Bonsoir à toutes et tous

Grand merci au CE d'avoir permis à ces "souffles" de quitter le réduit où je les tenais et de connaître les caresses et les griffes des lecteurs et commenteurs.

Grands mercis Izabouille, Miguel, Gabrielle, Papipoète , Yavanna, Pizzicato, Donald 75, Luz, JcJaZz, MFAYARD ...aux commentaires généreux et merci à tous les anonymes qui ont pris un peu de plaisir à leur découverte.

Forêt, déserts et océans sont des lieux dont les souffles me sont très différents. Au mouillé, étouffé, à l'acidité pesante quelquefois en forêt s'oppose bien sûr la chaleur, la légèreté (mais pas toujours !), la clarté du chant du désert, lui même moins métallique et puissant que celui de l'océan.
J'ai donc essayé de vous les présenter tels que je les vois et ressens ...

Et le dernier quatrain ...le préféré de certains, le moins aimé par d'autres .
Nous n'y sommes pas dans un cimetière, mais dans la rue, un parc, devant une cour d'école. Les douleurs, les chagrins, la maladie , la peur de tous les passants s'effacent devant les enfants qui jouent et ... et ... et ...et encore...dansent une ronde ... Qui hurlent la vie qui est en eux ! Je suis indestructiblement attaché à ce verbe .

Merci encore à tous
Sans offenser quiconque ...une mention pour MFAYARD : oui j'ai beaucoup travaillé ce texte les rythmes et les sonorités .