Grand merci au CE d'avoir permis la publication de mon petit (ou grand ?) "délire". Et plus encore aux correcteurs qui ont eu bien du fil à retordre pour rendre mon texte présentable. Promis Maimay, je me relirai mieux la prochaine fois !
Remerciements à la trentaine de lecteurs qui ont tenté l'aventure et en sont sortis malgré tout indemnes. Je remercie tout particulièrement les trois courageux ou téméraires qui, par leurs commentaires, ont pris de leur temps pour me faire part de leur ressenti.

@ ROBOT :

Désolé pour "l'erreur de casting" ! J'ai bien compris que ce texte ne vous a pas totalement déplu. Mais pas en catégorie "poèsie". Et pour être franc, mon premier élan fut de le poster en catégorie "nouvelles" avant d'y renoncer. Des fois, on ferait mieux de pas trop réfléchir...

@ CYRILL :

Merci pour ta très haute appréciation et encore plus pour la teneur et la tonalité de ton commentaire. Un commentaire qui, sur la forme, est mené "au pas de charge" et "tambour battant" et se met à l'unisson ou au diapason de ce que j'ai tenté d'exprimer avec plus ou moins de réussite.

@ PROVENCAO :

Merci pour votre passage, votre lecture bienveillante et votre appréciation d'un récit "acerbe", "acide" et "incisif". Un récit qui vous a semblé dense et sujet à de multiples interrogations. Justement ! J'y viens...

@ TOUS :

Pour finir, quelques petites précisions.
"L'histoire ne se répète pas" dit-on. J'ai choisi pour ce court récit de la faire se répéter m'inspirant en partie de la tragédie qui mit le feu à l'Europe au vingtième siècle. C'est ainsi que, par exemple :
- les "incinérateurs" sont la métaphore des chambres à gaz. Je n'en dis pas plus.
- les "gardiens de la propreté", l'image, au choix, des gardiens de la révolution en Iran, des jeunesses hitlériennes, ou de votre beau-frère travaillant secrètement pour la Stasi en ex-RDA. Ou encore tout cela à la fois.
-"l'offensive" du "vent" est bien sûr la métaphore du débarquement allié ("Puis il débarqua"- "venu d'au-delà les mers"). D'ailleurs il est à la fois "libérateur" et "destructeur". Que l'on songe aux nombreux civils morts sous les bombes.
- la libération de la ville inaugure bien sûr la période trouble des règlements de comptes et des retournements de veste.

Allez ! Besoin d'une petite relecture après tout ça ?
Ou d'une petite camomille suivie d'un gros dodo ?

Bonjour Ornicar,

Une double dose de Camomille....lol

Au plaisir de vous lire
Cordialement

Merci Orni, pour la camomille, bien entendu

Le sujet de la dictature me passionne, j'ai quelques projets de mise en pratique qui me vaudraient peut-être une place parmi les loups. Sans blague, je te redis ici la sympathie que m'a inspiré ton texte. Poésie, pas poésie, je crois qu'on serait bien inspiré parfois de se détacher de ces catégories qui parfois brident nos attentes en les contraignant.
Les sources d'inspiration ne manquent pas dans l'histoire et j'ai apprécié ta broderie.
Je n'ai rien dit du titre mais il est en lui-même tout un poème.
Quant à la dernière phrase : "L'avenue déchue, privée de majuscule, avait perdu de sa superbe.", elle m'a rappelé un récit poétique d'un certain Cyrill, où il est question d'un apprenti dictateur qui perd également sa majuscule au cours de ses aventures

Au plaisir d'autres rencontres

Merci encore Cyrill pour ton enthousiasme débordant. L'occasion pour moi de découvrir et d'apprécier ton "aimable" petite fantaisie en trois mouvements.
Je n'étais pas encore sur Oniris à cette époque. La précision est d'importance au cas où il te viendrait l'idée, sait-on jamais ? - de me réclamer quelques droits d'auteur que je serai bien en peine de te verser
Mais un bon coup à boire dans une coquette auberge, pourquoi pas.
Santé !

Sympa d'avoir jeté un œil !

Conclusion : trop peu d'idée pour trop de monde. Je ne sais plus qui a dit ça, en mieux exprimé.

Pour les droits d'auteur, en MP, le temps que je fasse le calcul...
Entre autocrates en devenir, on devrait pouvoir ne pas s'entendre

Ca, c'est sûr ! Deux apprentis autocrates en goguette, y en a forcément un de trop !

Merci Catelena pour votre passage et la très haute appréciation que vous avez glissée sous cette... "chose".
Découvrir votre commentaire alors que je n'en attendais plus, fut plus qu'une "agréable surprise". Et je suis ravi de vous avoir encore fait sourire quelques minutes.

L'occasion pour moi de vous dire que j'ai grandement apprécié votre dernière publication "Trame de nuit". Je n'ai pu la commenter à temps en espace lecture comme je l'aurai souhaité. Mais, croyez-moi, je ne manquerai pas d'ajouter ma petite pierre à l'édifice déjà conséquent et amplement mérité. J'y tiens.

Citation :
( je m'auto-cite, non mais quel paon !)

J'ai trouvé qui ! Milan Kundera, mais dans quel ouvrage, me souviens plus...

Si vous saviez à quel point j'adore jouer les ''agréables surprises'' !

Merci MarieL de vous être arrêté, lors de vos déambulations oniriennes, dans cette sinistre avenue aux fréquentations si peu recommandables. Vos compliments me ravissent. Je ne partage pas votre point de vue sur la fragilité des dictatures mais j'envie votre optimisme.
Au plaisir de vous lire.