'il avait été accepté en l'état. Mais non, c'est moi qui ait demandé à Marimay de le changer de catégorie.
Un autre commentateur me dit : Ta fièvre ne peut geindre n'est pas bon.Je change ce vers.
Un autre commentateur s'interroge sur l'utilité du premier quatrain. Je supprime dans mes archives le quatrain en question.

Mais à part cela je n'écoute que les encensements !

LE VIEIL ORME : j'ai réécris complètement un quatrain, changer
d'autres vers, d'autres images (changement que vous m'aviez reproché).

Mais à part cela, je n'écoute que les encensements !

LA TREVE : les commentateurs m'ont montré que ce texte n'était pas fameux.Reprenez ma réponse où je regrette qu'il ne fut pas
rejeté par le comité de sélection.
Comme promis je l'ai depuis supprimé.

Mais à part cela, je n'écoute que les encensements !

Et je vais m'arrêter là, car vous pouvez continuer vous-mêmes
en consultant toutes mes réponses toujours présentes sur le site.

J'affirme que je suis un des rares auteurs à suivre de si près
les remarques des commentateurs, bonnes ou mauvaises.

MAIS, comme je l'ai toujours dit depuis mon arrivée sur le site,
je ne laisserai jamais passer une démolition en règle, soit par vengeance, soit par esprit destructeur, de mes écrits.

C'EST BEAUCOUP TROP FACILE ET SIMPLE;

Bonne journée.

H

Hananke je suis surprise par la violence de vos retours sur les commentaires qui disent ne pas avoir apprécié votre texte :

-je n'aime pas vos textes non plus, nous sommes quitte.
-Au plaisir de ne pas vous lire.
-Mon langage poétique vous est étranger, tant pis,
il a plu à beaucoup d'autres, et c'est le principal.


Vous ajoutez :

Je suis assez respectueux des textes des auteurs pour en attendre
un semblable retour.


Avouer qu'on ne partage pas vos goûts serait-ce vous manquer de respect ?
En manifestant ainsi votre mauvaise humeur vous vous privez de commentaires que vous reconnaissez pourtant vous avoir été utiles par le passé et, ce qui est plus grave pour toute la communauté, vous découragez la franchise des commentateurs qui vont réfléchir à deux fois avant d'émettre une opinion qui risque de leur attirer les foudres d'un auteur ombrageux

Bonjour Arielle

Ce qui me chagrine le plus ici et vos propos le démontrent, c'est que les commentateurs sur ce site semblent posséder tous les droits.

L'auteur n'a qu'à se taire et tout ira bien, les commentateurs
ont le monopole de la vérité.

J'en ai déjà parlé plus haut.

Pour les exemples cités :

Jaseh est un auteur de poésie libérée, on se doute déjà
qu'il n'aime pas le classique.

Corbivan, je n'aime pas ces textes mais je ne viens pas les démolir,
donc je ne les lis pas.

Diptyque : je ne vois aucune violence dans ma réponse.

Mais je sais qu'à notre époque de politiquement correct
lorsqu'on appelle un chat un chat, c'est déjà de trop.

Bonne journée.

H

Hananke,

Vous voulez appeler un chat un chat, pas de souci. Si vous pensez que j’ai démoli votre texte, soit, mais j’ai juste exprimé mon avis comme je pouvais, sans vouloir démolir, mais comme vous dites en appelant un chat un chat, c’est-à-dire sans essayer de vous ménager.

A contrario j’avais bien aimé votre Orme.

Sur le fond si j’approuve que vous défendiez votre texte, ce qui me paraît puéril dans votre réaction c’est de faire savoir que les avis des lecteurs/commentateurs qui n’ont pas apprécié l’un de vos poèmes sont nuls et non avenus…et leurs auteurs pas loin d’être complètement obtus…donc si vous ne supportez pas la controverse alors ne vous y exposez pas.

Mais entre nous je crois que si les commentaires négatifs sont toujours désagréables à lire ils sont parfois les plus constructifs.
Finalement on a l’impression que vous faites face à une injustice intolérable.
Je comprends que son propre texte soit un peu comme un bout de soi, parfois, et qu’on l’expose en public, alors s’il est mal reçu ce n’est pas facile, mais ça fait partie du jeu. Et donc si vous ne voulez pas perdre de temps en temps ne jouez pas.

Vous dites : les commentateurs ont le monopole de la vérité...pas du tout...c'est l'auteur qui en a le monopole, mais c'est seulement sa vérité (parfois).
Le lecteur a son goût, sa sensibilité, son intelligence (limitée comme la mienne) et il fait avec pour creuser votre vérité, et s'il ne si retrouve pas du tout parfois il le dit, parfois il se tait. Pour ma part c'est ça un commentaire et c'est tout, mais c'est à prendre ou à laisser.

Et surtout croyez bien qu'il est beaucoup plus agréable de commenter positivement que négativement, car à mon sens, il est plus facile d'expliquer pourquoi on apprécie un texte, que pourquoi on ne l'aime pas, dans le premier cas on a moins besoin de se justifier, il me semble, et ce n'est pas un auteur un peu dépité qui viendra vous chatouiller (ou pas), mais un auteur comblé qui viendra vous remercier affectueusement…

Enfin, une question : si vous ne lisez pas mes textes comment pouvez-vous ne pas les aimer ? (là je rigole)

et puis…à méditer peut-être, ce proverbe turc..."Pour l'amour d'une rose, le jardiner devient l'esclave de milles épines"…quelle est cette rose ?

c.

Simplement pour répondre à votre question :

Il fallait lire je ne les lis plus (passé simple)

Je me suis mal exprimé.

H

Bonjour Hananke
Sans doute êtes vous trop sensible à l'opinion d'autrui... Accepter qu'un commentateur vous donne son point de vue n'est en aucun cas une obligation de renoncer au vôtre ! Nul ne détient la Vérité tout entière !
Ce qui me tient à coeur, c'est la possibilité pour chacun d'exprimer ce qu'il pense/ressent à propos du texte qu'il commente ; et il est très souhaitable que ce soit le moins possible entaché par des ressentiments.
Un commentateur - peu importe que sa critique soit justifiée ou non- qui se fait " remballer" après son commentaire ne peut guère avoir que deux sortes de réactions :
- soit il risque de s'abstenir à l'avenir de commenter les textes qui ne lui plaisent pas, voire ceux qui ne lui plaisent qu'en partie ( et c'est à mon avis un grande perte d'intérêt pour les commentaires)

-soit il va en vouloir à l'auteur et risque de glisser sur une pente savonneuse : non plus commenter d'un texte mais à travers ce texte, dire quelque chose de son mécontentement à l'auteur... et là, c'est la spirale infernale !
Je crois que vous avez suffisamment de commentaires élogieux pour ne pas douter de vos capacités poétiques et supporter que tous ne le soient pas !
Si nous essayons de protéger les commentateurs contre la mauvaise humeur des auteurs, c'est parce qu'il y a beaucoup plus de gens enclins à exposer leurs textes que d'altruistes prêts à passer du temps sur le texte de quelqu'un d'autre pour dire ce qui selon lui fonctionne bien ou ne fonctionne pas.
Or tout retour agressif à propos d'un commentaire diminue considérablement la motivation, non pas seulement du commentateur en question, mais de tous ceux qui lisent ces échanges.
Sans ces commentateurs, que serait Oniris ? Une pure vitrine dénuée du moindre intérêt, où les textes défileraient dans l'indifférence générale.
Je ne pense pas que ce soit votre souhait !
Réfléchissez y.
Bonne journée.