Oui, Coline-Dé, ceci confirme ce que je pense depuis le début.

Les commentateurs sont ultra-protégés, la peur est immense, ici,
de ne plus en avoir.

Alors que par mes propos, peut-être pas assez clairs, je voudrais
simplement qu'ils soient plus constructifs, plus subtiles, plus responsables et surtout leurs commentaires beaucoup plus élaborés.

Que les commentateurs aient toujours à l'esprit que les auteurs ne
sont pour la plus part que des amateurs.

Comme je l'ai déjà dit de nombreuses fois, la différence entre
la critique constructive et l'action destructrice ne tient
qu'au fil du funambule que certains franchissent allègrement.

La modération n'intervient que lorsqu'un commentaire ne parle pas
du texte mais c'est tellement simple et facile de la contourner.

Bonne journée.

H

Citation :

Et les commentateurs aussi. Difficile donc de leur demander de se comporter comme des critiques littéraires...

Je comprends vos propos sur l'argumentation des commentaires. Soit. Mais quand vous répondez à un commentateur par "au plaisir de ne pas vous lire" ou "je n'aime pas vos textes non plus", vous avez l'impression d'être dans l'argumentation et la subtilité? Vous vous contentez de répondre cela au lieu de reprendre ce qui est dit dans les commentaires pour donner votre opinion et défendre votre point de vue. Un peu léger. Ca fait un peu c'est celui qui dit qui y est nananananère...

@Hananke,

Ha ! Je viens de comprendre…enfin…pourquoi certaines critiques vous font réagir autant.
Comme vous disiez avoir modifié certains de vos textes suite à des critiques reçues, j’aurais pu m’en douter. En fait, vous sauriez apprécier un commentaire négatif s’il vous donnait des clés pour améliorer votre texte. C’est en effet un des buts ici. Et dans mon commentaire je ne vous en donne pas, en effet je démolis, mais pas vraiment ni vous, ni votre texte, je démolis juste à partir de ma lecture, et quoi donc ? Votre représentation parce que j’en ai une autre, incompatible avec la vôtre, du moins ce qu’exprime votre poème (pour moi et que vous ne vouliez peut-être pas exprimer, j'en conviens), mais c’est aussi ça la lecture…se confronter à une autre vision. Il me semble.

Pour ma part j’ai toujours le sentiment que ce que j’ai écrit, maladroitement ou pas, ne pourrait (je ne pourrais) pas être écrit autrement, le seul choix que j’avais c’était de l’écrire tel quel, ou ne pas l’écrire.
Surtout adepte de la poésie libre je ne saurais pas trop faire autrement, et je n’en ai pas envie non plus.
Il me semble d’ailleurs étonnant qu’on puisse changer un texte parce qu’un “critique” y trouve à redire.
Ne vous méprenez pas, parfois je tiens compte de l’avis négatif des lecteurs qui m’honorent de leur désapprobation, mais après avoir laissé décanter assez longtemps leurs critiques.
Autrement dit, si un de mes poèmes était démoli par un lecteur…bon je ferais avec, mais sauf à ce qu’il me démontre une erreur flagrante, énorme, imparable, je ne retoucherais rien.
Car mon poème (pas tous, mais les plus personnels) ne serait plus vraiment mon poème, il serait comme un corps étranger à ma conscience, et pour moi il n’aurait plus beaucoup d’intérêt.
Car j’écris juste pour dire que j’existe et qu’on me réponde : « moi aussi j’existe », et qu’idéalement un dialogue s’installe.
Et si ça ne se fait pas, hé bien, mon monologue poétique est déjà un dialogue avec moi-même, ou avec des esprits.

Autrement dit, je préfère mon erreur que la justesse d’une réponse (ou d’une forme) qui m’est étrangère, car mon erreur est ma vérité du moment de l’écriture.

Je ne sais pas plus que ce que je sais, mais ça je le sais, comme chantait Gilles Elbaz. « Ce que je sais, je le sais, je ne le dois à personne, pas à ceux… " :

https://www.youtube.com/watch?v=rWG3xUW6ZJs

C.

Pouet, bonjour

Comme je ne veux pas déplacer le débat dans une cour
d'école maternelle, je ne vous répondrai pas et je ne poursuivrai
pas non plus ces discussions ayant tout dit ce que j'avais à dire.

Bon aprem.

H

A Corbivan

Les premières lignes de votre dernière intervention sont
complètement exactes mais, hélas, après vous partez
dans des divagations où je ne saurai vous suivre.

Dommage, le début était encourageant.

Bon aprem, également.

H

Vous venez de démontrer combien peu on arrive à protéger les commentateurs contre hargne, rancoeur et manque d'ouverture d'esprit!

Pourquoi ne faites-vous pas un blog ? Vous auriez tout loisir de contrôler qui y vient et d'effacer tous les commentaires qui ne vous conviendraient pas. Cela correspondrait beaucoup plus à votre état d'esprit qu'un site comme Oniris et vous apporterait sans doute davantage de satisfactions.

Coucou Hananke, je suis repassé vite fait par là et j'ai vu que vous parliez de moi.
Qui vous autorise à penser à ma place ? Parce que j'écris quelques vers libres pour simplement me détendre entre mes nouvelles, vous affirmez qu'il est facile de comprendre que je n'aime pas les vers classiques. Alors là, je suis ébahi. C'est une dictature que vous vous voulez nous imposer ou quoi ? Mon poète préféré est Victor Hugo, j'en lis presque chaque semaine de ses poèmes, et je peux vous dire que je préfère me référer à ce classique là plutôt qu'à votre gentille versification. Et j'allais oublier bien sûr Baudelaire dont j'ai dévoré "les fleurs du mal" à l'adolescence, Verlaine, et son ami Rimbaud mais avec un plus de difficultés je dois dire. Et puis bien d'autres que je ne citerai pas.
Je ne suis pas un auteur de vers libres comme vous croyez, j'essaie juste d'émettre quelques idées, tracer quelques pistes vers un ailleurs qui me parait essentiel de découvrir. Je dois dire que je préfère les textes plus longs comme les nouvelles mais quand je me risque à un "poème" je ne veux pas de contraintes ou de barrières, juste laisser le souffle me porter. Comme disait Verlaine: "de la musique avant toute chose", et bien voilà ce que cherche, un peu de musique pour égayer mon âme, et pourquoi pas, en même temps celle de ceux qui s'attardent à me lire.
Voilà pour moi, tout est dit, et je vais me faire tout petit entre les lignes de mes chers maîtres.

Coline-Dé, je ne vous suis plus mais alors plus du tout.

Permettez-moi de me retirer et de vous laisser entre amis.

Jaseh,

Après les insultes, suivies de vos excuses, que vous m'avez passées
hier en M.P., je croyais avoir compris que vous deviez vous retirer
du site.

Heureusement, je vois qu'il n'en est rien, la Poésie aurait vraiment
perdu une de ses élites et j'en demeurerai confus.

Aller, je vous laisse en cours de récré.

Bonne continuation, je prends une semaine de vacances
à partir de samedi.

H

Je tiens à préciser haut et fort, Hananke, que mon commentaire a été dicté dans un esprit purement ludique.

Seul le sujet traité, à savoir les fesses, m’a incité à intervenir. En commentant, je me suis amusée. Et je pensais, Hananke, que vous auriez répliqué sur le même ton. Mais, oh lala, pas du tout.

Vous avez préféré faire allusion - même si bien loin de vous cette pensée - à une petite vengeance mesquine. Pour vous, Hananke, un commentaire négatif n’est pas un commentaire avisé. Pour vous, Hananke, il s’agit d’une démolition en règle faite par un esprit destructeur. Vous voudriez, dites-vous, que les commentaires soient plus constructifs, plus subtils, plus responsables et plus élaborés. Si je lis entre vos lignes, une appréciation positive est, elle, forcément élaborée. En tout cas, vous ne semblez pas vous en plaindre.

Vous prétendez, en outre, ne pas avoir droit de réponse… A quoi, dans ce cas, servirait le forum que vous avez vous-même ouvert ? Mais justement, Hananke, nous sommes là pour discuter. Dans mon commentaire, outre le côté ludique et votre humour manquant, à mes yeux, d’efficacité, j’avais mis l’accent sur le peu de fluidité de votre premier quatrain, sur certains mots que je trouvais peu poétiques, sur la répétition à outrance de la conjonction « et »… Tout ceci ne serait donc pas constructif ? Et, dans ce genre de propos, où se niche l’hostilité ?

Hananke, vous deviez quand bien même vous attendre, en dissertant sur « Les fesses », qui plus est féminines, à avoir des réactions diverses et variées. Vous n’êtes tout de même pas né de la dernière pluie.

Allons ! Tout ceci n’est qu’un jeu. Nous avons la chance d’avoir, à notre disposition, une maison d’édition de la valeur d'Oniris qui nous permet, en quelque sorte, de faire partie d’une petite communauté. Alors, continuons à écrire et, surtout, à nous exprimer sans langue de bois. Ou alors, en effet, restons bien à l’abri de nos blogs et autres sites - dits littéraires mais truffés de fautes d’orthographe - de complaisance.

Je vous souhaite d'agréables vacances, Hananke, à partir de samedi.

Automnale

Bonjour automnale et merci pour mes vacances.

Je ne retiendrai qu'une phrase et cette fois ce sera tout :

Allons ! Tout ceci n’est qu’un jeu.

Allez une dernière chose :

"Si je lis entre vos lignes, une appréciation positive est, elle, forcément élaborée. En tout cas, vous ne semblez pas vous en plaindre."

Il faudrait être passablement idiot pour se plaindre d'une appréciation positive mais depuis presque trois ans de présence, il y a
belle lurette que je fais la part des choses sur les appréciations
qu'elles soient positives ou non.

Aller, cette fois je m'arrête parce qu'à répéter tout le temps
la même cantate, j'ai vraiment l'impression de radoter.

Bonne fin de journée.

H

J'adore la perfidie de vos réponses : "je vous laisse entre amis"
Là, je vous dis bravo, rien à corriger, vous excellez dans le genre !
Bonnes vacances.